ESTHER - Orphan
Hier, nous sommes allé voir le film de Jaume Collet-Serra : Esther (Orphan). Ce n’est pas son premier film d’horreur et tout le monde se souviens de sa magistrale « Maison de cire », surtout ceux qui comme Dine et moi ne sommes pas trop attiré par ce genre de film. Mais, comme vous le savez en ce moment, nous n’avons grâce à SFR ni télévision ni internet et encore moins de téléphone aussi pour occuper nos soirées, nous allons au cinéma.
La bande annonce si elle ne dévoilait pas grand chose du contenu du film était suffisamment angoissante pour que nous classions ce film dans la catégorie de ceux que nous n’allons pas voir : les films d’horreur interdits aux moins de douze ans. Mais comme cette semaine, les sorties ne sont pas nombreuses, c’était le seul dont les horaires correspondaient aux nôtres.
Hé bien, nous n’avons pas regretté.
C’est un must, un hit, une petite merveille du genre. Pour vous donner une idée, il rejoint « la main sur le berceau » dans mon panthéon cinématographique personnel. C’est une question de rythme mais aussi une interprétation « magistrale » de ISABELLE FUHRMAN qui joue le difficile rôle d’Esther et dont les yeux noirs et … géniale, et le pire c’est que je ne peut vous dire combien pour ne pas vous dévoiler le ressort secret de ce film.
Quand au rythme, cela démarre très fort par une fausse « fausse couche » qui affectera durablement le spectateur mais aussi le couple Coleman. Kate Coleman(Vera Farmiga, excellente dans le rôle) est en mal d’enfant depuis sa fausse couche, doutant de ses capacités de mère depuis que sa fille Max a failli se noyer dans la mare au bas de chez eux, elle a cédée à l’alcool et la dépression mais se soigne. Son mari John(Peter Sarsgaard), un architecte tente de la soutenir, ils vont adopter . C’est la seconde partie de l’histoire.
Après la sanglante et choquante scène d’introduction, durant toute la présentation des personnages et de la situation, on s’attends à du sang et des sanies au moindre changement de plan. La musique et le montage sont ainsi fait que le moindre geste d’un des membres de la famille nous semble devoir aboutir à un vrai bain de sang. Mais il n’en est rien. La jeune Esther(Isabelle Fuhrman) est la politesse et l’amabilité incarnée à tel point que c’en est de trop. On s’attends à chaque image à ce qu’elle péte un plomb et ravage tout le monde.
Mais cela, c’est la troisième phase, elle tue. A coup de pierre ou de marteau, de cutter de flingue ou a mains nues, c’est plus que gore car vous ne comprenez pourquoi que dans la quatrième phase. Lorsqu’enfin vous connaitrez le véritable secret d’Esther, vous comprendrez pourquoi elle s’acharne et se délecte des carnages qu’elle provoque.
C’est … génial.
Isabelle Fuhrman sera une grande actrice, cela saute aux yeux, surtout quand le secret est révélé. Le maquillage ne fait pas tout. Elle est aussi géniale que le film qu’elle porte sur ses épaules.
La bande annonce si elle ne dévoilait pas grand chose du contenu du film était suffisamment angoissante pour que nous classions ce film dans la catégorie de ceux que nous n’allons pas voir : les films d’horreur interdits aux moins de douze ans. Mais comme cette semaine, les sorties ne sont pas nombreuses, c’était le seul dont les horaires correspondaient aux nôtres.
Hé bien, nous n’avons pas regretté.
C’est un must, un hit, une petite merveille du genre. Pour vous donner une idée, il rejoint « la main sur le berceau » dans mon panthéon cinématographique personnel. C’est une question de rythme mais aussi une interprétation « magistrale » de ISABELLE FUHRMAN qui joue le difficile rôle d’Esther et dont les yeux noirs et … géniale, et le pire c’est que je ne peut vous dire combien pour ne pas vous dévoiler le ressort secret de ce film.
Quand au rythme, cela démarre très fort par une fausse « fausse couche » qui affectera durablement le spectateur mais aussi le couple Coleman. Kate Coleman(Vera Farmiga, excellente dans le rôle) est en mal d’enfant depuis sa fausse couche, doutant de ses capacités de mère depuis que sa fille Max a failli se noyer dans la mare au bas de chez eux, elle a cédée à l’alcool et la dépression mais se soigne. Son mari John(Peter Sarsgaard), un architecte tente de la soutenir, ils vont adopter . C’est la seconde partie de l’histoire.
Après la sanglante et choquante scène d’introduction, durant toute la présentation des personnages et de la situation, on s’attends à du sang et des sanies au moindre changement de plan. La musique et le montage sont ainsi fait que le moindre geste d’un des membres de la famille nous semble devoir aboutir à un vrai bain de sang. Mais il n’en est rien. La jeune Esther(Isabelle Fuhrman) est la politesse et l’amabilité incarnée à tel point que c’en est de trop. On s’attends à chaque image à ce qu’elle péte un plomb et ravage tout le monde.
Mais cela, c’est la troisième phase, elle tue. A coup de pierre ou de marteau, de cutter de flingue ou a mains nues, c’est plus que gore car vous ne comprenez pourquoi que dans la quatrième phase. Lorsqu’enfin vous connaitrez le véritable secret d’Esther, vous comprendrez pourquoi elle s’acharne et se délecte des carnages qu’elle provoque.
C’est … génial.
Isabelle Fuhrman sera une grande actrice, cela saute aux yeux, surtout quand le secret est révélé. Le maquillage ne fait pas tout. Elle est aussi géniale que le film qu’elle porte sur ses épaules.