
P.S. : OK, l'an prochain je me déguise en sapin si vous promettez de faire très attention en ôtant les boules.
Ce n’est pas si souvent que le septième art s’ouvre à la comédie musicale. Pourtant, c’est un genre qui a apporté quelques chefs d’œuvres immortels. Aussi, lorsque j’ai appris que Steve Antin (J’avais adoré son « Gloria », mais vous êtes sûrement trop jeunes pour vous en souvenir qu’il était à l’origine du scénario de la version de Sydney Lumet.) en avait réalisé une, sur ce courant de pensée apparu dans les années 1990 aux Etats-Unis, le néo-burlesque qui prend sa source dans le music-hall, ma curiosité s’est trouvée piquée. D’autant que sa caractéristique principale est d'allier un strip-tease subversif à la danse et au théâtre.
Après tout, on est pas de bois.
Donc, comme vous vous en doutez, j’en espérai beaucoup, trop peut-être. Surtout que … Cher occupe une place véritablement à part que ce soit au niveau cinématographique ou musical, une place amplement méritée. A plus de soixante cinq ans, elle bouge encore bien.
On a depuis longtemps oublié qu’elle fut animatrice-télé et même son ex, Sonny. Mais personne n’a oublié, cette mère déjantée mais si touchante de « Mask », ou, l’incarnation de toutes les brunes piquantes dans « les sorcières d’Eastweek », ou encore l’avocate ambitieuse d’un suspect dangereux, et là, j’ai peur que vous n’oubliez plus cette patronne d’un cabaret en faillite et que l’on retrouve au top cinquante sa version de la chanson « Welcome to the Burlesque » qui correspond à la découverte du cabaret Burlesque. C'est en effet la première fois qu'elle est amenée à chanter dans un film.
Bon, autant vous le dire tout de suite, le scénario n’a rien de transcendantal : C’est l’histoire d’une provinciale ambitieuse qui rejoint la ville pour y réaliser son rêve : chanter. Elle tombe sur un cabaret au bord de l’asphyxie et en même temps, amoureuse d’un barman sexy.
Non, l’intérêt du film réside dans la restitution de l’atmosphère « presque » sulfureuse de ce cabaret/bar/lounge, de la chair, de la danse et des chants. L'univers du film reste sexy, coquin, tout en évitant le caractère sexuel. Steven Antin en déclare d’ailleurs : "Burlesque est parfois osé, toujours sexy, mais jamais sexuel. Tout ce que nous faisons dans ce film, comme c’était le cas du burlesque original, a pour objectif de divertir. C’est une farce amicale, spectaculaire et aguichante. Le burlesque était à l’origine un spectacle pour les foules, et c’est toujours le cas aujourd’hui avec le film." . C’est donc coquin sans être osé, osé sans être vulgaire, léger sans être lourd mais esthétiquement très ...« léché ».
Par « léché », j’entends que chaque détail est soigné. Le burlesque a tout d’un véritable cabaret à la française, comme un Crazy-Horse américain. Vous pouvez m’en croire, je suis né dans le faubourg Saint-Denis. Les danses et les chants en n'ont le rythme enlevé. Le décor, les tableaux, tout participe a vous mettre dans une ambiance faite de chaude sensualité. On doit l’atmosphère des lieux à la collaboration de Steven Andin avec Cindy Williams et une équipe composée de 15 à 18 maquilleurs qui ont recréés pour les danseurs et autres acteurs un look qui n’est pas sans rappeler celui d’Orange mécanique.
Si j’ai beaucoup parlé de ce film, je n’y ai pas encore évoqué la place de Christina Aguilera. Chanteuse, danseuse, actrice et même co-auteur de quelques chansons du film, elle est l’un des pilier de ce film. Malheureusement, je ne suis pas fan. J’estime personnellement que gueuler n’est pas chanter(Je vais me faire une paire d’ennemis) et que, pour ce rôle, elle est un peu trop "propre sur elle". C’est une expression qui veut dire que je la trouve un peu trop sophistiquée pour faire une jeune provinciale crédible, et, sachant le prix de sa robe en lamée or, je ne comprends pas qu’elle ne puisse rembourser la dette du «Burlesque » rien qu'en la vendant.
Bref, vous comprendrez que je trouve le film un peu bancal. J’ai adoré l’ambiance, les danses et numéros du Burlesque, quelques chansons paillardes et la « gaudriole ». J’ai retrouvé avec plaisir Cher et même quelques second rôles de qualité. Mais, je ne peux pas dire que le film en lui même m’ai transporté. C’était…moyen.
P.S. : J'invite ces mesdames et messieurs qui aiment cette atmosphère néo-burlesque a visiter les galeries de quelques spécialistes du genre :
- http://www.sugarblueburlesque.com/
- http://www.flickr.com/photos/kimtortion/
- http://www.flickr.com/photos/paulwrightphoto
Fondée en 1958, marché franprix est aujourd'hui leader du commerce de proximité à Paris et en région parisienne. L’enseigne conforte son rôle d’acteur de la vie locale en lançant une opération originale permettant à tous ceux qui le souhaitent de devenir bloggeur et d’écrire sur l’actualité de leur quartier.
L’ambition de l’enseigne est faire de vivre la vie de quartier sur son site Internet en favorisant l’échange et le partage d’informations entre les habitants d’un même quartier.
L’opération « Blogs de quartier » se déroulera en plusieurs phases. Tout d’abord avec une phase de recrutement du 15 novembre 2010 au 31 décembre 2010.
Profil recherché
Curieux, aimant sortir, se balader, découvrir les bons plans de son quartier et partager ses bonnes adresses et ses centres d’intérêt avec les autres.
Missions
Informer ses voisins de l’actualité de son quartier : bons coins, activités culturelles, bons plans, agenda, potins, événement, brocantes, shopping, restos…
Et s’engager à faire profiter les internautes des nouveautés de son quartier en postant des brèves sur les thématiques de choix à un rythme régulier (4 par mois pendant 6 mois).
Pour participer, les internautes doivent s’inscrire sur Franprix.fr et rédiger une chronique sur la thématique de leur choix parmi les 4 rubriques suivantes : sorties, shopping, loisirs et potins de quartier.
Un jury désignera les bloggeurs officiels Franprix. Les critères de sélection sont les suivants : qualité rédactionnelles, choix et pertinence de la thématique.
Puis « blogdequartier.fr » sera mis en ligne à partir du 10 janvier 2011. Les bloggeurs sélectionnés deviendront bloggeurs officiels franprix : ils bénéficieront d’avantages (bons de réduction, cadeaux…) et seront tenus au courant des actualités de l’enseigne en avant-première.
Après avoir rempli leur mission, les bloggeurs pourront participer au tirage au sort pour tenter de gagner un voyage de rêve d’une valeur de 5 000 euros !
Quel lundi, courrir à droite à gauche et à pied, trop peur de rester bloqué pour prendre la voiture le matin. Mais cela roule assez aprés midi pour faire des paquets cadeaux à Auchan.
Quel mercredi ! Parti d'Amiens pour Lachapelle dans un brouillard à couper au couteau avec, histoire de me faire regretter l'oubli de mon appareil photo, une eclaircie juste sur les évoissons. Le ciel, le brouillard et la neige, tant de blancheur dans ce vallon, c'était magnifique. Grace au ciel, il n'a pas plu. Malheureusement, nous n'avons pas tout à fait fini mais j'ai pu faire la connaissance de Farwest, le cadeau de Noël d'Isa, un mignon cocker americain noir.
« A bout portant » : Quelle magnifique expression française ! Elle annonce tout de suite la couleur. Si avec cela vous ne devinez pas qu'il s'agit d'un film policier, c'est que vous n'etes pas doué. Or c'est un genre où nous autres français sommes plutot doués. Il suffit de voir avec quelle rapidité les américains ont sautés sur le sénario de "Pour elle" et pondu "Les trois derniers jours" ou encore " Anthony Zimmer" devenu "The tourist".
Malheureusement, ce film est loin d'être parfait lui. Ce n'est pas la faute du scenario qui même si il n'est pas d'une originalité transcendante nous offre là une histoire policière originale. C’est l’histoire ordinaire de Samuel(Gille Lellouche) et de son amie Nadia( l’espagnole Elena Anaya) : lui est bientôt infirmier et elle, attend son premier enfant. Mais leur univers bascule lorsque Nadia se fait kidnapper sous l'œil impuissant de Samuel. A son réveil, son portable retentit : il a trois heures pour sortir de l'hôpital dans lequel il travaille, un homme sous surveillance policière. Le destin de Samuel est désormais lié à celui de Sartet(Roshdi Zem), une figure du banditisme activement recherchée par tous les services de police. S'il veut revoir sa femme vivante, Samuel doit faire vite...
Ce n'est pas non plus la réalisation qui est en cause. Le rythme est palpitant et l'action soutenue. D’ailleurs, c’est justement à Fred Cavayé que l’on doit le film « Pour elle » dont il signe l’adaptation du scénario dans le remake américain et dont la réalisation était pour un premier film totalement sans reproche.
C'est sans nul doutes du à un casting inégale où les forces des uns ne peuvent que mettre en lumière les carences des autres. Ca tue l'ambiance et vous sort momentanément du film sans que l'on s'y attende. Roshdi Zem est, lui, parfait en sombre et honorable mafieux. Il n'y a rien à redire non plus de Gerard Lanvin qui campe un flic ripou, une belle ordure. Quant à Gille Lellouche sa prestation est remarquable dans ce rôle aussi physique et éprouvant. Sa carrière ne peut qu'en prendre du galon.
C'est plutôt du côté des second rôles que cela pêche. On ne soulignera jamais assez leur importance. Je suis désolée pour elle, mais j’ai trouvé Mireille Perrier absolument pas crédible dans son interprétation du commandant Fabre. Ce n’est pourtant pas une débutante mais j’ai l’impression que ce rôle de femme flic, elle l’a endossée trop souvent dans la série télévisée « la crim » et maintenant, elle le joue sans « conviction ». C’est cela, je l’ai trouvé peu convaincante.
C’est bien dommage car je ressort de ce film un peu déçu sans vraiment pouvoir dire quelle en est la raison.
Par principe, je n'aimes pas tirer sur l'ambulance mais quand c'est un navet, c'est un navet. Moi quand on me promet de la science fiction ou de l'horreur, je ne m'attends guère à voir un road movie de seconde zone. En plus, je ne comprends pas que l'on ai pu dans la publicité comparer "ca" à district 9, cela n'a rien à voir.
Monster, c’est un long métrage Anglais sortie en France le 1 décembre 2010 et réalisé par Gareth Edwards Cela se veut un film de science fiction , ou de l’épouvante-horreur à la rigueur un Drame mais personnellement, je dirais un film romantique. Il dure 1h33 et est distribué par SND.
Même le titre est trompeur, des monstres on en voit peu et quant on en voit c'est pour comprendre qu'il s'agit simplement de grosses bêtes sans intellect, dont les produits manufacturés perturbent le cycle de reproduction. Les seuls monstres de cette histoire, ce sont encore les américains qui larguent leurs bombes chimiques avec beaucoup d'indifférence sur la tête de la population de la zone infectée, le Mexique en l’occurrence. Une sonde de la NASA est sensée s’être écrasée dans la jungle six ans plus tôt, libérant sur terre des particules d’une forme de vie extra-terrestre. Le Mexique et le Costa-Rica sont devenus des zones de guerre mises en quarantaine et peuplées de créatures « monstrueuses ». Un photographe est chargé d’escorter une jeune femme à travers cette zone dévastée. Seuls sur la route, ils vont tenter de rejoindre la frontière américaine...Tel est le postulat de départ de ce film.
Il nous raconte tout simplement le voyage d'un couple improbable au travers de la zone infectée. Lui, Andrew(interprété par Scoot McNairy), est photographe pour un journal à sensation et ne rêve que d'impressionner ses pellicules avec le portrait de l'un de ces monstres. Elle, la belle Samantha( Whitney Able) ,fille au papa propriétaire du journal, tente de retrouver la prison dorée et le prétendant qu'elle n'est pas sure d'aimer et qu'elle a fuit. A la suite d'un vol ils se retrouvent devoir traverser la zone infectée à pied et l'on se demande si le climat qui se veut oppressant ne va pas faire naitre une idylle.
Le paysage alterne une jungle gazée et des décors urbains post-Catherina. Ils constituent le seul intérêt de ce film par ailleurs bien plat. Il faut voir ce film comme un immense « décor » qui nous expose une situation. Le jeu des acteurs n'est pas en cause, ils sont très bien, mais n’ont simplement pas grand chose à jouer.
Nous sommes juste « trompés sur la marchandise ».
Ne vous y trompez pas, il ne s'agit pas d'une critique négative. Ce n'est pas évident de faire un beau nanard. Cela n'a rien à voir avec une série B. La qualité n'est pas remise en cause et il faut même de bons acteurs. Ce n'est ni une comédie, ni un drame, mais un genre à part entière et ni Robert Rodriguez, ni Ethan Maniquis les réalisateurs ne s’y sont trompés.
Certes les cinéphiles risquent d'être un peu décontenancés parce que depuis la disparition du couple mythique Terence Hill/Bud Spencer le style avait abandonné nos écrans et les intellects critiques s'attachent à des histoires plus terre à terre. Mais tous les ingrédients sont là : un héro fort en gueule et à peine aussi crédible qu'un scénario plein de bons sentiments, aimant les armes blanches et la baston, prêt à se venger d'un méchant aussi odieux, tyrannique et autoritaire qu'un président.
Bien sur, c'est remis aux gouts du jour et l'on n'y croise autant de miss monde en maillots et escarpins à talons hauts que de mitraillettes, tout comme les morts qui saignent beaucoup plus que dans les années soixante dix. Les bagnoles ont remplacées les chevaux, le fric et la drogue, l'or mais à part cela, on a à faire à un vrai western spaghetti. D'ailleurs la musique de Chingon y est aussi présente.
Du côté des bons, on trouve Danny Trejo dans le rôle titre, Jessica Alba en fliquette éprise du laid ténébreux et de justice, et Michelle Rodriguez en Catwoman borgne. Accessoirement, Lindsay Lohan la belle rousse en nonne repentie et vengeresse n'est pas mal non plus, en tous cas, cela la change des productions Disney.
Du côté des mauvais, enfin, des bons méchants, la star Robert De Niro ne se prends pas au sérieux en clown d'extrême droite qui serait au Front ce que Don Johnson, le blond américain serait au Klan. Quant au super méchant, Steven Seagal, il est inénarrable dans sa Dantesque scène de Hara-kiri.
Vous l'aurez compris, c'est tellement con qu'on aurait tendance à applaudir lorsque le héro arrête les balles avec le plomb qu'il a déjà dans la cervelle ou lorsque la gentille productrice se relève d'une balle à bout portant dans l'œil avec un bandeau qui ne dérange même pas sa mise en plis. Vous remarquerez au passage que je ne vous parles même pas du sénario tant dans ce genre, il joue un rôle mineur.
J’ai passé une excellente soirée, bien divertissante et absolument pas prise de tête. Les amateurs du genre, comme j'en suis, attendent avec délectation la suite promise : « Machete kill » tant il sera difficile de faire mieux…ou pire.
Il y a des journée qui démarrent comme des journées de merde pour se finir en apothéose. Il y a des jours comme cela.
Hier cela commençait mal. En ce moment, ma glycémie me joue des tours et j’ai bien du mal à la réguler. Mon toubib dirait que c’est le stress. Enfin bref, quand c’est comme ça, je me lèves avec un rude mal de crâne qui dure habituellement du matin jusqu’au soir. Ce sont de vilaines migraines ophtalmiques qui ne supportent que de me voir les yeux fermés. Donc, j’étais déjà de mauvais poil et encore plus lorsque je suis arrivé en retard au boulot. Après ce fut ma première véritable permanence au chalet pour cette saison : deux heures trente à me les geler par moins quelque chose, interrompu par le téléphone ou par des visites juste ce qu’il faut pour pouvoir dire que l’on s’est fait chier sans dire que l’on a eu personne. Dine est bien passée me voir, malheureusement, elle est arrivée en même temps qu’un cas un peu difficile à traiter, je n’ai même pas pu m’occuper d’elle.
Bon, je passerai sur l’ambiance à couper au couteau du boulot, pour reprendre au soir, il est 19 heures, comme d’habitude, sans être en retard, nous ne sommes pas en avance, nous sommes de concert : Marc Lavoine au Théatre du Jeu de Paume à Albert. Malheureusement, Chaussée Saint-Pierre, Christophe Paillard nous rentre dans le derrière. La voiture n’a pas une égratignure, seule la plaque minéralogique est un peu gondolée. Mais Claudine et son arthrodèse l’on senti passé. Bref, on arrive les derniers au théâtre. On s’en foutait un peu puisque nous avions pris des places numérotées plus d’un mois et demi à l’avance de façon à être au premier rang des places assises et face à la scène. Il me semble que c’était pour notre anniversaire de mariage ou pour une autre occasion, enfin de bonnes places, quoi. Malheureusement, quand cela s’y met ! Suite à la mévente des places, ils ont restructuré la salle pour une configuration plus ramassée et donc notre réservation ne sert plus à rien. Heureusement, deux gentilles jeunes filles nous cèdent leur place sur le bord gauche pour éviter à Claudine de grimper dans les combles.
Et, apothéose, durant le tour de chant, je me suis endormi et mis à ronfler bruyemment.
Le ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l’Etat, porte-parole du Gouvernement, a présenté une communication relative à l’administration électronique.
Dans le cadre de la révision générale des politiques publiques, le Gouvernement a engagé depuis 2007 un plan d’action pour améliorer la qualité des services publics et développer l’administration électronique.
De premiers résultats significatifs ont été obtenus : pour la première fois cette année, le seuil des 10 millions de contribuables ayant télé-déclaré leur impôt sur le revenu a été dépassé ; la quasi-totalité des formulaires administratifs a été dématérialisée et mise à disposition sur service-public.fr, permettant 1,2 million de téléchargements de formulaires par mois ; les remboursements de soins sont dématérialisés à près de 84% grâce à la généralisation de la carte Vitale, ce qui représente plus d’un milliard de feuilles de soin transmises de cette manière.
Afin de renforcer cette dynamique, le Gouvernement s’est appuyé sur les propositions faites en février dernier par le député Franck RIESTER.
Il a décidé de simplifier le paysage numérique de l’Etat pour lui assurer une meilleure lisibilité. Le nombre des sitesInternet des administrations centrales sera divisé par dix en deux ans. D’ici 2012, l’ensemble des informations et des services de l’administration sera regroupé dans une soixantaine de sites.
Le Gouvernement a également décidé d’accélérer le développement de services personnalisés. D’ici début 2012, le compte de « mon.service-public.fr » sera étendu au compte fiscal et à Pôle emploi, permettant aux Français de se connecter avec un même authentifiant à l’ensemble des principaux services en ligne de l’administration
Les usagers pourront donner leur appréciation sur les sites Internet publics grâce à un dispositif commun et permanent d’évaluation qui sera testé dès janvier prochain, avant d’être généralisé en 2011.
Enfin, un portail unique des données publiques, intitulé « Etalab », sera créé. Il favorisera la réutilisation des données publiques par des acteurs privés. Un directeur de projet sera prochainement nommé afin de piloter la mise en ligne de ce portail d’accès aux données publiques d’ici fin 2011.
L’autre jour, une bloggeuse a soulevé dans mes commentaires une phrase sur les fils RSS et leur manque de gestion. Il ressortait comme le nez au milieu de la figure, qu’elle ignorait totalement à quoi cela servait et ce que cela recouvre ou peut lui apporter. C’est normal, elle n’a surement ni le temps ni l’envie de se palucher des pages et des pages de documentation et de théories informatiques.
Alors, voici une petite synthèse par l’exemple ou un mode d’emploi qui explique comment avec la gestion de son RSS mon propre blog visité 70 fois peut être lu plus de 400 fois par jour en moyenne. J’ai un facteur multiplicatif de cinq parce que je suis un peu fainéant mais cela peut aller jusqu’à dix ou plus.
Il faut connaître le principe de base du fonctionnement d’un blog pour comprendre. Un blog, c’est quatre éléments au moins : Le cadre de présentation de votre diffuseur, votre propre présentation, un flux de messages et un flux de commentaires. Les membres de Boosterblog comprendront facilement que le cadre de présentation de votre diffuseur habituel puisse être lui même inclus dans un autre cadre et ainsi de suite.
Mais revenons au fil RSS. Ce fil contient donc vos messages et le but du jeu est de diffuser ce message partout. Premièrement, il faut récupérer l’adresse de ce flux. Ca, c’est très facile. Votre diffuseur se fait une joie en principe de vous la communiquer tant il est heureux d’être au centre de la toile du réseau social que vous êtes en train de tisser. La deuxième étape consiste à communiquer cette adresse à différents réseaux sociaux ou à des applications web comme par exemple facebook, twitter et compagnie. Une simple ouverture en lecture de votre fil RSS a ces applications et vos messages ne s’écriront plus uniquement dans votre blog, ils se retrouveront sur votre mur facebook, dans les twitts de twitter, etc…De même certains diffuseurs de blog autorise la reprise de l’adresse de votre fil pour charger un nouveau blog, une nouvelle présentation pour le même message. Ce n’est à faire qu’une fois pour toutes.
Et voilà, vous serez vu par plusieurs sources à la fois.
ATTENTION, ne donnez pas trop de droits, contentez vous de droits de lecture, car sinon vous risquez de vous faire piquer votre fil et de devoir appeler votre blog « deuxième » en souvenir de feu le précédent.
Cela fait déjà un bout de temps que je ne vous ai pas parlé de cinéma. Il faut dire qu’en ce moment, il n’y a pas grand choses d’intéressant, à quelques exceptions près bien sûr.
- Tout d’abord, une petite merveille de mise en scène pour un étrange thriller : Buried, un film de Rodrigo Cortès avec un seul acteur, Ryan Reynolds. C’est assez étrange d’ailleurs, une unité de temps, de lieu avec un seul acteur dans un espace confiné de moins d’un mètre carré et quasiment dans le noir. Pourtant, vous restez scotchés sur votre siège durant plus d’une heure trente. C’est plein de rebondissements et à part une petite scène ratée (un traveling arrière qui sort complètement du champs), l’image et le montage sont parfait. Quand à l’acteur, Ryan Reynolds cela le change des mièvreries romantiques où son physique de jeune premier américain le cantonnait. Franchement, il mériterait facilement un oscar pour soutenir ce film à lui tout seul avec un jeu qui sans être totalement intellectualisé, laisse peu de place aux déplacements. Je dis une bêtise parce qu’en fait, il n’est pas vraiment tout seul dans ce film, Robert Paterson fait une petite apparition assez remarquable sur la fin, mais je ne voudrais surtout pas déflorer le sujet.
- Un autre film assez plaisant à regarder, c’est la « Potiche » de François Ozon. Non pas, parce que c’est une comédie irrésistible, non pas pour un casting irréprochable, non, tout simplement parce que pour quelqu’un de nos âges, c’est un retour vers le passé, une plongée en apnée dans les années soixante dix. Certes le sujet porte sur la libéralisation de la femme et les revendications sociales, mais l’œil s’attarde plutôt sur des détails «d’époque ». Le cœur croisé et le petit pull mohair de Catherine Viard font d’ailleurs sensation, mais tout y est : le décor, les expressions et bien sûr le mode de vie. Catherine Deneuve est subliment géniale, que ce soit en potiche fleure bleue comme en capitaine d’industrie. Franchement, c’est un film à voir pour les Quatra et + .
- Le troisième film à voir, c’est la grosse production américaine, pleine de muscles, de sang et de fureur. J’imagine aisément que vous avez deviné que je parles de « RED » (retraités extrêmement dangereux), c’est facile, depuis « le Client », j’adore Marie-Louise Parker. Quand aux « vieux », c’est un casting d’enfer : Bruce Willis, Morgan Freeman, John Malkovich et Hellen Mirren dans une comédie policière assez enlevée. Elle ne vous laissera pas un souvenir impérissable, mais au moins, vous aurez passé un bon moment de détente.
Voilà donc pour l’actualité cinématographique. C’est plutôt pauvre mais il faut dire que l’on sort d’une période de vacances scolaires et que les séances hivernales sont de plus en plus tôt et du coup ne nous sont plus accessibles.
Voici une petite blague dans laquelle vous pouvez remplacer le prénom par celui que vous désirez :
Bertrand, le petit escargot effectue sa promenade du jour et chemin faisant croise le mouton. Bertrand :"Bonjour monsieur le mouton."
Le mouton de répondre : "Bonjour chef."
Bertrand l'escargot continue sa route en se disant que c'est drôle qu'il l'appelle chef... puis il croise la vache. Bertrand : "Bonjour madame la vache."
La vache de répondre : "Bonjour chef."
Bertrand l'escargot se dit qu'ils ont du se donner le mot... puis chemin faisant il croise l'éléphant. Bertrand : "Bonjour monsieur l'éléphant."
L'éléphant répond : "Bonjour chef."
Alors là, Bertrand se dit: "Quand même, de la part de l'éléphant, cet animal si grand, si gros, si puissant... le prochain qui me fait le coup, je lui demande pourquoi on m'appelle chef... et comme Bertrand croise le lion, le lion, roi des animaux, il faut bien le rappeler. Bertrand : "Bonjour monsieur le lion, roi des animaux."
Le lion répond : "Bonjour chef."
Bertrand, n'y tenant plus, lui demande : "Depuis ce matin, tous les animaux que je croise m'appellent chef, tu sais pourquoi ?"
Le lion de répondre : "C'est normal : tu rampes, tu baves et t'as pas de couilles..."
Comme je vous l’ai signalé il y a quelques jours, je me suis référencé sur BoosterBlog.com à l’adresse Bof2eme.boosterblog.com (ce qui permet de récupérer le bandeau de vote pour Boosterblog).
Comme beaucoup d’annuaires, il s’agit en fait d’un échange de liens entre les membres participants. Ce qui permet en fait de générer du trafic entre les différents blogs selon le principe de la réciprocité. Malheureusement, il semblerait que le système de vote s’affranchisse totalement de la création de contenu. Ce qui fait que des blogs dont les membres sont plus actifs à communiquer et à échanger directement sur le système de notation obtiennent plus de points que n’en obtiennent des blogs consultés pour les qualités artistiques de leur graphisme ou pour l’intérêt de ce qui s’y dit.
Ainsi se retrouvent premier de leur catégorie des blogs dont les mises à jour remontent à plus d’un an. Ce système de notation certes encourage les échanges et génère du trafic mais il pousse aussi à une certaine fainéantise et la promulgation de blogs de « seconde » qualité. Heureusement, quelques uns sortent du lot(même si ce ne sont pas les premiers de leur catégorie).
Je pense qu’au début de l’an prochain, j’aurais une idée beaucoup plus précise des blogs à lire et de ceux qui ne valent même pas la peine de ce déplacer. En attendant, je me paluches presque soixante dix nouveaux blogs par jour. Sachant que la qualité de ceux-ci ne peut s’apprécier qu’au bout de quelques jours. Vous voyez, j’ai encore du boulot. J’ai bien tenté de me faciliter la tâche en créant un nouvel index basé sur leurs fils RSS mais il semblerait que leur qualité soit si médiocre que certain n’en aient même pas.
Allez, courage. Entre cela et la suppression de certains liens vers des images obsolètes, mon lectorat est remonté au dessus des trois cent lecteurs par jour et une cinquantaine d’abonnés.
Je ne peux décement pas vous parler des projets de l'USC ou encore de ceux de l'USD
sans évoquer notre propre programme, 100% français, initié par l'UPMC Sorbonne Universités, Paris 11.
C'est, me semble-t'il, le seul programme mondial de croisement animal à présenter un bilan positif.
Initié à la base dans le but de retrouver le materiel génétique des mammouths laineux de l'antartic, les résultats de ces croisements entre un éléphant d'Afrique et des lapins angora nains s'arrachent comme des petits pains. Vous pouvez d'ailleur vous en fournir un à cette adresse.
Amis éleveurs de chiens, nous sommes heureux de vous annoncer le prochain Noël des chiots et chatons qui aura lieu les 4 et 5 décembre 2010 à Paris / Le Raincy .
Cette exposition vente se déroulera en partenariat avec le Téléthon, la mairie du Raincy et Royal Canin.
VOUS AVEZ LA POSSIBILITE DE METTRE EN LIGNE , SUR LE SITE http://www.best-cats-in-the-world.net/ ET CELA DES RECEPTION DE VOS ENGAGEMENTS, LES PHOTOS ET DESCRIPTIFS DES CHIOTS QUE VOUS PROPOSEZ
Comme le dernier croisement de la très sérieuse université de San Diégo a bien plu au fiston, autant lui révéler que durant ce temps, l’autre grande université californienne, celle de Los Angeles, la toute aussi sérieuse USC( University of Southern California) se lançait dans un autre programme de croisement.
A la demande des studios cinématographiques Universals qui souhaitent faire un remake du « Le géant du grand Nord », un western en noir et blanc de Gordon Douglas avec Clint Walker, un programme de croisement vient d’être initié entre un cheval et une femelle kangourou pour les cowboys frileux.
Chat et chien aiment à jouer au triomino. Pour Prunelle, c'est un rare plaisir que de boulverser le bel agencement des pierres d'un coup de pâte sous l'oeil jaloux d'Eliot. Bref, il nous faut jouer vite, très vite et cela laisse peu de temps à la réflexion.
Allo, Bébé ! C’est Papa. Qu’est-ce que j’apprends, Maman me dit que tu ne veux pas manger tes croquettes ? Oh ! le vilain chien-chien. Tu vas aller vider ta gamelle pour faire plaisir à Papa.
A ce moment, le chef de bureau rugit :
- Je vous prends en train de parler à votre chien ?
- Heu ! C’est vrai dit l’employé penaud.
- Vous êtes si persuasif, vous pourriez dire deux mots à mon poisson rouge, il fait de la claustrophobie.
Bonjour mademoiselle,
Pour votre premier jour de travail ici, sachez que nous sommes très stricts et nous nous montrons inflexibles sur les horaires et l’assiduité au travail, pas de coups de fils personnels pendant les heures de bureau. Par contre pour la tenue et les histoires de fesses, nous seront tout aussi inflexible mais compréhensifs.
Tandis que notre premier ministre en vient à lâcher la petite phrase qui tue : « Villepin est comme mon setter irlandais : beau, grand, mais complètement fou ! », je m’interrogeais sur l’origine de la soumission de mon petit cavalier King-Charles et de l’esprit dominateur de son compère Tibby.
La hiérarchie est une dominante du caractère social canin. Même après avoir été domestiqué par l'Homme, il reste un mammifère profondément social et donc respecte une organisation, tant en groupe avec d'autres animaux qu'avec les humains. Une hiérarchie doit être établie pour que cette organisation puisse fonctionner. Des règles de vie doivent être imposé par le maître pour la bonne conduite de son animal de compagnie.
Pourtant, il ne faut pas confondre domination et agressivité. Il n’est pas nécessaire de faire preuve de violence, uniquement en restant ferme sur ses volontés.
Donc, pour en revenir au sujet, j’ai deux chiens, l’un est soumis et l’autre dominateur. Cela se manifeste assez simplement : Eliot passe son temps à se soumettre en se mettant sur le dos, et les quatre pates en l’air il quémande des caresses. L’autre, Enzo ne veut en faire qu’à sa tête, passe son temps à essayer de prendre le dessus en nous mordillant les bas de pantalon, ou les doigts lorsqu’ils passent à sa portée. J’ai beau dire à Claudine qu’elle le gâte trop, elle aussi n’en fait qu’à sa tête. Elle ne se rends pas compte que cela a des répercutions sur son comportement. Si j’arrive encore à me faire obéir, elle n’en tire rien. Il tente toujours de s’échapper et la pince littéralement dès qu’elle tente de lui faire faire quelque chose dont il n’a pas envie.
Alors, comme en ce moment il pleut pas mal sur la Picardie, il deviens nécessaire d’essuyer à chaque promenade les pattes et le ventre. Or, avec elle, il ne se laisse pas faire, déchiquette la serviette de toilette, lui mordille les doigts ou se sauve tout au bout du couloir. Même en lui laissant sa laisse au cou, il se tortille comme un ver pour échapper à la corvée.
Il semble que cela soit une réaction naturelle au laxisme dont elle fait preuve avec lui. Pour recadrer les choses, cela fait maintenant trois jours que je tente de lui imposer une discipline plus ferme et que je râle et fait les gros yeux à la moindre de ses bêtises. Cela commence à porter ses fruits, mais uniquement avec moi. Claudine a toujours des difficultés à se faire obéir.