C'est de la balle ?
Comme nombre de ceux qui ont accès aux petits boutons que l’on pressent, mon influençable égo c’est tordu de rire aux encouragements prodigués par Madame pas contente aux moteurs qui propulsent nos blogs. Déjà passablement plié par le fameux questionnaire lancé par Tonton à nos automatiques visiteurs, je me suis lancé à la recherche des conséquences des traces de mon passage de par le vaste monde, et de l’influence de mon territoire dans la webographie.
Comme je m’y attendais, lors de son largage, les retombés webactives de ma petite bombe atomique distordent le cinquiéme de mes envahisseurs, faisant réagir mes compteurs, j’exagère. Vous avouerez qu’ils sont tout de même inquiétants. Vous imaginez un peu une dizaine de micro-terroristes quotidiens cherchant à construire dans leur garage leur bombinette à belle mère. Dans un sens, je suis content qu’ils alunissent chez moi plutôt que chez un technicien plus con pétant.
L’autre part importante de mes envahisseurs est plutôt la bienvenue. Il s’agit de tous ces réfugiés des lotteries Sierra Léonaises et autres arnaques à la libération des comptes bancaires orphelins domiciliés à l’étranger, plus précisément dans ce pays classifié comme le plus pauvre de la planète, et nécessitant fortes compensations libératoires en euro ou dollars américains. On se demande a quel taux de change le diamant du sang en est rendu. Enfin, eux n’y sont pour rien, ils ne font que vendre le seul bien qu’il leur reste, leur nom et leur nationalité. Bon, passons, je veux un post léger, mais pensez-y au passage.
Le reste est au tout venant, de la vache à l’homme qui rit, quelques recherche de solutions aux énigmes ou devinettes et bien sur la récurrente horloge à pigeon et son non moins gonflant terme de « constateur » dont un groupement dont je me refuse à citer l’origine s’imagine être propriétaire et dont je zappe les commentaires disgracieux avec rudesse.