Génésis
J’ai entrepris de lire un autre gros pavé de la literrature policière « Génésis » où, comme dirait Bernard Joyet au sujet de la Bible « l’auteur était plusieurs ». Il s’agit comme bon nombre de créations originales d’une histoire de couple entre Jim et Carolyn Hougan qui pour leurs œuvres conjointes prennent le pseudonyme de John Case. Jim ou Jimmy Hougan est un journaliste américain de plume qui parfois se laisse tenter par l’image. On lui doit quelques documentaires engagés sur le pacifisme. Sa femme Carolyn, née Johnson en Louisiane, diplômée d'honneurs de l'université du Wisconsin où elle a rencontré celui qu’elle devait épouser en 1966 est l’auteur que quatre romans en son nom propre. John Case habite à Afton en Virginie où il a créé sept romans qui deviennent doucement des classiques.
J’avais trouvé leur rejeton sur la raiderie de printemps, un bon gros thriller de 470 pages chez Albin Michel. J’ai du mal à en parler tant il ne faut pas dévoiler le contenu de l’intrigue pour ne pas gâcher le plaisir car c’est un régal d'en découvrir peu à peu la trame, de nouer les fils d’un drame qui peut paraitre un peu décousus de prime abord. Même si on en devine la cause, que l’on connaît le coupable et ses motivations vers le milieu du livre, on ne peut que continuer à lire en chuchotant des conseils à l’oreille du pauvre héros, Joe Lassiter. Il dirigeait avec succès une agence de renseignement privée aux Etats-Unis lorsque sa sœur et son neveu périrent dans un incendie criminel. Le coupable est arrêté, mais se refuse a justifier son geste pourtant executé avec une rare méticulosité de plus ce n’est pas son premier meurtre…
Promis, je ne vous en dis pas plus.
J’avais trouvé leur rejeton sur la raiderie de printemps, un bon gros thriller de 470 pages chez Albin Michel. J’ai du mal à en parler tant il ne faut pas dévoiler le contenu de l’intrigue pour ne pas gâcher le plaisir car c’est un régal d'en découvrir peu à peu la trame, de nouer les fils d’un drame qui peut paraitre un peu décousus de prime abord. Même si on en devine la cause, que l’on connaît le coupable et ses motivations vers le milieu du livre, on ne peut que continuer à lire en chuchotant des conseils à l’oreille du pauvre héros, Joe Lassiter. Il dirigeait avec succès une agence de renseignement privée aux Etats-Unis lorsque sa sœur et son neveu périrent dans un incendie criminel. Le coupable est arrêté, mais se refuse a justifier son geste pourtant executé avec une rare méticulosité de plus ce n’est pas son premier meurtre…
Promis, je ne vous en dis pas plus.