jeu des boulles
Je n’ai pas écris hier. Il faut dire que je sortais juste de chez le toubib où j’ai subi l’ablation des disgracieuses boulles qui entachaient mon corps d’albâtre (Restons humble.). Comme elles ne me servaient pas à grand chose et que leur taille déparaient dans mes sous-vêtements, j’ai préféré les faire ôter. C’est devenue une opération bénigne, sous anesthésie locale, je n’ai rien senti si ce n’est l’odeur de cochon grillé qui s’échappait du bistouri électrique. Donc vous comprendrez aisément que j’avais autres choses à penser d’autant que j’ai passé une fort mauvaise nuit, baignant dans un défaitisme collant issu de mon imagination débordante. D’ailleurs, je ne sais où vous entraine la votre. Si je ne pouvait tenir le stylo, c’est uniquement du à cette ablation de trois « tétines » surnuméraires sous l’aisselle. Cela ne devrait pas faire flamber votre imaginaire.