Les points sur le i
Alors que je tentais de tenir une conversation téléphonique plus que décousue avec ACC tout en m’efforçant d’enfiler le bas de ma tenue de peintre en bâtiment à loyer modéré qui l'était tout autant, je réalisais qu’elle prenait au pied de la lettre ces petits textes qui constituent le fondement de ma pensée sans percevoir que dans chacun d’eux s’enfilent différents sujets que je mêle à l’envie comme une seconde peau, cette combinaison dans laquelle je prenais les miens et qui laissait encore voir mon …fondement.
Il échoit, à nul autre que moi, je pense, d’en percevoir la dualité( des textes ou du cul) comme la duplicité sous jacente tant je masque des messages sublimes, in, aux tiers. Ors ceux ci, n’ayant que peu de rapport l’un avec l’autre, n’y voient dans leur transversale lecture que la partie les concernant, étiquetant le solde d’une licence poético-rédactionnelle.
C’est là que je prends mon pied, en pratiquant cet art chorégraphique que l’on nomme « Danse des sept voiles » qui consiste à enlever un vêtement tout en n’en enfilant un autre. Laisser à penser que, sous vos yeux ébaubis, la vérité toute nue se trouvant derrière l’arachnide toile va vous apparaître. C’est certes le cas. Sous ces combinaisons bat bien un cœur, mais ne pourra l’appréhender que le lecteur assidu qui des différentes pièces reconstituera le puzzle. Mais gare, oppressé, j’use de vocables homonymique comme l’acide pour créer ma peinture, un doigt de conjugué sur une base forte histoire de faire pleurer, une autre solution, l’effet mydriatique de l'atropine et si je retourne la combinaison, un petit coup de Jean Lapointe. Comme vous pouvez le voir l’immonde barbouilleur en rajoute une sous couche, mais je tenais à me montrer pour une fois précis, je suis dans ces pages éparses, tantôt de face, tantôt de profil.
P.S. : J’ai bien envie de classer ce post parmi les énigmes, j’attends donc en réponse, la nature de cette peinture.
S.P : et son inverse.