jeudi, septembre 09, 2010

Intergénérationnelle d'Etouvie


Comme, hier j’ai dit un peu de mal du CCAS et de la journée intergénérationnelle d’Étouvie alors que je n ‘y avais pas encore assisté. Je pense honnête de rétablir aujourd’hui la réalité.

Tout d’abord, vu le temps de chien que l’on a eu hier, cela ne pouvait qu’être bien. Ceci dit, j’ai été un peu bluffé. Certes, comme je n’en attendais pas grand chose, je ne risquait pas d’être déçu mais tout de même.

Il y avait un peu de cafouillage le matin pour l’installation des stands mais comme de toutes façons, Loïc avait près d’une heure et demie de retard alors que je lui avais demandé si il souhaitais que j’ailles chercher le matériel d’exposition au garage. Mais après, cela a roulé comme les boules des jeux picards. Je vous en parlerai plus tard.

Il y avait environ trois pôles d’activité : Les stands des associations, la salle de restauration et de danse et une pièces réservée au jeux.

Au niveau des stands des associations, ce sont toujours à peu de chose près les mêmes. Nous nous connaissons tous même si nous avons toutes les mêmes objectifs dans ce genre de manifestation, récupérer des bénévoles et du publique.

Les jeux traditionnels picards, c’était une autre très bonne idée. Plaisants et amusants à tous les âges, dommage qu’il ai fait si mauvais.

Pour la partie restauration, c’était un buffet froid… avec toutefois une série de pâtisseries maghrébines et un thé à la menthe qui vous font regretter d’être diabétique. Pour les danses et chants que j’ai tant critiqué. Ils n’étaient pas produits par une bande d’écoliers en soif de reconnaissance comme c’est souvent le cas dans des manifestations qui se veulent intergénérationnelles et réduisent les personnes âgées au rang de poireaux obligés de subir … Non, là, ils avaient invité une association de danseurs country qui ont démontrés que l’on peu danser ensemble à tous âges, un club d’ainées dansant le cancan et venu démontrer que la souplesse peut se conserver au fil des années. Ils avaient aussi donné sa chance à une jeune chanteuse venue du quartier St Pierre mais dont j’ai zappé le nom.

Bref, une meilleure après-midi que matinée qui m’a permit de revoir bon nombre de têtes connues. C’est une expérience à reproduire même si au niveau fonctionnel, nous n’avons eu qu’une seule inscription.