mardi, juin 30, 2009

La ligue de Football de Picardie

Pour la ligue de football de Picardie, tout semble évident et c’est tout juste si ils sont aimables lorsqu’on le leur fait remarquer. Après avoir poireauté plus d'un an avec un materiel qui ne servait pas à grand chose, après leur avoir demandé quand nous aurions le logiciel de saisie. Voici mon cas :
- Pour pouvoir saisir en Picardie les licences, il faut les saisir et les scanner dans une application appelée Footclub.
- Mais, pour pouvoir accéder à cette application, il faut s’inscrire et obtenir un pointeur et un mot de passe.
- Pour pouvoir s’inscrire, il faut cliquer sur le lien qui se trouve entre deux publicités à droite, dans la colonne de la page « saisissez-vos résultats ».
- Pour accéder à cette page, il faut bien évidemment un autre pointeur et un autre mot de passe que l’on peut obtenir par l’intermédiaire du 3614 Offifoot. Du moins, si vous avez encore un minitel.

Mais, comme vous voyez, c’est évident. Je ne comprends vraiment pas comment j'ai pu passer à côté.

P.S.: Papy va un peu mieux, ce n'est pas encore la grande forme mais il est maintenant bien pris en charge par son urologue. Quand à Mamie, heureusement, Nadine est là même si l'embrayage cassé de la voiture ne leur permet plus de faire l'aller et retour comme elles le souhaiteraient.

lundi, juin 29, 2009

Papy et Mamie

DSC05505
C’eut été un beau week-end, assez fructueux, puisque j’ai fini de peindre la grande chambre, et j’en suis à la moitié de la seconde, j’ai même monté une partie des meubles de cuisine.
Malheureusement, alors que j’étais à fêter les anniversaires des personnes âgées avec les jeunes d’Amiens-Jeunes, ma mère m’a appelé pour me prévenir de l’hospitalisation en urgence de Papy. Il semblerait qu’il ai fait une hémorragie suite à son opération de la prostate. Ce ne serait pas quelque chose de très grave si il n’avait eu soixante seize ans.

Le problème, c’est la pauvre Mamie qui depuis sa chute ne peut plus conduire et ils ont beau résider à moins de vingt kilomètres de Libourne et de son hôpital, elle se retrouve seule et bien loin de tout. Nadine va monter de la Corse pour l’aider et au moins la conduire. Il est assez dur de ne pas pouvoir les rejoindre et au moins partager cette épreuve avec elles. Mais je ne me vois pas tout lâcher ainsi, laisser tomber Claudine dans nos cartons.

J’ai toutefois bien conscience que le temps joue contre nous.

vendredi, juin 26, 2009

Prototype

Vous êtes Alex Mercer, alias le PROTOTYPE™. Le métamorphe. L’arme absolue. Vous n’avez ni souvenirs, ni pitié. Votre objectif: remonter jusqu’aux responsables de ce que vous êtes devenu. Et les faire payer. Transformez-vous. Transformez le monde.

Un air de grande marque


Nous ignorions en prenant cet appartement sous les combles que notre région est maintenant devenue une zone caniculaire. C’est en cherchant des renseignements sur les climatisations que nous sommes tombés sur le site de la marque Sauter : www.confort-sauter.com. Nous connaissons, comme tout bon amateur de la cuisine française, le sérieux et la chaleur des cuisinières Sauter et nous y avons découvert que la marque faisait aussi des ventilations, des chauffages et des chauffe-eau.


Sauter est l’une des sept marques du groupe Fagor-Brandt, qui depuis 2005, a redéfini très précisément le positionnement de chacune de ses marques et c’est ainsi que Brandt, Vedette et Sauter représentent, chacune dans leur domaine, le groupe pour la France. Ces trois marques véhiculent une notoriété, une image pleine de tradition et de valeur dans l’excellence et la qualité de ses produits culinaires.


On retrouve cette excellence et cette qualité dans la sobriété du site où tout se veut accessible en un seul clic sans toutefois tomber dans le fouillis désorganisé. Pour autant le temps de chargement des pages est des plus raisonnables. Le jeu de teintes est harmonieux et cohérent avec le sujet traité.


A propos des sujets traités, le site n’est pas uniquement là pour encenser la marque et vendre ses produits, il apporte à chaque visiteur une aide à la compréhension des problèmes liés soit au chauffage, soit aux chauffe-eau, à la climatisation comme à la ventilation. Il offre ainsi pour chacune des rubriques, un guide que l’on peut lire ou télécharger et qui apporte une aide précieuse dans les choix techniques. On n’y trouve aussi une rubrique qui détaille les notices d’installation ainsi que les fiches techniques des produits de la marque.


Donc, je me suis précipité sur la rubrique climatisation pour y lire le contenu du guide correspondant, mais malheureusement, il reste quelques rubriques en travaux.


Article sponsorisé


 

Les ordures ménagèresHier au soir avait lieu l’assemblée générale du club de football que je dirige mais ce matin, c’est d’un autre sport dont j’ai envie de vous parler. Si il se pratique lui aussi au pied, pour nous autres spectateurs, il est beaucoup moins amusant.

Depuis un peu plus d’une semaine s’est installée sur le parc de la Hotoie, la foire annuelle de la Saint Jean. Ors, si le vent ne nous apportait son lot de rire et de musique nous nous en satisferions. Malheureusement, il pousse aussi dans notre quartier une grande quantité de viande saoule qui emprunte aux premières lueurs de l’aube notre rue pour regagner ses pénates.

Comme il se trouve qu’à l’angle de celle-ci, le restaurant s’autorise la sortie prématurée de ses containers d’ordures ménagères, il leur fourni la matière nécessaire à la pratique de cette activité sportive.

Le jeu consiste à renverser les poubelles pour en extraire, au pied, un ou plusieurs sacs dans lesquels on shoote jusqu’à l’angle opposé ou une éventuellement éventration. Je ne sais encore par quel système de point se détermine le vainqueur, mais dans tous les cas, les perdants sont les résidents.

Bien évidemment, le week-end, les services municipaux de la voirie sont injoignables, surtout depuis l’installation d’un standard automatique où il est nécessaire de connaître le nom et le prénom de son correspondant. En plus, à la police municipale, je ne suis pas sur qu’ai été maintenu le principe d’un personnel municipal de permanence.

En attendant, les seuls à vraiment goûter cette pratique, sont les chiens errants.

jeudi, juin 25, 2009

Soyons réactifs

ATTENTION, ATTENTION,

Nous devons rester fort réactifs et veiller à ce que ce soir, la municipalité mette bien au vote notre subvention de fonctionnement pour l'année 2009.
Restons mobilisés jusqu'au bout.

mercredi, juin 24, 2009

Post, postes et colle les grammes

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A chaque grosses manifestations d’Amiens-jeunes, nous envoyons à ceux qui ont émis le souhait de participer à telle ou telle manifestation, une invitation. C’est ainsi que depuis des années nous faisons systématiquement des envois en nombre afin d’économiser une vingtaine de centimes par enveloppes soit pour 600 enveloppes près de 120 euros de gagnés par envoi.

Je vous passerai les vicissitudes de la mise sous pli mais sachez que dimanche soir, j’ai donc récupéré un carton de 635 enveloppes scellées et adressées. Dès le lundi matin, nanti de ma carte « professionnelle », je me suis présenté au bureau de poste pour procéder à l’envoi. Malheureusement, le responsable n’étant pas encore arrivé, on m’a proposé d’attendre ou de me vendre des timbres pré-oblitérés à trente sept centimes, les fameuses « ancolies ».

Après avoir perdu ma mâtiné à coller les timbres, il est apparu que le comptage de Loïc avait oublié une trentaine de plis. Je suis donc repassé au guichet acheter les trente ancolies manquantes et l’après-midi même, je reçois un coup de fil du responsable qui m’annonce que notre envoi eut du être affranchi à 38 centimes et qu’en conséquences, il tiens à ma disposition six cent soixante cinq timbres d’une valeur faciale d’un centimes.

Mardi matin, à l’ouverture et en l’absence du responsable, j’ai expliqué de mon air aimable au guichetier que si j’accepte de payer les six euros soixante cinq cents d’écart, il est hors de question que je me colletine les timbres à coller. Je lui laisse donc un chèque, les enveloppes et basta.

Nouvel appel du responsable qui m’annonce que pour bénéficier du tarif des envois en nombre, il est nécessaire qu’en plus d’une adresse mécanisable(écrite à la machine), figure sur l’enveloppe l’adresse de l’expéditeur pour un éventuel retour à l’envoyeur. Donc, retour à l’envoyeur, je me retrouve à perdre mon après midi à tamponner le cachet de l’association sur les six cent soixante cinq enveloppes.

Avec un peu de chance, elles partiront enfin aujourd’hui. Qu’est-ce que l’on peut perdre comme formalités administratives. Et nous n’avons toujours pas fini notre déménagement.

Seigneur

L'œil de Sauron

J’ai trouvé dans ma boite à lettre un drôle de papier, une sorte de questionnaire intitulé :
3.Jésus, Seigneur de la moisson et signé d’un certain « Matthieu » qui visiblement s’est trompé en notant son numéro de téléphone : 09.35.10.23. A vrai dire ce Matthieu n’est pas très attentif ou habite dans un pays étranger, il nous donne tout un tas de numéro où le joindre mais à chaque fois incomplets, il va même jusqu’à nous donner celui de son copain Luc, mais il est encore plus court : 22.35.36. Bon, cela c’est rien, de toutes façons, je ne comptais pas les appeler.

De ce que j’ai compris, il nous demande de réfléchir sur … le fait que lorsque l’on commence à faire un projet, il est important d’avoir de bonnes attentes. Il nous demande de penser à des exemples où les mauvaises attentes ont eu des conséquences négatives importantes.

Il pose ensuite une dizaine de questions plus ou moins difficile :
1 - Dans le passage, quelle preuve y a t’il de l’autorité de Jésus ? Comme je n’ai jamais rencontré dans la ruelle le moindre « Jésus »( à moins que nous nous soyons croisés et que je n’ai pas eu connaissance de son nom), je ne peux dire si il y a là la preuve de son autorité.

Presque toutes les autres questions sont du même acabit. Quand il n’est pas fait référence à ce mystérieux Jésus, il est alors question de faire la moisson avec des ouvriers ou des disciples.Bref, je n’ai pas bien compris la raison pour laquelle cette étrange billet c’est retrouvé dans ma boite à lettre. Encore une erreur d’acheminement de la poste sans doute…

mardi, juin 23, 2009

Mieux vaut être seule que mal accompagnée.

Solitude : Loneliness is the poverty of self; solitude is the richness of self.

C’est ce que B. a prétendue. Peut-être à t’elle raison, mais sa façon de le dire était loin d’être aussi convaincante que ces arguments. Exploitée, puis battue par son mari, son amant fit de même. Elle semble attirer sur elle tous les salopards de la terre. Elle est gentille, travailleuse, loin d’être bête mais peut-être trop serviable.

Claudine connaissait depuis longtemps tous les malheurs et les péripéties qui ont émaillés la vie de B.. Mais je les ignorais. Ce n’est qu’après nous en avoir parlé que nous avons évoqué sa situation actuelle et en particulier sa solitude. Ors, la solitude semble lui peser. Au fur et à mesure qu’elle nous parlais de ses combats journaliers contre les effets de l’alcool et de la jalousie, une larme perlait au coin de ses yeux mais au fur et à mesure qu’elle descendait sur sa joue, nous percevions caché derrière ses propos que dans les souvenirs de ces instants, où la solitude ne l’accablait pas, ne se trouvait pas que du malheur.

Elle nous a parlé de la peur que l’on ressent lorsque ses enfants sont mis en danger, mais aussi du plaisir d’être deux. C’est là que l’on se rends compte combien la solitude est une chose difficile à vivre pour qu’elle en vienne à regretter en partie cette époque.

lundi, juin 22, 2009

Faux bons conseils

Ca Cyr rien !

- « Ton dernier message sur la double négation est aussi imbuvable que d’habitude ».
- « Mais, non ! Il est important de faire un bon usage de la sémantique si l’on veut se faire bien comprendre ».
- « Oui, pourquoi faire simple lorsque l’on peux faire compliqué ? »
- « Tiens, tu viens d’user d’une phrase qui littéralement exprime le contraire de ce que tu pense. »
- « Tu m’as très bien comprise. Je maintient qu’avec un sujet, un verbe et un complément, il n’y a pas à chercher la petite bête. »
- « Mais, ce n’est pas si simple, on ne peut pas toujours tout exprimer ainsi. Il est des situations complexes. »
- « Pas besoin d’être sortie de Saint Cyr. Ce qui se conçoit simplement, s’exprime clairement. »
- « Oui, certes. Mais, si tu ne connais pas certaines règles, tu passes pour une conne. »
- « Non, je t’assure. Donne un exemple. »
- -« Béh…Tiens, à la boulangerie, tu ne dis pas : éclair ! Et si tu ne connais pas le genre du mot, tu passe pour une conne. »
- « On va voir.Bonjour madame B. J’aurais voulu deux éclairs. Au café, pour moi, et pour toi ? ».
- « Hein ! Heu ! Chocolat. »
- « Un chocolat ? Tu es sur que c’est masculin ? Et vous Madame B ; vous pensez que c’est masculin ? »
- « Non, on dit un éclaire dans le ciel et une boulangerie. »« Ah ! Tu vois François, c’est toi qui passe pour un con. Pas besoin de sortir de Saint Cyr. »

samedi, juin 20, 2009

N'en faites pas trop

negation Tous les informaticiens connaissent la logique moderne telle que la définie la structure algébrique et sémantique crée par George Boole. J’ai bien dit algébrique et surtout sémantique.

On n’y apprends à faire un usage parcimonieux des affirmations comme des dénégations et du coup, cela me frappe toujours lorsque je rencontre au cours de mes lectures une double négation ou une double affirmation dont l’auteur semble ignorer que doublée, elles s’annulent.
Voici donc un petit florilège de phrases ou de citations dans lesquels le doublement ne permet pas d’obtenir l’effet souhaité. Je vous invite donc à y réfléchir en commençant par celui qui m’a frappé le plus récement :

- « Formulaire de changement d’adresse du domicile ».
- « Il ne fais jamais rien ».
- « Il n’en n’utilise pas ».
- « Il n’y a jamais personne ici ».
- « C’est la plus belle chose que je n’ai jamais vue ».
- « Il ne m’a pas dit cela sans raison ».
- « Ce livre n’est pas dénué d’intérêt. »
- « Quant n’ai je pas vu passer ! »
- « Je n’admet pas que les choses ne se soient passées ainsi »
- « Ce n’est pas impossible de … »
et la très célébre : « vous n’êtes pas sans ignorer que ».

J’espère que vous étiez sans l’ignorer.

vendredi, juin 19, 2009

Transformer pour Sony

De grands spectacles

 



Je me souviens combien, étant jeune, j’admirais le ballet des fontaines que l’on pouvais apprécier depuis les fauteuils hyper-souples du cinéma « le grand Rex » sur les grands boulevards parisiens.


Ors, je viens de découvrir que, dans son nouveau programme, le « Grand Parc du Puy du fou », sur le vieil étang, les organisateurs ont installés un fabuleux ballet de fontaines qui rappelle aux spectateurs les grandes heures du Rex ou de Versailles.



 

 


Alliés à la musique du compositeur baroque, Jean-Baptiste Lully et de deux timbaliers (Le timbalier est le musicien qui joue des timbales, un instrument de percussion qui peut être joué par un percussionniste.), l’orchestre et les 120 fontaines géantes interprètent une chorégraphique aquatique spectaculaire.


Comme d’habitude, les spectacles organisés par le Grand Parc du Puy du Fou laissent une place prépondérante à l’interactivité : Entre chaque spectacle, les visiteurs en vacances peuvent également activer les fontaines grâce à quatre claviers interactifs placés autour de l’étang et devenir, eux-mêmes, les chefs d’orchestre de leur propre spectacle aquatique. 120 jets d’eau de 20 mètres de haut, une architecture sonore exceptionnelle à 360° qui enveloppe totalement les spectateurs grâce à 13 sources sonores placées autour du lac.



 

 


Complètement à l’opposé, la nuit, le Grand Parc ouvre ses portes en juillet comme en aout sur un nouveau spectacle nocturne. Dans un univers féérique, se déroulle l’histoire d’un amour absolu entre deux êtres fantastiques, un pianiste au regard de cristal et une muse violoniste. Portées par Mozart, Litz, Delerue, Bach ou Bizet, dans un décor vespéral, les muses et les fées surgissent du fond du lac et ballerines, farfadets, nymphes ou musiciens dansent sous des lunes, glissant à fleur d’eau autour d’un piano « aqueux » lustral, d’une harpe d’or ou d’orgues gigantesques crachant l’eau comme le feu.


Les costumes ont été réalisés par l’Académie de Costumes du Puy du Fou, plus de 600 mètres de rails immergés permettent le patinage aquatique, un orgue géant de 12 mètres de haut, on retrouve les 120 jets d’eau, l’Orchestre Philarmonique de Prague et une dizaine acteurs pour un spectacle de 30 minutes.



 

 


Comme vous le voyez, le Grand Parc du Puy du Fou se renouvelle, aussi, même si vous y avez déjà étè, rien ne vous interdit de faire une réservation sur http://www.puydufou.com/, un système de réservation de billet en ligne est disponible sur le site et ils sont directement imprimables pour une plus grande facilité de réservation.


Vous y aurez peut-être une chambre au logis de Lescure, un hôtel d’exception étonnant. Il y a quelques années, le Puy du Fou a fait l’acquisition d’un Logis du XVIIIème siècle. Face à la beauté de ce bâtiment, l’idée a surgi de le transformer en hôtel d’exception. Ce nouvel hôtel thématisé ne possède pas d’équivalent. Ce lieu hors du commun réinterprète la maison où vécu un jeune érudit qui a marqué l’histoire du Puy du Fou nommé Lescure . Il est composé de quatre suites exceptionnelles, en duplex : « La Salle des Blasons », « Le Planétarium », « Le Cabinet de Curiosité » et « La Salle des Miroirs ». Une attention toute particulière a été portée à l’architecture d’intérieure avec un souci du détail et de l'authentique (environ 80% de la décoration est chinée). Ainsi miroirs d’époque et exemplaires uniques tiennent bonne place dans « La Salle des Miroirs » ; un énorme globe traverse les deux niveaux de la suite « Le Planétarium » ; « Le Cabinet de Curiosité » transporte le visiteur dans une ambiance baroque de zoologie et de voyages; enfin, c’est au plafond que figure l’arbre généalogique de Lescure dans « La salle des blasons ». D’une surface totale de 300 m2, chaque suite pouvant accueillir de 4 à 6 personnes dispose d’une terrasse privative et offre la possibilité de se restaurer dans le salon, à tout moment.



 


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La loi et le coran

Burka
J’espère que vous avez suivit avec autant d’intérêt que moi les échanges acidulés auxquels se prêtent nos élus régionaux avec le temps que l’on leur confie. Je suis toujours sidéré de voir avec quelle facilité ils occultent les sujets en focalisant l’attention sur leurs luttes et leurs divergences. Les politiques ont bien l’art d’éluder. Si comme l’un et l’autre le prétendent, ils tiennent à conserver l’intégrité de notre région, il serait plus raisonnable et responsable de mettre en avant la volonté qui les unis.

Parfois, je me demande jusqu’à quel point ils nous prennent pour des cons. J’entendais ce matin à la radio, l’une d’entre eux, user, pour dénigrer l’usage de la burka de la formule d'Henry Lacordaire : « C’est la liberté qui opprime et la loi qui affranchit ». Ce qu’oublie bien facilement cette juriste, c’est que dans un monde où foisonnent plus de 8000 textes législatifs, les uns amendant les autres, seuls les avocats s’en sortent et comme l’a si bien dit Antoine Cassan, « De nos jours s’est la loi qui opprime ». Je peux si elle le souhaite user d’autant de citations allant dans ce sens mais cela n’en fera pas pour autant une vérité assénée :
- Molotov : Les lois ne sont pas faites pour défendre les individus contre l'État, mais pour défendre l'État contre les individus.
- Alfred Jarry : Il faudrait, dans le Code Civil, ajouter partout « du plus fort » au mot loi.
- Lysander Spooner : Les lois ne représentent que les ententes qu'ils ont jugé nécessaire de conclure afin de maintenir leur organisation et d'agir de concert pour dépouiller les autres et les réduire en esclavage.
- Montesquieu : Il ne faut légiférer que d'une main tremblante.
- Saint Thomas d’Aquin : S'il y avait autant de règles et de mesures qu'il y a des choses réglées et mesurées, règle et mesure perdraient leur raison d'être.
- Max Stimer : L’État est le maître de mon esprit, il veut que je croie en lui et m’impose un credo, le credo de la légalité.
Et surtout la citation de Jeremy Bentham : « Toute loi est un mal car toute loi est une atteinte à la liberté ».
Cela s’applique tout autant à la loi sur le foulard qu’à la loi coranique. Fichez donc la paix aux gens, ne les prenez plus pour des cons et laissez nous vivre.

jeudi, juin 18, 2009

J'écris parce que je chante mal: Confiture de perles

Faites donc un petit détour par ici, retrouver quelques perles qui en cette période de BAC philo ont de quoi détendre l'atmosphère.
J'écris parce que je chante mal: Confiture de perles

Presque pas une réponse

Nous avons réceptionné, mercredi, notre canapé, la table basse et les deux armoires. Contrairement à ce que certains s’autorisent à penser, ce n’est pas de gaîté de cœur si nous avons fini vers vingt trois heures le transfert de l’armoire qui constitue le seul héritage de Claudine, un souvenir de sa mère.

Ce n’est pas non plus de gaîté de cœur, si l’on change ainsi tout notre mobilier. Il est, en effet, fort compliqué de descendre une armoires, si ancienne qu’elle ne se démonte pas, du premier étage, puis de la remonter sur trois étages sans passer par l’ascenseur, tout comme monter ainsi un canapé de plus de deux mètres le soir sans déranger les voisins.

Je ne considère pas cela, pour autant, comme une excuse, car même si l’on souhaite me voir éprouver culpabilité et compassion, je rappelle que j’ai commencé par dire qu’il ne me serait pas possible de fournir le service demandé l’après-midi même. C’est sur l’insistance et en toute bonne foi que j’espérait avoir fini vers 21 heures, mes journées sont, aussi, fort longues et ce n’est visiblement pas mon manque de disponibilité actuel et mes problèmes de santé qui empêchent de charger la mule.

P.S. : Je te conseille de relire ton message du Mercredi 27 Mai 2009 7h45mn 30s et de le comparer à la lettre envoyée. Tu y trouvera bon nombre de points communs même si il est « démocratique » de tenir compte de l’ensemble des avis. Quand aux conséquences que cela peut avoir sur ta carrière, il me semble que c’est toi qui as défini la liste des institutionnels/destinataires le Mardi 26 Mai 2009 21h25mn 23s. Mais, bon, je mets cela sur le compte de la frustration.

Projéte Guy, projéte...


Entre les déplacements de meubles, le nettoyage de l’appartement, la peinture et les réunions à droite ou à gauche, j’ai réussi à trouver un créneaux pour enfin pouvoir me faire arracher cette dent de sagesse en partie déchaussée et sous laquelle s’est développé une sorte d’abcès qui depuis une quinzaine de jours me faisait souffrir et qui depuis trois m’empêchait de dormir.

Donc, calé entre deux rendez-vous, j’ai passé ma pause repas du midi la bouche béante et les quatre fers en l’air à ahaner comme un âne ma crainte des piqures.

En gros, rien de bien original à cette extraction, si ce n’est que durant l’après-midi, j’avais une réunion avec l’association YLF pour la signature d’une convention. Comme il faisait assez chaud, ce n’est pas l’une de mes varices nasales qui a lâchée, mais une petite hémorragie qui s’est déclenchée dans le fond de ma bouche.

Ors, il n’est rien de pire que de savoir que l’on a un problème et tenter de le masquer sans vraiment y arriver. D’autant que le sang quelqu’en soit l’origine, c’est assez impressionnant. Bon, nous n’étions tout de même pas dans l’un des épisodes de « Dexter », mais il est assez perturbant, au fur et à mesure que vous parlez, de voir de petites projections marquer de points rouges vos notes, de sentir à la commissure des lèvres un écoulement qui risque à tout instant de vous trahir alors que même l’épaisseur d’un kleenex ne saurait masquer la couleur du liquide.

J’ai eu beau me rendre dans une officine préalablement, pas moyen d’obtenir une ampoule d’Exacyl sans ordonnance. Comme si le moindre hémophile se promenait avec ses prescriptions de poudres, ampoules et cotons.


Je ne pense pas être passé inaperçu après mon discours plus que coloré…

mercredi, juin 17, 2009

Désolé,


Mes activités internet sont en ce moment plus qu’erratiques à tel point que je n’ai pas encore pris les cinq minutes nécessaires pour répondre au message de Julie qui me demande si elle doit arrêter son « Retro Blog ». Alors j’en profite pour vous en parler tout en réfléchissant à la question.

Julie fut et restera la première des bloggeuses « sérieuse » que j’ai rencontrée et qui m’ai donné envie de participer dans un premier temps, puis d’écrire moi-même. J’ai appris à la connaître en lisant tout d’abord son blog « Il y a de la vie après 70 ans ». Cela correspondait tout à fait à ce que je pensais et vivais par l’intermédiaire de l’association Amiens-jeunes : Les « vieux » ont le droit de vivre.

Comme en plus, dans son style et son vocabulaire transparaissait un esprit dynamique, vif et sympathique en même temps que pointait dans son orthographe, un charmant « accent », j’ai pris plaisir à lire son quotidien puis à découvrir sa vie et son passé dans son « Rétro-Blog », une transposition de ses carnets de jeunesse, un éclairage nouveau sur toute une période de l’histoire de l’Europe centrale. Le point de vue d’une enfant, d’une jeune femme puis d’une femme sur le monde, ses désirs, ses proches et sa vie. Une page de lecture quotidienne qui m’a permis de comprendre et d’aimer cette dame qui sans le savoir sème sur le net les parcelles de ses souvenirs pour y récolter une moisson d’amis.

Maintenant, voilà. Ces deux blogs qui traversent le temps dans un sens et dans l’autre, l’un allant de 1944 à 2004(le journal de Julie) tandis que l’autre s’enfuit vers l’avenir, ont atteint leur point de conjonction. L’instant à compter duquel ils se chevauchent et où il lui faut prendre la décision de continuer ou bien d’arrêter.

Je ne serais pas d’un grand conseil mais puisqu’il m’est demandé mon humble avis, je lui dirai de le laisser maintenant vivre sa vie comme un enfant qui quitte le nid, de le corriger selon son bon plaisir lorsqu’elle y détectera quelques fautes d’orthographe ou de syntaxe, au fur et à mesure de sa maitrise de plus en plus grande du français pour qu’elle puisse continuer d’aller de l’avant. L’idéal étant de coller à la fin de son journal le contenu de « Il y a de la vie après 70 ans » qui constitue lui-même une sorte de journal de la période en cours.

Elle avait déjà laissé à notre curiosité un hommage émouvant à sa grand-mère dans le « journal de Sidonie » tout comme elle s’investit pour la Roumanie, les vidéos, la photographie et même son expérience londonienne qui n’est pas sans rappeler les blogs d’étudiants expatriés.

De toutes façons, quelque soit sa décision, elle reste pour moi une cabotine.

mardi, juin 16, 2009

Ne touchez pas à ma Picardie, et ne l'utilisez pas non plus


Il y a quelques temps comme plus de 85000 picards, j'ai signé la pétition du comité de "Touche pas à ma Picardie". Ors, qu'apprends-je ?
Des cons de politiques n'ont pas pu s'empêcher de reprendre nos signatures et de se les renvoyer à la figure sans tenir compte du pourquoi et du comment nous en étions venus à défendre notre région contre les conclusions du comité Balladur.
Voici le petit billet que le comité nous a fait parvenir :
"Par courrier daté du 9 juin, la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés (C.N.I.L) a fait savoir à Philippe Massein, membre du collectif « Touche pas à ma Picardie » et Président du groupe socialiste au Conseil régional, que Madame Cayeux, Présidente du groupe UMP-Nouveau Centre au Conseil régional, l’avait saisie d’une plainte relative à lapétition en ligne http://www.touchepasamapicardie.fr/.
Pourquoi ?
En février 2009, la crainte de voir notre Picardie rayée de la carte au moment où le « Comité Balladur » terminait ses travaux, incitait le collectif «Touche pas à ma Picardie» à lancer une pétition en ligne signée à ce jour par 85.000 Picards. Des Picards qui, au-delà de tout esprit partisan, se sont mobilisés pour exprimer leur attachement indéfectible à la Picardie. Une mobilisation si forte que le Comité Balladur retirait de son rapport final les cartes qui illustraient l’éclatement de la Picardie.
Pendant ce temps, la Présidente du groupe U.M.P refusait de s’inscrire dans une démarche collective de défense de la région et préférait assurer sa promotion personnelle en tentant de faire oublier la responsabilité de ses amis parisiens dans ce funeste projet auquel le gouvernement n’a pas renoncé.
Aujourd’hui, elle saisit la C.N.I.L d’une plainte, comme si le fait demanifester son amour de la Picardie et de défendre sa région était un délit, voire un crime. Nous savons tous que le projet de loi qui reprendra tout ou partie des propositions du Comité Balladur sera déposé à l’automne. Madame Cayeux connaitrait-elle déjà le contenu de la loi et voudrait-elle empêcher le collectif «Touche pas à ma Picardie» de défendre notre région et de mobiliser les Picards ?En tout état de cause, le collectif « Touche pas à ma Picardie » continuera à combattre à vos côtés pour sauvegarder notre Picardie. Nous vous appelons donc à rester vigilants et à amplifier la mobilisation en signant et en faisant signer la pétition en ligne."
Comme vous voyez, c'est un combat droite-gauche qui commence. J'invite donc la dite Présidente du groupe UMP-Nouveau Centre au Conseil régional mise en cause à son tour à nous expliquer le motif exact de sa plainte. S'agit-il du fond ou de la forme ? Défendra-t'elle notre région pour laquelle elle se trouve élue ? Et il n'est pas question de générer une nouvelle polémique autour du sujet mais bien de répondre à cette question : Quel est l'objet de cette plainte ?
Cette prompte présidente me fais donc parvenir ce communiqué de presse qui constitue sa réponse en espérant que le débat en restera là. L'important restant de maintenir l'unité picarde.
"Défense de la Picardie : mensonge et désinformation du PS, Caroline Cayeux demande à la majorité au Conseil régional de garder son calme et son sang froid

En réponse au communiqué de presse publié ce jour par M. Philippe Massein, Président du groupe socialiste au Conseil régional, Mme Caroline Cayeux et les élus du groupe « Aimer la Picardie » tiennent à rétablir la vérité.

M. Massein accuse en effet Mme Cayeux d’avoir déposé une plainte auprès de la CNIL, Commission Nationale Informatique et Liberté, au sujet de la pétition en ligne « Touche pas à ma Picardie ». Ces accusations son mensongères et infondées.

« J’ai moi-même lancé un appel à la mobilisation la plus large possible pour défendre l’unité de la Picardie alors qu’il était envisagé, dans le cadre du rapport de la commission présidée par M. Edouard Balladur sur la réforme des collectivités territoriales, d’éclater notre territoire entre l’Ile-de-France, la Champagne-Ardenne et le Nord-Pas-de-Calais.

Je me suis battue de toutes mes forces et j’en ai appelé à mes amis, aux personnalités picardes, aux citoyens de cette région et à toutes les bonnes volontés pour démontrer tout l’attachement que nous avions à voir survivre l’unité du territoire picard.

Les accusations de M. Massein ne sont pas dignes du débat que nous devons avoir sur ce sujet. Il est ici question de l’avenir d’une région et de sa population, on touche ici à l’identité même de chacun d’entre nous, le détournement politique qu’en fait M. Massein est pitoyable » a tenu à affirmer Caroline Cayeux.

« En revanche, dans le cadre du droit à la protection de la vie privée et de ses données personnelles, le droit français impose que la constitution de tout fichier d’individus soit déclarée auprès des instances de la CNIL. Je n’ai déposé aucune plainte à ce sujet, mais simplement voulu m’assurer qu’il ne serait pas fait usage à des fins politiciennes du fichier constitué par le parti socialiste. La réaction ce jour de M. Massein démontre peut être que nos craintes étaient fondées » a tenu à préciser Caroline Cayeux.

Caroline Cayeux tient à conclure en souriant que « la réaction disproportionnée de M. Massein, puisqu’en aucun cas je n’ai déposé de plainte devant la CNIL, est peut-être le signe d’une nervosité palpable de l’actuelle majorité. En arriver à de tels procédés, témoigne de la conception du débat politique qu’a le groupe socialiste à la région. Nous espérons qu’il ne s’agit pas là des prémices de la tonalité de la future campagne des élections régionales. »

Le groupe « Aimer la Picardie » souhaite par ailleurs rappeler à toutes les Picardes et les Picards qui souhaitent s’investir dans la défense active d’une Picardie unie, qu’ils peuvent se rendre sur le site :
www.referendum-picardie.fr afin de signer l’appel à l’organisation d’un référendum de défense de l’unité picarde.

Contact presse :
Sébastien Colombel
06 30 49 20 25
colombel@cr-picardie.fr
www.referendum-picardie.fr
www.aimerlapicardie.fr"
Je ne suis pas sur que l'un comme l'autre ai réellement conscience que les picards sont loin d'être cons et capables de se faire leur propre opinion sur le sujet en ayant les sons de cloche des deux partis. Je rappel donc à l'une que les pétitions sur internet font bien souvent l'objet d'une demande globale auprès de la CNIL et à l'autre qu'un usage à fins de mailing de ces informations dans un cadre autre que l'objet de la dite pétition est assez mal venu.

lundi, juin 15, 2009

Prout-prout

Foulard Hermès de bourgeoise
Ce week-end, avec l’aide du chariot emprunté au service voisin, j’ai démonté, déménagé et remonté le meuble de la salle. Le résultat correspond tout à fait à nos attentes. Ce vieux meuble trône et est mis en valeur au centre du mur du fond de la salle. Toutefois l’opération n’a pas été de tout repos.

Certes, c’est du solide et en conséquence du lourd mais sa conception a prévue un montage et un démontage simple, facile. A tel point que ce buffet massif de plus de deux mètres de larges sur presque autant de haut, a pu, des tiroirs aux derniers chevrons, tenir dans le coffre de ma 307.

Il ne m’a donc fallu qu’un seul voyage pour amener l’ensemble du meuble dans la cour entre le garage et l’immeuble de notre appartement. Et là, est le hic. Dans cet immeuble hyper-sécurisé où il faut des cartes particulières pour faire refaire la moindre clef, on ne peut pénétrer sans mettre d’une main la dite clef dans une serrure provocant le déblocage de la porte tout en la tirant de l’autre. Donc, pour faire rentrer le meuble dans l’entrée, je devais lâcher le chariot qui s’en allait faire sa vie au bas de la pente pour ouvrir la porte et le temps que je le récupère, la porte se refermait.

Le croiriez vous, j’y ai croisé au moins deux costard-cravate auxquels il ne serait pas venu à l’idée de me tenir la porte. Il y a même eu une pétasse blonde, genre prout-prout au foulard hermès qui en froissant son nez s’est empressée de refermer la porte de peur que ma chemise hawaïenne et mon short ne détonne.

Heureusement, sur les vingt-quatre habitants de la résidence j’en ai croisé trois, au même étage que nous qui eux m’ont l’air serviables et sympatiques.

samedi, juin 13, 2009

Les disques relais induction




Argh ! Que dis-je argh ! Je vais tenter de vous expliquer. Comme vous le savez surement dans ces immeubles modernes hyper-sécurisés il n’est pas prévu que l’on cuisine au gaz, même de ville. Ors comme pour tous ceux qui aiment la bonne bouffe, la maitrise de la température de cuisson est un élément déterminant dans une cuisine. C’est la raison pour laquelle nous avons envisagé de nous doter d’une plaque de cuisson par induction. D’autant que l’un des avantage de ce système est un refroidissement rapide et lorsque l’on a des chattes en guerre qui se coursent à travers toute la maison en faisant fi des zones à risques, mieux vaut limiter les risques.

Le principe de l’induction oblige le cul des objets à adhérer sur la surface car c’est la partie métallique qui en transmettant le courant se met à chauffer. Ors, après avoir fait le test de l’aimant (on promène un aimant sur le cul de la poêle ou de la casserole et si il adhère, il peut servir sur la plaque à induction.), il nous est apparu qu’omis une casserole, le reste de la batterie de cuisine de Claudine est incompatible avec une plaque à induction.

Donc, dimanche dernier nous avons opéré une première séance de « ballage » où la moitié de celle-ci est partit se faire recycler. Nous avions décidé qu’il valait mieux attendre d’être totalement déménagé avant d’en racheter mais qu’en attendant, nous pouvions nous débarrasser de ce qui ne servirait pas durant la quinzaine, soit en sus des poêles et des casseroles, les cocottes et grills à viande ou à poisson en fonte d’aluminium. Bref, une petite fortune en matériel hautement spécialisé : pasta, poissonnière, bac à bain marie, etc …

Ors, en discutant des dépenses inhérentes au déménagement avec ma banquière, elle m’a appris qu’il existe des « disques relais pour induction », en fait il s’agit tout simplement d’un disque métallique doté d’une poignée que l’on interpose entre la plaque à induction et le cul de la casserole. Lui, étant métallique assure le transfert de l’électricité et la diffusion de la chaleur pendant que l’ustensile de cuisine rempli son office.

Voici donc, une bête invention qui reviens à beaucoup moins chère qu’un remplacement total. Il ne coûte pas plus qu’une poêle compatible avec l’induction. Malheureusement, bien peu la connaissent.

Donc, pour parfaire votre éducation voici un petit lien pratique qui même sur la page des offres de « disques relais induction ».

vendredi, juin 12, 2009

HADOPI RIP LOL


Passage éclair

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Comme j'ai passé la soirée (jusqu'au petit matin, à vrai dire) à démonter proprement le meuble du living, je suis un peu fourbu et comme du coup je n'ai pas trop d'idées pour alimenter mon blog aujourd'hui, je vais vous renvoyer sur une série de photomontages originaux que j'aimes beaucoup et que j'ai découvert tout simplement parceque sa copine (Emma Cabrera) est passée faire un tour sur mon blog et a laissée une trace (MyBloglog) qui m'a conduit jusqu'à ce magnifique set de Vincent Bousserez, sur Flickr dont ce cliché est issu(.) .

Cela vous donne une idée du travail de titan que nous sommes en train d'effectuer. Il nous faut prendre un à un tous les souvenir d'une vie et les trier en quatre tas : ceux qui vont à l'appartement, au garage, à la déchetterie et enfin à la poubelle. Par déchetterie, nous entendons en fait, ceux que l'on accepte de voir récupérés par les éboueurs ou toute autre personne faisant les poubelles (on les mets en évidence sur les conteners ou on les même à la déchetterie).

Ce week-end, je prévois de remonter le meuble de l'autre côté et de finir la peinture du plafond de l'entrée. Le peintures de la salle étant finies, le me suis déjà attaqué à celles de l'entrée.

Comme dirait Marie-Christine : "Courage, le ciel est au bout".

jeudi, juin 11, 2009

Sans sucre

Je ne comprends pas les responsables de l’industrie agro-alimentaire qui s’aliènent une grande partie de la population, celle de plus en plus nombreuse des diabétiques. Avez-vous conscience que pour satisfaire les goûts du plus grand nombre, même le fromage blanc à 0% de matière grasse contient du sucre ?

Comme les produits adaptés aux diabétiques sont rares, autant en parler de façon à les trouver dans les rayons de nos supermarchés. C’est le cas de tous les produits de la gamme Karélia de Clara Senter Nutrition. Ils ne contiennent pas de sucres dits « simples », tels le fructose, le galactose, glucose, lactose, maltose, saccharose, etc…

Les encas gourmands saveur abricot permettent aux diabétiques comme moi de retrouver le goût mais aussi et surtout, le plaisir d’une pâtisserie, un petit gâteau, même sec, fondant sur la langue….Quel plaisir. Ils sont commercialisés par 3 sachets fraicheurs de 4 biscuits ronds de 11 grammes. Spécialement étudiés pour nous autres, cela correspond à un apport nutritionnel de 164,5 Kcal, une misère pour seulement 18,5 grammes de glucides dont moins de 0,5 grammes de sucres simples.

Le goût abricot est beaucoup moins prononcé que ceux à la figue.

A noter toutefois qu’une consommation excessive peut avoir des effets laxatifs mais les diabétiques sont habitués aux diarrhées des glucophages.

mercredi, juin 10, 2009

UhU

Lapiceros, feigling, celular, encendedor
Aujourd’hui, je ne savais pas quoi faire et je n’avais pas envie de me mettre à peindre le plafond du salon à l’appartement. Alors, j’ai décidé de me mettre à la comptabilité de l’association. Oh ! Pas pour compter et recompter, mon courage n’allait pas jusque là. Plutôt pour trier et coller les justificatifs des dépenses dans le gros cahier de 96 pages comme je le fais chaque année.

J’ai trié les justificatifs par numéros et je me suis armé de mon stic de colle UHU. Tout en badigeonnant le revers des tickets de caisse, il m’est venu à l’esprit que l’on a tendance à oublier les bonnes idées quand on en voit une.

En effet, je me souviens d’un temps où l’on trouvait la colle à papier sous deux formes uniquement. La colle blanche dans des petits pots comme des pots de crème glacée, accompagnée d’une petite cuillère. On déposait alors de gros pâtés d’une colle blanche qui tendait à sécher et se fendre avec le temps. Quand ce n’était pas à partir de pots, c’était des tubes d’une colle par trop liquide dont on se maculait les doigts.

Le bâton de colle UHU Stic se décline en différents formats, qui vont du petit stic de la taille d’un bâton de rouge à lèvre contenant 8,2 grammes de colle au gros de 40 grammes que j’utilise pour la comptabilité. Tous les trois ont la même forme et la même conception, il n’y a que la taille qui change. Chaque stic se décompose en quatre parties.

Tout d’abord, un bouchon blanc qui se visse, se dévisse et surtout évite à la colle de sécher. Il a une hauteur environ égale au dixième de la taille totale du stic et est strié verticalement afin d’éviter que les doigts ne glissent lorsque l’on tourne l’opercule.

Le corps du stic est d’un jaune canari des plus voyant sans être pour autant désagréable. Parmi toute la paperasse on le repère ainsi facilement. Les lettres et toutes les informations légales sont inscritent en noir. Seule, une pastille de couleur verte rappelle que la composition de la colle est sans solvant (donc, il ne s’agit pas là d’une colle à Junkies.). Le tube est lisse.

A sa base, un cercle cannelé permet grâce à une vis sans fin de faire monter le stic de colle.

Vient enfin le plus important, la colle. Il s’agit donc d’un morceau de colle blanche de forme cylindrique qui ne contient pas de solvant. Lorsque l’on promène le stic sur un papier, elle laisse une pellicule fibreuse peu épaisse qui n’a rien à voir avec les vilains grumeaux de certaines colles.

Mais attention, j’ai lu sur ce site que certain sont insatisfait, cette colle est une colle à papier, je dirais même, à papier de bureau pas à papier peint s’entend.

mardi, juin 09, 2009

Une dent contre moi ?

Dentiste
Dentiste
Originally uploaded by par bettyibtissam.


Comme je n’étais pas satisfait de la dernière prestation de ma dentiste, je suis parti chez une autre. Malheureusement, comme beaucoup de praticien, elle avait tendance à oublier qu’un patient est aussi un client et qu’un client ne se manipule pas aussi facilement qu’un gosse. Avec elle, il fallait confirmer son rendez-vous 48 heures avant après l’avoir pris au moins un mois à l’avance.



Comme j’en ai conclu qu’elle devait avoir assez de client pour pouvoir se passer de moi, j’en ai choisie une autre, ce n’est pas ce qui manque dans le bottin. Je dois avoué que j’ai failli partir lorsque j’ai vu accrochée dans l’accueil une affichette avec ces mots : « Les retards sont inexcusables ». Je suis un peu de cet avis mais de là à considérer les clients comme des gosses…

Bon, j’ai quand même consulté car la douleur est une chose avec laquelle on ne peut transiger. En fait, elle n’a fait que confirmer ce que je savais déjà depuis longtemps, mes dents ont tendance à se déchausser. De plus, ce doit être héréditaire, tout comme moi, lorsqu’elle se déchaussent, elles refoulent du goulot…

lundi, juin 08, 2009

Le saule pleureur

Photo0246b
Ici, là et maintenant
je me penche sur mon passé
où la terre comme un onguent
nourrit mes racines blessées.

Indélébiles traces du temps
qui craquellent mon tronc strié,
fouetté ou battu par les vents
seule ma peau est dessechée.

Aux cieux mon âme respire d'autant
que balancent mes rêves filés
qui entourent mes pleurs de chants
et abritent l'ombre et la gaité,

Ici, là et pour longtemps.

Tous perdants

On ne cesse de nous rabattre les oreilles avec les soit disant gagnants de ces élections. Untel, avec sa liste à fait 32%, untel 16% etc... La seule chose que je vois dans cette histoire, c'est que les grands gagnant ont fait 60% et que les autres ne représentent que 32% de 40% soit en fait 12,8% des inscrits. Une misère...et le pire c'est qu'il y a eu plus de 30 000 cons pour soutenir l'autre andouille qu'il ne faut surtout pas prendre pour un clown.
A croire qu'il y a encore plus de français pour manifester dans les rues que pour s'exprimer dans les urnes.
Je n'ai pas eu le courage de rester toute la journée au bureau de vote à ne rien faire alors que j'ai tant de travail à l'appartement.Du coup, je ne l'ai tenu que la matiné et laissé la responsabilité à Mr Francelle.
Comme je ne suis avare de ridicule, je vous joins un petit lien sur le site de la préfécture de la Somme qui donne les résultats.

jeudi, juin 04, 2009

C'est pas mon gras

212-Diététique MoyennageusePremière journée au loft. Il faut dire que nous avons eu du mal à récupérer les clefs. J’ai eu beau rappeler, vendredi, que le premier juin était, après maints atermoiements, un jour férié, c’est comme si j’avais pissé dans un violon. On m’avait garantit la présence de l’huissier pour l’état des lieux le lundi 1er juin malheureusement, il n’avait pas les clefs, restées à l’agence. Comme il partait en formation le reste de la semaine, il m’a fallut batailler et menacer pour qu’ils admettent (l’agence) qu’ayant payé à compter du premier, j’étais dans mon droit d’exiger le remboursement d’un trentième du montant du loyer par jour de retard. Du coup, c’est l’agent immobilier qui a fait en notre présence ce constat.

Manque de bol pour lui, les enfants en congés étaient présents et ont de biens meilleurs yeux que moi. Je crois que rien ne nous a échappé. Ce n’était plus un état des lieux qui nous a été remis mais une page entière d’écriture assez serrée. Ce n’est pas tant que ce loft ai beaucoup de défaut, mais nous avons voulu nous prémunir contre toutes remarques désagréables à la sortie.

Le pire dans cette histoire, c’est que je pensais n’avoir que quelques travaux de peintures, histoire de rafraichir les murs. En fait, nous avons passé la première soirée à tenter de nettoyer une épaisse couche graisseuse et jaunâtre de suie issue de la fumée du tabac qui maculait le blanc PVC de la porte fenêtre donnant sur le balcon. Lorsqu’enfin nous sommes partis couché, en ayant la sensation qu’il faudrait encore une paire de séances de nettoyage avant que nous ayons satisfaction, nous nous sommes demandé si toutes les pièces étaient dans le même état. La réponse, c’est oui. Certes l’appartement est magnifique, malheureusement, il est sale. C’est le terme excact.

Moralité, comme nous ne concevons pas de vivre dans la crasse, nous ne sommes pas prêts de déménager. Allez, courage.

Simulations et autres avatars

Bye Bye, The Sims 2 

Il y a longtemps déjà (au moins dix ans), j’ai eu l’occasion de faire vivre un avatar dans une simulation, à l’aide du jeux Sims. C’est une sensation étrange que celle de « refaire » sa vie en choisissant les postulats de base, ceux que la nature nous a donnés et dont nous ne sommes pas maître.


Dernièrement, j’ai « fêté » la pendaison de la crémaillère, non pas dans mon véritable appartement, mais dans sa simulation à Yoville, où vous avez eu l’occasion de m’offrir tout un tas d’ustensiles, tous plus dé-matériels les uns que les autres.


Plus cela va, plus les simulations sont réalistes et puissantes, Jean-Jacques Goldman dirait que c’est "la vie par procuration". Le 4 juin 2009, c’est la sortie en France de la version trois du jeu « Les sims » sur P.C : Sims 3. Un nouveau bon en avant dans une imitation de la réalité. Il vous permet de vous imaginer au sein d’une ville totalement virtuelle à vivre une vie qui deviens la vôtre.


Cela me fait de plus en plus penser à l’œuvre de Tad Williams et aux aventures de Renie, cette jeune professeur de gestion de réseau qui découvre l’existence d’Autremonde, un univers fascinant et terriblement dangereux, mais totalement virtuel, dans lequel vivent mais aussi meurent tout un tas d’avatar dont on ne sait si l'apparence physique comme l’esprit est une somme de paramètres dans une simulation ou l’image, la copie d’un être vivant.


Toujours est-il que si vous souhaitez me rencontrer, virtuellement, il vous faudra arpenter les rues sur http://LesSims3.fr/ 

Sims 3



Article sponsorisé

mercredi, juin 03, 2009

Mieux vaut l'ouvrir

888


Un rude week-end qui une fois encore confirme l’antique sagesse de ce proverbe africain : « Un grillon tiens dans la main mais s’entend dans la plaine ». Je me tâte donc pour savoir si je vais de nouveau chevaucher mon cheval de bataille. En effet, hier j’ai une nouvelle fois « pété » un câble contre la municipalité qui s’affiche dans le journal local après une petite promenade dans le quartier Saint-Pierre et commente les travaux et adaptations qui lui semble nécessaire (rendre telle ou telle rue payante au stationnement, etc.…) mais fait « l’impasse » sur sa récente décision de ne plus éclairer le soir la promenade des jours.

Ors, la promenade des jours n’est jamais aussi agréable que la nuit. Le noctambule que je suis y croise chaque week-end les jeunes étudiants et étudiantes, qui sortant de la gare, la remontent pour regagner leur résidence universitaire d’Amiens nord. C’est, il faut le dire, une diagonale, un raccourci des plus usités.

Franchement, je ne suis pas sûr que dans cette décision le facteur sécuritaire ait été pris en compte. Si comme je le subodore c’est essentiellement un souci économico-écologique, il existe des solutions intermédiaire qui préserveraient à la fois la chèvre et le chou : des détecteurs de présence par exemple ou des horaires d’ouverture et d’éclairage correspondants aux entrées en gare. C’est à étudier.Un rude week-end qui une fois encore confirme l’antique sagesse de ce proverbe africain : « Un grillon tiens dans la main mais s’entend dans la plaine ». Je me tâte donc pour savoir si je vais de nouveau chevaucher mon cheval de bataille. En effet, hier j’ai une nouvelle fois « pété » un câble contre la municipalité qui s’affiche dans le journal local après une petite promenade dans le quartier Saint-Pierre et commente les travaux et adaptations qui lui semble nécessaire (rendre telle ou telle rue payante au stationnement, etc.…) mais fait « l’impasse » sur sa récente décision de ne plus éclairer le soir la promenade des jours.

mardi, juin 02, 2009

Suite de la lettre ouverte à Monsieur Demailly


Amiens, le 2 juin 2009


Objet : Suite de la lettre ouverte à Monsieur Demailly

Le 25 mai dernier, nous avons fait part à Monsieur le Maire de la situation financière très délicate dans laquelle se trouvait Amiens-Jeunes au travers d'une lettre ouverte.

Suite à sa diffusion dans la presse et au plus grand nombre par une chaine de mails, vous avez été très nombreux à vous inquiéter et nous soutenir. Je tiens, au nom d’Amiens-Jeunes, à remercier toutes les personnes qui nous ont soutenus et nous ont aidés à chercher des solutions. Il est maintenant l’heure de rassurer les bénévoles, actuels et anciens, qui s’inquiètent pour l’avenir de l’association, ainsi que de rassurer les milliers de personnes âgées d’Amiens-Jeunes : nous ne cessons pas nos activités.

Dés la réception de notre lettre, Monsieur Boubèche a pris très au sérieux notre situation et rapidement pris des mesures pour régler notre problème. Dans un premier temps, il a appelé notre banque afin, de lui assurer qu’une subvention de 18 000€ nous sera attribuée lors du conseil municipal du 25 juin 2009 et d’obtenir son accord pour nous autoriser un découvert dans la limite de ce montant jusqu'à fin juin. Monsieur Boubèche et Madame Messager sont venus nous rencontrer samedi 30 mai et ont participé à notre Assemblée Générale pour rassurer les bénévoles et les personnes âgées quant au vote de la subvention et nous garantir qu’ils mettent tout en œuvre pour que celle-ci soit versée courant juillet.

Cette subvention de 18000€ se compose des 13000€ de notre budget de fonctionnement annuel, et des 5000€ qui serviront au remboursement de Mégacité pour le noël dans tous les cœurs 2009. Cependant, en attendant le versement de cette somme fin juillet, nous maintenons notre vigilance quant à l’avancement du dossier.

La prochaine activité est le repas dansant du 14 juillet pour lequel nos convives vont recevoir leurs invitations courant juin. Pour ce repas, nous rappelons que nous sommes à la recherche de bénévoles pour animer cette après midi.

Loïc BRANTON
Président d’Amiens jeunes
amiensjeunes@yahoo.fr
www.amiens-jeunes.com

lundi, juin 01, 2009

Entreprendre

Il n’ y a pas si longtemps, j’évoquais dans ces pages la facilité déconcertante avec laquelle nous pouvons désormais en France créer notre propre entreprise. Quelques soient les griefs dont on puisse abreuver le gouvernement, il faut bien reconnaître qu’avec la création du statut d’auto-entrepreneur, il a su réveiller des forces vives et réintégrer dans l’économie nationale une grande partie de la parallèle, le travail au noir.



Toutefois, si les premiers chiffres de création d’entreprises sont encourageant, il nous faudra attendre le début de l’année suivante pour voir si cela se concrétise d’égale façon par de la création de richesses ou si ces micro-entreprises ne sont que des coquilles vides aggravant les effets de la crise sur des établissements employeurs.



Seuls les calculs des produits intérieur et national bruts nous le diront. Ors, s’ils sont actuellement mauvais, c’est en partie du au glissement d’une partie de la valeur ajoutée issues des déclarations trimestrielles des entreprises traditionnelles vers les déclarations annuelles . En effet, bon nombre de nouveaux entrepreneurs ont optés pour le système simplifié et sa déclaration annuelle aux impôts.


Personnellement, je préfère passer par http://www.net-entreprises.fr/ et faire une déclaration trimestrielle, cela fera moins de sous à sortir d’un coup.

A cela s’ajoute, dans la démographie des entreprises les défaillances d’entreprises que nous ne connaitrons elles aussi que dans six mois.



Quelques soient les résultats de ces deux chiffres, dans les deux cas le simple fait de « déclarer » du noir ( je ne travaille pas au noir, moi ) va apporter au début de l’an prochain, à nos organismes sociaux mis à mal, une manne dont on ne peut encore mesurer l’importance mais dont il y a fort à parier que le gouvernement en présence à cette époque saura tirer profit.


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