vendredi, octobre 30, 2009

Secrétariat

Deux amies bavardent :
- Crois tu que mon mari est fidèle ?
- Ca, j'en suis sûre répond l'autre.
- Tu es bien affirmative !
- Sa secrétaire est sa maitresse depuis six ans.

jeudi, octobre 29, 2009

CINEMAN : Le septième art






Nous sommes allés hier au soir voir une sorte de rétrospective du septième art, des frères lumières à nos héros modernes en passant par Tyrone Power, Buster Keaton ou encore Erich Von Stroheim, le tout en une heure trente. Cela nous parlait de grain et rayures, de « Noir et blanc », de colorisation, de couleurs pantone, de vitesse de déroulement, d’éclairage, de sonorisation, sous-titres ou de encore de doublage.

Ce film documentaire était toutefois suffisamment bien fait pour que l’on ne s’y ennuie pas une minute tout en s’adressant à une élite d’intellectuels de cinéphiles. Je ne suis d’ailleurs pas trop sûr que dans la salle tout un chacun ai perçu la totalité des sous-entendus. Les documents cinématographiques ont étés agrégés par Yann Moix. Ce journaliste s’est lancé dans l'écriture de romans dans les années 90, il publiera d’ailleurs « Jubilations vers le ciel », « Les Cimetières sont des champs de fleurs » et « Anissa Corto », des ouvrages qui mettent en lumière un sens de l'observation aigu des mœurs de la société. Ce sens de l’observation, il le mettra d’ailleurs au service d’un premier film qui lui vaudra un César de la Meilleure première œuvre de fiction en 2005 : Podium.

Pour ce second long métrage, il a fait appel au couple Franck Dubosc(le bon) et Pierre-François Martin-Laval(le méchant) et Lucy Gordon(la belle fille). A eux trois, ils vont incarner tous les stéréotypes du septième art dans le style et avec la technique de leur époque de prédilection.

Bon, comme ce message s’adresse à des cinéphiles, pas la peine de vous présenter le spécialiste des pantalonnades : Franck Dubosc. Il apporte à ce documentaire une fantaisie un peu outrancière tempérée par d’incroyables, que dis-je de MAGISTRALES capacités à se fondre dans les personnages. Il ne doit pas être évident de jouer un acteur qui joue une scéne. On le voit dans une scène tel de petits clips mis bout à bout jouer tous les acteurs ayant interprétés le personnage de zorro. Il ne joue pas à Zorro, il joue les acteurs jouant zorro. Ainsi, on retrouve la magnifique lumière sur les dents blanches de Douglas Fairbanks dans « The mark of Zorro » de 1920, un instant magique ou le visage de Franck Dubosc par la magie du maquillage et du septième art devient Douglas Fairbanks tout comme il est Clint Eastwood ou d’autres acteurs.

Le gentil et lunaire Pierre-François Martin-Laval n’interprète pas pour une fois un robin des bois mais tous les méchants du cinéma. Il n’est pas proprement parler trop « méchant » mais il fait un trop crédible Erich Von Stroheim dans La Grande Illusion, de Jean Renoir. Lucy Gordon, l’ actrice britannique révélée en 2005 par Les Poupées russes de Cédric Klapisch y joue les femmes, toutes les femmes. Les belles « faire-valoir » comme les froides et fatales beautés à la voix chaude et rocailleuse.


Conclusion : Il y a deux façon de voir ce film : Soit comme une grosse comédie romantique, légèrement fantastique, soit comme un bel hommage au septième art que j’ai adoré.


P.S. : A voir le Franckie tuer la panthère, je pense qu’aucun animal n’a été blessé.

Gaz de France : Les rois de l’arnaque

Man o métreComme je vous l’ai expliqué dans un précédent message, lorsque l’on déménage, il y a un certain nombre de fournisseurs à prévenir. Certes, le site web mis en place par le gouvernement est censé prévenir de façon centralisés ces fournisseurs afin que les choses se passent au mieux, mais je ne saurais trop vous conseiller de porter une attention toute particulière aux arnaqueurs de chez « Gaz de France Dolcevita ».

Comme vous le voyez, comme d’habitude, je mesure mes mots et les termes employés seraient suffisamment graves pour me porter préjudice si je n’avais les preuves de ce que j’avances.

Je vous résumes la situation :
- Je signale par l’intermédiaire du site gouvernemental mon intention de déménager (au mois de mai).
- Je reçois d’EDF et de GDF des petits papiers pour effectuer un relevé de compteurs « confiance ».
- Tout est ok et l’on déménage. Mais, je reçois une facture de gaz à l’ancienne adresse (merci la poste d’avoir fait son boulot de renvoi).
- Comme de bien entendu, je contacte tous ceux qui m’écrivent encore à l’ancienne adresse pour leur signaler le changement. Donc, je paye et leur passe un coup de bigophone pour leur rappeler mon déménagement.
- On s’engueulle grave. Ils veulent absolument fermer le compteur eux même et donc accéder au compteur mais je n’ai plus les clefs et je n’y habite plus.
Et, dernier acte, je reçois une facture de résiliation d’un montant astronomique : 239,09 euros. En dehors des mois d’hivers les plus froids, je n’ai jamais payé une telle somme pour le gaz.

Je ne sais pas si ils font cela à tous les gogos mais en retournant la facture pour en détailler le contenu, que vois-je ? L’ancien index correspond bien aux chiffres relevés lors de l’état des lieux et le nouvel index est totalement farfelu. Ce qui me ferait une consommation de plus de 589 métres cubes de gaz durant la vacance du logement.

Heureusement, que j’ai fait noter sur l’état des lieux le montant de nos compteurs. Je ne paierais pas un centime de plus pour une consommation irréelle.

mardi, octobre 27, 2009

Un film policier

En ce moment, l’industrie cinématographique nous offre peu de film policier aussi lorsque nous avons vu qu’il y en avait un cette semaine, nous avons sauté dessus. Pourtant, l’affiche n’était pas prestigieuse et le résumé placardé dans l’entrée du cinéma ne semblait pas trop attractif. En plus, ni la Miss, ni moi, ne sommes des fans de ces huis clos sans action où l’on « déduit » l’identité du coupable à force de longs discours philosophique. Enfin, nous étions prêt au sacrifice si cela pouvait nous éviter une nouvelle séance de comédie. Entre elles et les dessins animés pour gosses, l’offre est limitée.

Dès les premières minutes, je recevais quelques discrets coup de coudes dans les côtes de la Miss qui elle n’appréciait pas trop la scène de Kate Beckinsale nue sous sa douche. Elle me glissa à l’oreille que « cela commençait bien ». En langage de femme, cela veux dire encore un film de macho dans lequel la potiche de service se ballade de scène en scène à moitié nue. Heureusement pour moi, c’est elle qui a choisi le film, sinon, j’aurai eu le droit à l’hôtel du cul tourné, c’est sûr. En fait, c’est la seule scène un peu déshabillée, le reste du film se déroule par un froid polaire qui oscille entre -55 et -65 degré, alors plus aucune chance d’entrapercevoir le moindre centimètre carré de nudité.

L'action se déroule en Antarctique, un désert de 14 millions de kilomètres carrés isolés du monde et plongés dans la nuit et le vent plus de six mois par an. La belle Carrie Stetko(on le vérifie sous sa douche) y est la seule représentante de la loi. Alors qu’elle s’apprête à démissionner pour retrouver un univers plus « conventionnelle », elle doit enquêter sur un corps retrouvé sur la glace. Il apparaît rapidement qu’il a été jeté d’un avion. C’est le premier homicide connu de l'Antarctique, ors cette zone est internationale et sensible. Cette découverte va plonger Carrie dans un mystère plus étrange encore, et révéler des secrets longtemps enfouis par le vent sous la glace... Des secrets internationnaux qui ont poussé quelqu'un à tuer. Carrie devrat tout faire pour démasquer le meurtrier avant que ne vienne le grand hiver, et, dans la blancheur immaculée de l'Antarctique, où la neige, balayée par un vent de plus de cent soixante kilométres à l’heure, empêche de voir à plus d’une quinzaine de centimètre du bout de son nez, elle ne pourra voir l'assassin et son piolet approcher.

C’est un policier américano-canadien réalisé par Dominic Sena avec donc, Kate Beckinsale, Gabriel Macht et Tom Skerritt. Ce ne sont pas de grandes vedettes encore mais vous avez surement vu la belle Kate, la vampire de la série des Underworld ou Gabriel Macht revêtir la cravate rouge du « Spirit » quand à Tom Skerritt, il a déjà une bonne et grande carrière derrière lui. C’est un peu pour cela que je m’insurge une nouvelle fois contre ces critiques à l’emporte pièce qui croient bon tirer sur tout ce qui bouge et en viennent à écrire : « Pas de mise en scène, une scénario vu, revu et recraché, pas de suspens, un coup de théâtre attendu et téléphoné, une fin bâclée, des acteurs nuls, un décor de carton pâte et des effets spéciaux à pleurer, et j'en passe... »

En fait, Whiteout est l'adaptation de la bande dessinée du même nom de Greg Rucka et Steve Lieber, publié il y a plus de dix ans. Aussi, dire que le scénario est vu et revu, c’est un peu vrai mais c’est aussi ce que l’on attend d’un film de série B. Parce que c’est ce que vise avec succès ce film. Il doit nous divertir pas nous surprendre ou nous pousser à réfléchir. Avec lui, vous en avez pour votre attente : c’est un film policier, et rien qu’un film policier. Un bon suspens même si vous devinez assez vite qui est le méchant dans l’histoire. Quand au décor, celui qui a écrit cela devrait sortir un peu de chez lui et aller voir à quoi ressemble vraiment une banquise.
Nous avons passé une excellente soirée parce que nous avons vu ce que nous voulions voir : un film policier.

LES ATELIERS JEUNE PUBLIC A LA TOUSSAINT

Du quotidien des premiers Hommes à celui des Amiénois dans la ville contemporaine, Amiens Ville d’art et d’histoire invite les enfants de 8 à 12 ans à découvrir le patrimoine de la métropole amiénoise pendant les vacances scolaires. En partant à la découverte des mille et un trésors qui jalonnent la ville, les ateliers Patrimômes et Archéo-jeunes proposent à chaque enfant de devenir architecte, archéologue, maître verrier ou encore enquêteur de l’Histoire.

Ces ateliers ludiques et passionnants permettent de s’initier aux techniques tout en ouvrant son regard pour décrypter les messages cachés que peuvent receler une statue, un monument ou un vestige archéologique.

LES ATELIERS PATRIMÔMES :
LA PROGRAMMATION
_ Les maisons à pans de bois, le mardi 27 octobre
Pars à la découverte d'une architecture surprenante et construis ta propre maison à pans de bois.

_ Les bâtisseurs de cathédrale, le mercredi 28 octobre
Mais comment la cathédrale tient-elle debout ? Tu le découvriras en assemblant à ton tour une voûte sur croisée d’ogives.

_ Une gargouille du bout des doigts, le jeudi 29 octobre
Les gargouilles sont-elles en bas-relief ou en ronde-bosse ? Pour le savoir, suis le guide, puis modèle ta propre créature fantastique.

_ Les cathédrales peintes, le vendredi 30 octobre
Découvre l’univers coloré des cathédrales médiévales et à ton tour mets en couleurs un quadrilobe.

_ A la lumière des vitraux, le mardi 3 novembre
Observe les vitraux de la cathédrale et perce le secret de la fabrication du vitrail en créant le tien.

_ Façades à décors, façades à décoder, le mercredi 4 novembre
Les façades sont pleines de surprises : ici une tête sculptée, là une mosaïque… Alors ouvre l’œil et réalise ensuite ton propre décor !

LES JOURS ET HORAIRES
Les ateliers ont lieu du mardi au vendredi, le matin de 10h à 12 h 30.

LA RÉSERVATION
La réservation à l’avance est recommandée, le nombre de places étant limité à 10 enfants par séance. Il est souhaitable également, en cas d’empêchement, de se décommander, afin de permettre à d’autres enfants de participer aux ateliers. D’autre part, s’il n’y a qu’un seul enfant inscrit, l’atelier est annulé.

INSCRIPTIONS
Amiens, Ville d’art et d’histoire - Service des Publics
Tél : 03 22 22 58 93 / patrimoine@amiens-metropole.com

LES ATELIERS ARCHEOJEUNES
LA PROGRAMMATION
_ Chasser le naturel, le mardi 27 octobre
En découvrant les animaux de la Préhistoire, explore les différentes stratégies mises en œuvre pour les chasser.

_ Un air de famille, le mercredi 28 octobre
Sous forme de jeu, découvre le quotidien de nos ancêtres et les principales étapes de leur évolution menant à l’Homme moderne.

_ A la conquête du feu !, le jeudi 29 octobre
Quand le feu a-t-il été découvert et comment en produire avec des pierres, un champignon ou des morceaux de bois ? Autant de questions auxquelles nous répondrons ensemble en toute sécurité !

_ Aux origines de la vie..., le vendredi 30 octobre
Pars explorer les dessous de la Terre et découvre l’histoire de la vie, de son apparition jusqu'aux premiers hommes !

_ De la brique à l’Amiénoise, le mardi 3 novembre
Pars à la rencontre des briqueteries de Saint-Acheul et de la fabrication des briques crues. Tu pourras mouler ton exemplaire !

_ Une Venus venue de loin, le mercredi 4 novembre
Découvre les premières formes de l’art préhistorique et fabrique ta Vénus !

LES JOURS ET HORAIRES
Les ateliers ont lieu du mardi au vendredi, les après-midi de 14h30 à 16 h 30.

LA RÉSERVATION
La réservation à l’avance est recommandée, le nombre de places étant limité à 12 enfants par séance. Il est souhaitable également, en cas d’empêchement, de se décommander, afin de permettre à d’autres enfants de participer aux ateliers. D’autre part, s’il n’y a qu’un seul enfant inscrit, l’atelier est annulé.

INSCRIPTIONS

Amiens, Ville d’art et d’histoire - Jardin Archéologique de Saint-Acheul - Service des Publics
Tél : 03 22 97 10 61 / jasa@amiens-metropole.com

lundi, octobre 26, 2009

Langue des signes

Les Foyers Ruraux de Picardie dans le prolongement de la formation "Accueillir un spectacle ou un manifestation à caractère culturel - accueillir des personnes handicapées à un spectacle de contes ", vous invitent à découvrir le spectacle de conte en langue des signes avec Olivier Carriat et karine Lenniel.

LE VENDREDI 30 OCTOBRE A 20 HEURES au château de Belloy sur Somme (route de la Chaussée Tirancourt). Merci de passer l'information autour de vous.

foyersrurauxpicardie@orange.fr
06 88 9218 09

Lucky Luke

Lucky  Luke - Billy the KidAvant d’aller voir le dernier film de James Huth j’ai été à droite ou à gauche prendre les avis des internautes qui il faut bien le dire sont plutôt divergents. Les uns essencent tandis que d’autres démolissent. Je m’attendais donc à un film polémique et je n’ai pas été déçu.

Il n’est pas toujours évident d’adapter une bande dessinée pour le cinéma. Il suffit de regarder les différentes adaptations d’une même œuvre pour y toucher du doigt l’évolution, celle du cinéma comme celle de notre société. Paradoxalement, l’œuvre elle, n’a pas pour autant pris une ride. Je pense à Tintin dont j’ai revu il n’y a pas longtemps le nanard à l’orange bleue. Mais aussi à l’ensemble de la série des Marvel.

Les héros français surfent actuellement sur la vague de succès de la série d’Astérix et après « le petit Nicolas », c’est au tour de Lucky Luke.

La version de Terence Hill n’a rien à voir avec celle de James Huth. Elle était orienté vers l’aspect « Western » du héro tandis que celle-ci est plus « graphique ». Tous ceux qui ont lu un jour l’une des aventures du cowboy solitaire ont conservés dans leur mémoire visuelle certaines postures, certains décors qui lui sont propres. C’est en cela, et je crains que les néophytes soient passés à côté, que la mise en scène relève du génie. Et je pèse mes mots. Ce n’est plus un film, c’est Le synopsis de l’œuvre de Maurice de Bévère, surnommé Morris. L’interprétation magistrale de Jean Dujardin n’est pas seule en cause. L’art avec lequel la caméra vient se placer entre les jambes du héros ou derrière le trou dans un volet ou sous les sabots d’un cheval…. Chaque scène semble directement issue d’une planche.

A propos du jeu des acteurs, là franchement, Zauer à la dent dure. A croire qu’il n’a pas vu qu’il s’agit aussi d’une comédie parodique.

Il trouve Dujardin : fade. Personnellement, ce n’est pas le terme que j’aurai utilisé. Pourtant, lorsque j’ai vu la première fois la bande annonce, je m’étais dit que cela n’irait pas. Il est trop rond pour interpréter le longiligne cowboy. Et, je ne sais pas comment il se débrouille mais il est étrangement crédible.

Quand à Michaël Youn et Daniel Prévost il les trouve tous les deux grotesques. Nom de nom, c’est une comédie, comme dans toutes les comédies, il faut des faire-valoir et si ceux ci sont grotesques c’est uniquement parce qu’ils l’étaient déjà dans la bande dessinée. Je ne suis pas un fan de Michaël Youn mais avec son interprétation du personnage de Billy the Kid avec sa dent trop longue et sa manie des sucettes il m’a littéralement bluffé. Daniel Prévost, nous sommes habitué à le voir interpréter avec brio des personnages farfelus alors « Poker », cela n’a rien d’étonnant. Une autre qui m’a bluffé, pourtant, je savais déjà qu’elle est des plus douée c’est Sylvie Testu, on est pas dans du Sagan, mais quelle stupeur de la voir chiquer et cracher comme un vrai mec. La seule qui ne se montre pas trop à la hauteur, c’est Alexandra Lamy qui certe est tout à fait belle mais dont le filet de voix est bien trop faible. Ah ! et n’oublions pas Melvil Poupaud dont les effets de manche et de robe sont géniaux.

Personnellement, je me suis bien diverti et c’est avec plaisir que je verrais et reverrais cette version dont comme je l’ai dit la mise en image est parfaite.

vendredi, octobre 23, 2009

Clef suite et pas fin j'espére

Claudine qui a meilleur mémoire m’a conseillée, plutôt que de porter cette clef aux objets trouvés où personne ne va les chercher, de faire et mettre un panonceau au pied des trois immeubles où on les avaient déposés. L’idée en soit n’est pas mauvaise. Je l’ai adoptée.

Agenda

jeudi, octobre 22, 2009

Oups !

treble clefHier au soir en cherchant mon petit bouquin de Sudoku qui avait roulé, pensais-je, sous le siège du conducteur, j’ai trouvé entre les deux éléments du siège derrière le conducteur (mon siège) de la Titine une clef de voiture. Il est sur et certain que ce n’est pas la clef de la Titine puisqu’y est apposé le logo Volkswagen alors que c’est une Peugeot 307.

Elle ressemble à un porte clef noir doté de quatre boutons. L’un pour ouvrir la voiture par télécommande, l’autre pour la fermer et le bouton central pour le coffre. Le dernier bouton, permet de faire sortir la tige rectangulaire servant de clef de contact. Elle est relié à un simple anneau sans porte clef ni signe distinctif particulier.

Comme je ne connais aucun membre de la famille qui ne soit équipé d’une Volkswagen, que lors de mes infidélités à la marque et suite aux récentes visites de la Titine chez le carrossier, le véhicule de replacement était de marque Renault, je ne pense pas être à l’origine de cette perte.

Conclusion : Seul un visiteur a pu égarer sa clef sur le siège arrière. Le problème, c’est que j’en transporte du monde en semaine. Je ne sais pas si c’est l’un de mes joueurs de football transporté dimanche, l’un des jeunes samedi ou même pourquoi pas ce jeune couple que nous avons dépanné dimanche soir avec Claudine à moins d’ailleurs que ce ne soit Lundi matin. Alors que nous faision la tournée … avec Claudine, notre route à croisée celle d’un couple qui marchait à pied le long du boulevard avec, en pleine nuit le pouce levé. Comme il n’y avait pas grand monde sur la route, ils nous ont fait pitié et nous nous sommes arrêté. Ce n’est pas dans notre habitude mais c’est ainsi.

Ils étaient tombés en panne en centre ville et souhaitaient rentrer chez eux du côté du quartier Saint Pierre, le soir tard, sous la pluie et dans le froid. Nous avons fait un petit détour plutôt que de les abandonner à leur sort. Nous les avons déposé derrière la prison mais je ne me rappelle plus vraiment où. Donc, si vous connaissez quelqu’un tombé en panne avec une volkswagen, qui réside derrière le stade et la prison, et qui aurait perdu sa clef de contact. N’hésitez pas à lui dire que j’ai déposé cette clef aux objets trouvés de la police municipale sur la place du marché.

L'EURO en France en 2016

Le site de la candidature de la France pour l'Euro 2016 a été mis en place : http://tousensemble2016.fff.fr/.

Chaque licencié(e) peut désormais soutenir, en un clic, la candidature de la France pour l'organisation du Championnat d'Europe des Nations de football en 2016.

Sur http://tousensemble2016.fff.fr/ , vous trouverez également :

  • des témoignages vidéo montrant la diversité des soutiens pour cet évènement,
  • des actualités reprenant les diverses initiatives locales et les informations officielles,
  • la possibilité de personnaliser votre signature de mail aux couleurs de la candidature.

Alors, comme déjà des milliers d'internautes, cliquez pour la France et faites cliquer vos amis, vos connaissances et toute votre famille sur http://tousensemble2016.fff.fr/.

Par ailleurs, je vous invite à envoyer ce lien directement à tous vos proches en leur demandant de transmettre à leur tour, le plus possible, ce message de mobilisation.

Vous aussi, soyez acteur (ou actrice) de la candidature ! Et, tous ensemble, montrons que le football amateur se mobilise autour de cet évènement.



mercredi, octobre 21, 2009

Tueurs

cygneL’enfer est pavé de bonnes intentions, c’est ce que l’on m’a toujours dit mais jamais, au grand jamais, je n’aurai imaginé que je passais mon temps, régulièrement, chaque semaine à vrai dire, et ce depuis plus de dix ans, à tuer des mignons petits canards et de majestueux cygnes. Il y avait bien un panonceau qui l’interdisait mais je pensais qu’ils ne voulaient pas que l’on souille leur étang.

C’est alors que je m’attaquait à ceux de l’étang de Camon, que je suis tombé par hasard sur une affiche expliquant les causes du botulisme hydrique. De mes souvenirs d’école, il me restait que le botulisme était lié à la consommation de conserves mal stérilisées ou abimées. De mon temps, on apprenais aux élèves à se méfier du saturnisme ou du botulisme comme de l’alcoolisme ou des addictions à la colle néoprène, mais c’est une autre histoire.

Bref, j’ai appris par ce panneau que chez les animaux, le botulisme était rarement causé par les conserves de légumes mais plutôt par la consommation de cadavres en décomposition. C’est une maladie qui atteint le système nerveux et provient d’un empoisonnement du à la toxine issue d’une bactérie, la Clostridium botulinum. Elle paralyse les muscles moteurs, respiratoires ou viscéraux.

Ors, cette saloperie prolifère aussi dans le pain qui traine à même le trottoir ou qui moisi au bord des étangs. En plus, ce pain flottant attire les rats vecteurs principaux de cette bactérie. Elle affecte principalement les oiseaux, et surtout les oiseaux d'eau.

Depuis les années 1980, époque à laquelle elle a été détectée en France, elle a provoqué des épisodes de mortalité massive de plus en plus importants, dans les populations d'anatidés(Oies, cygnes et autres oiseaux palmés). La toxine se propage à partir de l'eau, de la boue et des sédiments des zones humides ainsi qu'à partir des cadavres en décomposition, des organismes vivants et des tissus et déjections provenant des animaux malades ou porteurs sains. Les oiseaux se contaminent généralement en bouffant des insectes, notamment des asticots qui hébergent la toxine.

Et, moi, la dedans, en jetant chaque semaine les restes de pain de la semaine au milieu du petit étang St Pierre, je contribue à répandre cette épizootie. C’est décidé, j’arrête. Je vais faire du pain perdu.

Vacances

Demie Teinte

Nous sommes allés voir le dernier film de Gérard Jugnot : Le rose et le noir. Nous en sommes ressortis encore plus dubitatif qu’en y entrant. Ce n’est pas le scénario qui pêche, ni même la musique qui semble être la seule chose ayant trouvée grâce aux yeux de Claudine, je ne peux même pas dire qu’il s’agit du jeu des acteurs, non, c’est « général ».

L’action se déroule en 1577 mais à coup de petits anachronismes, on se croirait à la cave de ma maison. Un grand couturier vieillissant, Pic Saint Loup/Gérard Jugnot, se voit confier par le roi Henri le troisième du nom/Arthur Jugnot, la confection, en Espagne d’une robe de mariée pour la promise de l’un de ses petits neveux/Raphaël Boshart. C’est un grand d’Espagne/Juan Diego, un catholique intégriste qui élimine les protestants, les maures tout comme les juifs et les homosexuels en les envoyant au grand tribunal de l’inquisition. Or, le couturier se met en route avec dans ses bagages : un parfumeur juif/Stéphane Debac et un coiffeur homosexuel/Patrick Haudecoeur, un secrétaire protestant/Bernard Lecoq et un couturier arabe/Assaad Bouab. Bref, la totale.

Pour venger les siens de la sanglante Saint Barthélémy, son secrétaire décide de cacher une bombe dans la robe pour supprimer lors du mariage le roi d’Espagne. Et, là, cela va tourner au cauchemar. Un à un, ses accompagnants vont être découverts et passer à la question…

En fait, on n’arrive pas à définir si le film est prétexte à bons sentiments ou s’il s’agit d’une comédie. Certes le Gérard y va de ses mimiques qui nous rappellent « la folie des grandeurs » ou « la cage aux folles », malheureusement, ce n’est pas son registre de prédilection et si la copie semble rose, elle est bien pâle. On rit de certain anachronisme ou de quelques gags de situation mais l’ensemble est bien insipide et le mélange un peu gris.

mardi, octobre 20, 2009

Stradda

Ombre

La critique lorsqu’elle est des plus constructives est nécessaire pour faire avancer les choses même si elle est aussi acerbe que celle que j’ai faite pour « Picardie mag ». Aussi n’allez pas croire que je vais faire preuve d’indulgence sous prétexte que le magazine « Stradda » a publié dans son magasine d’octobre un de mes autoportraits (page 55).

Comme dans tous les ouvrages, la première impression est visuelle et viens de la « Une », or pour son numéro 14 qui titre sur « Danser l’espace » le magazine de la création hors les murs « Stradda » a choisi une magnifique photographie de Gorka Bravo qui incarne parfaitement : la rue, la danse et l’espace. Quand à la quatrième de couverture, c’est, comme généralement, une publicité, malheureusement, le fait qu’elle porte sur une collection d’hors série du magasine « Danser » tendrait à restreindre le champ éditorial du magasine qui s’intéresse plus généralement aux spectacles de la rue dans leur ensemble même si la danse en est une des composantes.

La seconde impression m’est venue de la qualité du papier au grammage élevé et au glaçage discret. Ces deux éléments réunis m’ont, avant même l’ouverture, convaincus de la qualité de l’ouvrage. Reste à vérifier que le contenu est à la hauteur, mais continuons sur la forme. Il est normal qu’arrivé au quatorzième numéro la ligne éditoriale soit bien claire mais en plus elle est sobre. Les couleurs de base sont donc noir et rouge sur fond blanc avec toutefois un jeu de police qui me semble un peu trop ouvert. J’y ai reconnu de l’Arial, du Times Roman et d’autres polices, en gras, en italique mais au moins, aucune « exotiques ».

Comme malheureusement dans beaucoup de magazines modernes, le sommaire est un peu bâclé (L’entête de rubrique est en rouge dans une police particulière mais le contenu en noir dans une autre police commence parfois sur la même ligne ce qui ne rend pas l’ensemble très lisible.). De plus, si les dossiers, il y en a deux, sont bien mis en valeurs au niveau du sommaire, ils ne font pas l’objet du même traitement dans les pages internes. Le nom des rubriques annoncé dans le sommaire est repris sur chaque hauts de pages mais pour les dossiers, la logique n’est pas la même.

Les pages s’axent autour d’une base « deux colonnes et une grosse marge excentrée ». La place de la photographie y est primordiale et la qualité du choix remarquable. Les « apartés » sont soit mis dans la marge soit écrit en blanc sur des fonds couleurs « taupe » de clair à foncé.

Au niveau du contenu, les instantanés, ils portent bien leur nom. Quelques petits mots de présentation d’un spectacle, d’une démarche, d’un photographe. Le style est clair, simple et informatif. L’opinion, en l’occurrence celle de Mary Brennan, journaliste au « The Herald » est assez amusante. Elle explique la difficulté que représente une bonne critique, l’équilibre entre le professionnalisme et l’amateurisme du vocabulaire.

Le premier dossier a pour sujet : Danser l’espace. Je ne suis pas un adepte de la danse, je n’y connais rien en chorégraphie mais comme pour l’opinion précédente, le choix des mots d’Alix de Morant m’a permis de comprendre la problématique du danseur : le plateau ou la rue. La présentation du festival « Châlon dans la rue » par Sylvie Clidière à partir des citations de Pedro Garcia son directeur artistique, permet de bien appréhender la démarche artistique de ce festival. Quand à la partie « Corps en construction », elle m’a beaucoup touché, autant par le texte d’Alix De Morant que par la magnifique photo de Florent Lanquetin sur la prestation de la compagnie Willi Darner « Bodies in Urban spaces » au festival des 7 collines de Saint Etienne en 2009. Par contre, je n’ai absolument pas accroché l’interview de Françoise Leger d’Ilotopie aux propos recueillis par Fabienne Arvers. Mais c’est parce que je ne suis pas d’accord avec ses propos. Pour moi la danse vient des feux, des rues et des places. Elle n’a fait que se dévoyer dans les cours en s’enfermant dans les théâtres et un carcan de règles auxquelles je ne comprends rien. Par contre dans l’article de Rosita Boisseau, j’ai très bien compris le plaisir qu’un danseur peu éprouver à la liberté de l’expression de son art que les grands espaces aléatoires lui offre.

Le second dossier s’intitule « La rue se livre » et porte sur les ouvrages issus des arts de la rue mais aussi de la rue en tant que voie. C’est d’ailleurs dans ce dossier que ma photographie illustre « Des livres qui embarquent le lecteur au cœur de l’action ». Il s’agit d’un autoportrait de mon addiction à la lecture qui me pousse à promener mon chien avec un livre en main.

Dans la rubrique Démarche, on y présente un portrait artistique d’Arpàd Schilling et un de « Rev », le prochain spectacle de la compagnie Cahin-Caha dirigée par Gulko. Je n’ai d’ailleurs pas compris pourquoi le portrait de « Rev » ne se trouvait pas dans la rubrique « nouveaux spectacle.».

Le portfolio présente la démarche artistique de Florentijn Hofman. Itinéraire, présente la tournée du petit Théâtre de Pain.

Le carnet de route de Marie Nimier, une romancière est plaisant à lire, il s’agit d’une nouvelle intitulée La balançoire.

Conclusion : Il s’agit là d’un magasine de grande qualité qui a le bon goût d’aimer mes photos bien que leur niveau artistique soit loin d’égaler ses autres illustrations. Les sujets abordés sont artistiques sans pour autant faire preuve de trop d’intellectualisme.

Master

lundi, octobre 19, 2009

Nuit blanche

jeux societe 02Alors que beaucoup tentaient de perdre leur temps en vaines errances, cherchant de port en port à noyer leurs fièvres dans des vapeurs hydro-alcooliques, d’autres travaillaient. Nous étions missionnés pour tester en famille un nouveau jeu avant qu’il ne soit mis sur le marché.

Du coup, vers vingt deux heures nous étions tous chez Annick et Patrick. Soit dit en passant, la santé d’Annick n’est pas aussi catastrophique qu’elle nous l’avait laissé croire. Il n’est pas bon de se fier à google pour effectuer un diagnostic.

Bon, je n’ai pas le droit de vous parler du jeu en lui même tant qu’il n’est pas mis en vente (il y a une clause de confidentialité). Mais sachez que nous avons passé une excellente soirée qui m’a rappelée toutes celles que, plus jeune, j’ai partagées avec mes parents, frère et sœurs. A l’époque où nous venions « à la campagne » dans la Somme, où nous nous n’avions ni télévision, ni console de jeu et l’hivers en Picardie, les soirées sont longues.

Nul besoin de pompes à bière et d’arpenter des heures durant la ville pour passer une bonne nuit blanche. Une bonne partie de carte, le Rami par exemple et la famille unie la nuit durant a se chamailler quelques points. Quand nous ne jouions pas aux cartes (Rami), on s’éclatait aux milles bornes ou au Monopoly.

Il y a des lustres, il y a des jours

Lustre para o quarto do bebê

Il y a des jours, on ferait mieux de rester couché. Vendredi, nous avions les enfants à diner et comme ils travaillaient samedi, nous avions prévu de diner de bonne heure.
Malheureusement, l’ambiance n’était pas à la fête, nous avons vu arriver la pauvre Isa en larme.

Non seulement elle avait appris que les problèmes de santé de sa mère s’étaient aggravés, mais en plus, perturbée dans son travail, elle en avait égaré un gros chèque de l’un de ses clients et son nouveau directeur avait évoqué l’affaire avec son supérieur hiérarchique dans un vocabulaire dont il n’aurait pas usé s’il avait su qu’elle se trouvait de l’autre côté de la porte des toilettes.

La cuisine de Claudine ayant généralement un effet antidépresseur, alliée aux rassurances que nous lui prodiguions, elle commençait à se détendre et l’atmosphère avec, lorsque, le ciel lui est tombé sur la tête.

Littéralement.

L’expression gauloise prend tout son sens lorsque les trois bras d’un lourd lustre vous emprisonnent d’un coup la tête après que la cheville de la boite de dérivation ai cédé. Tout d’un coup, la suspension vous auréole le crâne uniquement retenue par un domino tendu à se rompre.

Paradoxalement, la catastrophe évitée à un cheveux, ou plutôt à deux fils acheva de détendre l’atmosphère et cette mémorable soirée s’acheva d’éclatante façon à la lueur crue de l’halogène.

Après le Blog Action Day mais avant Copenhague




C’est partit, c’est l’automne et, entre le Blog Action Day et le sommet de Copenhague où l’on va tenter de contenir l’augmentation de la température en deçà des 2 degrés centigrades, il faut maintenir la mobilisation pour imposer aux pays industrialisés cette limite.


 

C’est de notre responsabilité à tous de faire signer cette limite mais aussi de tout mettre en œuvre pour passer sous ce seuil.

 

C’est la raison pour laquelle je tenais à vous parler de l’Isolation Dynamique qui consiste à faire des économies d’énergies en animant des volets roulants et autres protections solaires d’une maison en fonction  des conditions climatiques extérieures. Des solutions d’automatisation simples et sans fil, donc sans travaux, permettent de commander automatiquement l’ouverture et la fermeture des volets roulants et des protections solaires (stores intérieurs et extérieurs) en votre absence. Elles  permettent ainsi de mieux isoler la maison du froid en hiver et de la préserver de la chaleur en été, avec des économies d’énergies significatives à la clé. On obtiens ainsi jusqu’à 10 % d’économies d’énergies en hiver sur sa facture de chauffage tout en obtenant jusqu’à 9°C de réduction de la température intérieure en été et ce sans climatisation énérgivore.

 


C'est Somfy est à l’origine du concept de l’Isolation dynamique. L’entreprise lance en octobre un site d’information consacré à ce sujet : http://www.isolation-dynamique.fr/ . Vous y découvrirez, des moteurs et automatismes pour l'animation des ouvertures de la maison. Somfy est une entreprise française, leader mondial dans le domaine de l’animation des ouvertures et protections solaires de l’habitat. Cette société propose des moteurs et automatismes pour volet roulant, portail, porte de garage, store de terrasse, store d’intérieur… apportant au quotidien confort, sécurité et économies d’énergies. Toutes ces solutions sont compatibles et pilotables avec une seule et même télécommande. La volonté de l’entreprise est de proposer des solutions simples, accessibles et faciles à vivre, dans un souci de fiabilité et de qualité.


 



samedi, octobre 17, 2009


J’ai reçu une invitation pour vendredi 23 octobre à 18 heures au Safran, 3 rue Georges Guynemer à Amiens. C’est pour un film « MAESTRO » de Marc Gossard et Philippe Clatot suivit par une rencontre-débat sur le thème « Réussir l’éducation : Quel partenariat et complémentarité avec l’école ? ».

C’est organisé par le centre Interculturel ALCO et l’Espace Picard pour l’Intégration en partenariat avec le Safran et les Réseaux Ambition Réussite Nord Arthur Rimbaud et César Franck.

La projection sera suivie d’un débat en la présence de l’instituteur Antoine Salido dont le film retrace le portrait sur une période d’une année dans la classe de Saint Crépin aux bois dans l’Oise. Sa pédagogie est librement inspirée de "l’école libérée" Freinet. Cette classe unique de Saint Crépin aux Bois dans l’Oise est connue depuis longtemps dans toute l’académie pour être le lieu d’une pédagogie différente à la fois expérimentale et innovante. La façon d’enseigner du maître, originale et dynamique, à l’écart des sentiers balisés de l’éducation nationale, favorise l’expression libre et la personnalité des enfants, la création de projets collectifs et individuels où chacun apprend à devenir autonome, à coopérer avec autrui et... à être heureux en classe. Se forger un esprit critique, savoir valider, analyser, trier l’information, se repérer dans le temps et dans l’espace, "apprendre à devenir grand", tels sont les préceptes éducatifs d’Antoine Salido. Savoirs, savoir faire et savoir vivre. Il est tout à la fois le "hussard noir" et l’iconoclaste libertaire, le moderne en marge d’un système mais aussi le transmetteur des héritages de l’instruction publique. Marc Gossard et Philippe Clatot ont observé ce bouillant personnage, déployant haut sa parole, suscitant des débats sans tabous avec les enfants et exerçant avec naturel son autorité de maître. Les réalisateurs racontent la vie de la classe et les événements qui ont ponctué toute l’année scolaire, leurs regards teintés d’humour et emprunt de la poésie du réel, donnent tout simplement du plaisir et réenchante notre vie. Parler de ce maître c’est aussi rendre hommage à ceux qui croient passionnément à l’art d’enseigner dans l’école d’aujourd’hui. L’école d’un maître qui offre le monde aux enfants.


Plus d’info au 03.22.69.65.00 ou contactez interculturel@centre-alco.org.

vendredi, octobre 16, 2009

Nouvelles Cultures


J'ai entendu hier à la radio une chronique dans laquelle il était question de la nouvelle approche de la culture et de la position prédominante du Web à cet effet.


Comme il ne serat pas dit que je ne tente pas à ma façon de promouvoir la culture sur ce blog, voici une nouvelle rubrique dans laquelle je reprendrai toutes les invitations à des expositions virtuelles que je reçois.


Cette semaine, nous allons suivre Sergiobello dont l'exposition, "Du marais à la mer", nous emmène au paradis des pêcheurs, des promeneurs en quête de sérénité, et bien sûr des photographes.


Suivons-le donc à travers le marais poitevin, et laissons-nous prendre au charme de la Venise verte.


Sergiobello serait heureux que vous visitiez son exposition et que vous lui laissiez un petit commentaire au passage...


Bonne ballade.

jeudi, octobre 15, 2009

Geenpeace et le Blog Action Day


Toujours dans le cadre du Blog Action Day (http://www.blogactionday.org/en/blogs/new ) dont le thème cette année est le changement climatique, je vous propose de signer aussi la pétition de Geenpeace.


Il y a une dizaine de jours, Greenpeace a remporté un de ses plus beaux succès. Avec le photographe américain Spencer Tunick, ils ont organisé une installation artistique et militante dans des vignes de Bourgogne. Le but était d'alerter sur les changements climatiques et de souligner la vulnérabilité de l'homme face à eux. Vous pouvez regarder la vidéo de l'installation sur leur site internet.

Plus de 700 personnes ont participé à cette manifestation et ont posé nu sous un soleil magnifique. Le message a été repris par les principaux médias français et internationaux. Une fois de plus, grâce à leurs adhérents et sympathisants, Greenpeace a joué son rôle : alerter et mobiliser en vue du sommet de Copenhague.

Dans soixante jours, les chefs d'État et de gouvernement du monde entier s'y retrouveront pour négocier un accord sur le climat et réduire nos émissions de gaz à effet de serre. Ce texte doit être ambitieux, à la hauteur des enjeux environnementaux.

Vous pouvez aider en signant la pétition « Ultimatum climatique ». Plus de 200 000 personnes l'ont déjà fait, car c'est maintenant qu'il faut agir !

Ensemble, nous pouvons faire de Copenhague le succès dont la planète a besoin.

A très bientôt sur le site de Greenpeace.fr !

On mène tous une « vie de dingue »!

Mais quelles sont vraiment les conséquences de la fatigue et du stress sur notre organisme, et comment l’aider à nous suivre fidèlement, au quotidien, dans les méandres de nos vies si compliquées ?

Le site www.tousautop.com a été pensé et conçu pour répondre à ces questions.

Astuces, conseils, partage d’expériences vécues,… Un concept inédit pour vivre pleinement sa vie ! L’interactivité ne s’arrête pas là puisque le site propose de participer à une grande enquête sociologique et une saga vidéo humoristique totalement décalée dont on peut choisir la fin de chaque épisode. Enfin, un jeu concours est organisé permettant de devenir acteur en rejoignant le casting du dernier épisode.

Blog Action Day


Comme vous le savez sûrement si vous vous baladez sur la blogosphère, ce 15 octobre correspond à un événement international qui mobilise les bloggeurs du Monde entier : Le Blog Action Day.

Le thème de cette année c’est le changement climatique (le réchauffement). Je m’engage, comme je vous y engage, à signer la pétition.
Pour en savoir plus, visitez le site : http://www.blogactionday.org/en/blogs/new

Que dire donc sur le changement climatique ? Surement rien qui n’ai déjà été dit. Sauf peut-être que nous sommes maintenant à la mi-octobre et que nous n’avons toujours pas rentré les pots de fleurs du balcon. Vous me direz qu’en soi ce n’est pas trop gênant. Mais si au dessus de Paris on n’attends la fin du mois d’octobre pour mettre les plantes hors gel qu’en est-il à Bordeaux ou même à Libourne. Pensez donc que parmi ces pots, se trouve une clématite flammette (Clematis flammula), une plante d’origine méditerranéenne qui se complait dans l’ensoleillement de mon balcon picard. La montée vers le nord de la France de ces plantes « exotiques », si elle nous apporte beaucoup de couleurs et de fantaisie ne doit pas faire oublier que pour autant, d’autres plantes font comme leur habitat, elles disparaissent.

Ainsi, les sapins et les pins grimpent les montagnes, leur habitat se réduisant petit à petit. La destruction d'habitat est rangée dans le monde entier comme la cause la plus importante de l'extinction d'espèces. Quand un habitat est détruit, les usines, les animaux, et d'autres organisations qui ont occupé cet habitat ont une capacité de charge réduite de sorte que les populations diminuent et l'extinction devient plus probable. Temple (1986) a constaté que 82% des espèces d’oiseaux mises en danger l’ont été par la perte de leur habitat naturel.

Les points névralgiques de la biodiversité sont des régions principalement tropicales qui comportent des concentrations élevées d’espèces endémiques et, quand tous ces points névralgiques sont combinés, ils peuvent contenir plus de la moitié des espèces terrestres du monde. La majeure partie de l'habitat normal sur des îles ou dans des secteurs de densité de population humaine élevée a déjà été détruite

Prenons, par exemple, le cas des communes du département de Loire-Atlantique dont le relief presque plat met en danger 88,69% de sa population. En effet, le réchauffement climatique entrainant une hausse du niveau de la mer, c’est prés de 90% du département qui se retrouvera sous la mer dans le cas d’une hausse de son niveau de moins de trente mètres. Déjà, quelques îles tropicales ne survivent que grâce à des digues artificielles.

Alors vous voyez que nous avons raison de tenter d’attirer votre attention sur les effets du réchauffement climatique.

mercredi, octobre 14, 2009

Nip Tuck

La demoiselle a piqué son fard et foncée tête baissée.
Malheureusement, ce qui devait arriver advint et c’est un bec de lièvre qui lui entaille désormais le sourire. Sa bouille hier si avenante est entachée d’un rictus haineux qui annonce à tous ceux qu’elle vient à croiser combien elle est prête à en découdre.

Une bonne poire, moi en l’occurrence souhaitant la remettre dans ce droit chemin qu’elle n’a quitté, l’a conduit à la clinique où de très réputés plasticiens exercent. Heureusement, l’assurance prends en charge le coût de l’opération pour une grande partie.

Je la récupère ce soir.

mardi, octobre 13, 2009

"ma carrière"

si l'on se réfère à l'article du jeudi 18 juin 2009 on pourra y découvrir que je tiens à ma "carrière", je suis aussi susceptible et frustrée.

Je trouve ça nul et insultant de me tenir ces propos là !

je trouve compréhensible tout de même de ne pas vouloir être prise à partie entre mon employeur et l'association dont je ne suis même plus présidente.

Je pense avoir donné suffisement d'engagement et d'énergie en 14 ans à cette dernière pour mériter que l'on respecte mon domaine professionnel.

je ne veux plus être en copie - tant pis s'il a fallu hurler pour me faire comprendre

je respecterais ceux qui me respecteront

Panique au village

Bon, vous me connaissez, je suis un fervent amateur d’art cinématographique et ma culture éclectique va de Bunuel à Oui-oui. C’est sans doute la raison pour laquelle, aujourd’hui, je veux vous parler d’un film qui sans parodier « Toy Story », ou si peu, va éclater sur nos écrans à partir du 28 octobre : "Panique au Village".

Voici en avant première la bande annonce de ce film parodique dans laquelle Cow-Boy et Indien sont des professionnels de la catastrophe. Dès qu’ils ont un projet, c’est le bordel. Cette fois, ils veulent souhaiter un joyeux anniversaire à leur copain Cheval.

Mais qu’offre t’on à une figurine de plastique qui possède déjà la plus belle maison de poupée de tout le village ?

Sans réfléchir aux conséquences incendiaires, ils décident de commander un barbecue à faire soi-même. Belle et originale idée, sauf que ne sachant pas très bien compter, la commande dérape, et Cow-boy et Indien se font livrer un milliard de briques ! Ce n’est plus un anniversaire, c’est un tsunami et la belle maison de Cheval disparaît sous les briques, écrasée.
Il faut la reconstruire! Tu parles d’un anniversaire! Surtout que des voleurs s’emparent des murs dès qu’ils sont bâtis! Décidemment, Cheval ne pourra jamais profiter de ce jour spécial pour rejoindre la pouliche qu’il aime, Madame Longrée, et qui donne des leçons de piano au conservatoire d’à côté. Au lieu de cela, il devra affronter d’improbables créatures sous-marines, un ours en colère, trois scientifiques fous et même une matriarche psychopathe, un voyage au centre de la terre, dans des steppes enneigées qui leur fera vivre une panique au village comme ils n’en ont encore jamais connue.

lundi, octobre 12, 2009

A la lettre


J’entendais, samedi ou dimanche, monsieur De Villepin, ancien ministre de l’éducation, présenter son dernier ouvrage sur l’analphabétisme et effaré par l’ampleur des statistiques évoquées et ce qu’elles représentent concrètement, j’ai pris la décision d’apporter moi aussi ma première pierre à l’édifice.

Je vais donc tenter d’enseigner à ces dix pourcent de la population qui l’ignore le sens, le son et la forme de la lettre A ou a.

Là ou des universitaires du haut de leur tour d’ivoire vous diraient que l’Alpha (capitale Α, minuscule α), est la première lettre de l’alphabet grec et l’ancêtre de la lettre A des alphabets latin, et de l’alphabet cyrillique. Qu’à l’origine, le nom de cette lettre dérive du mot aleph qui désigne un bœuf en phénicien, une langue sémitique dont les locuteurs furent à l’origine de l’alphabet phénicien dont dérive l’alphabet grec (ainsi que les abjads sémitiques dont l’hébreu, l’arabe, l’avestique). La forme de la lettre majuscule A en grec (plus tard empruntée par le latin), serait elle-même une tête de bœuf ayant subi une rotation de 90 degrés. En effet, la forme de la lettre en phénicien viendrait de l’ancienne écriture égyptienne démotique, où cette lettre était représentée par l’image d’une tête de bœuf, une origine partagée aussi avec l’alphabet copte, très proche de l’alphabet grec.


A ceux là, je rapporterai ce que m’a enseigné ma maitresse, enfin celle du cours préparatoire : le a c’est un rond collé à un bâton et c’est surement lié à ma qualité de Titi parisien, le A, une tour Eiffel a un seul étage. Enfin, là c’est dans la forme, tantôt ronde, tantôt pointue..


Au niveau du son, c’est plus simple. Le a correspond au son [a], voyez, on ne peut plus simple.

Quand au sens, c’est plus variable, disons même, que c’est le bordel. D’ailleurs, les mathématiques ne s’y sont pas trompées, le a y désigne la première des variables ou le dix en arabe. La conjugaison du verbe avoir en fait un des symboles de la notion d’appartenance, mais le préfixe est privatif et fait que le mot exprime le contraire de ce qu’il exprimait. Quand à l’adverbe, au choix, il désigne le lieu ou l’usage.


Bon, avec tout cela, si j’ai lutté contre l’analphabétisme je ne pense pas que j’ai vraiment combattu l’illettrisme (3 personnes sur dix). Je ne suis pas sur que vous aillez compris tout le baratin que je vous ai raconté.

samedi, octobre 10, 2009

Mission barquette

vendredi, octobre 09, 2009

Taxe carbone


La taxe carbone, tout le monde s’en inquiète, cela se comprend quand on sait qu’il est question d’un montant de 12 à 40 euros. Mais, si il y en a un qui ne s’en inquiète pas, c’est moi. J'ai trouvé la solution.


L’astuce, c’est d’avoir à faire à des pros, des gens au courant des dernières nouveautés de la technologie, y compris en matière d’écologie, des spécialistes. Pour protéger à la fois son capital et son capital nature, ce n’est pas évident. Mais ne pas le faire évoluer, c’est aussi le laisser se déprécier.


C’est la raison pour laquelle, je vous conseille de faire appel aux professionnels d’Evolutiv habitat. C’est une filiale du groupe Geoxia, un leader dans la rénovation et la transformation des maisons individuelles comme des habitats collectifs. Ils viennent chez vous faire une sorte de bilan énergétique et établissent une liste de vos besoins, et pour chacun, un ensemble de solutions simples, malines et surtout clef en main. Ils transforment votre ancienne demeure pleine de courant d'air en une maison d'avenir qui n'a plus à craindre ces bilans énergétiques obligatoires à chaque déménagement.


En plus, pas de surprise, ni sur la qualité, ni sur le prix. Leur contrat de qualité garantit la réalisation d’economies d'énergies quand en plus on sait qu’ils proposent un éco-prêt à taux zéro pour financer les améliorations pourquoi s’en priver.


Bon, il y a d’autres boites spécialisées dans l’écologie, mais toutes ne proposent pas les mêmes services. La prochaine fois, je vous parlerai de celle qui m’a vendue la photocopieuse/fax/scanner multifonction pour m’éviter la taxe « carbone ». Maintenant, j’ai recourt à la photocopie plutôt qu’à cet archaïque moyen de reproduction qui noirci les doigts.



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X faut voir


Depuis que j’ai entendu ce matin, à la radio, ce débat naissant autour de la naissance sous X, je meurs d’envie de vous parler de ce film si bouleversant que nous sommes allés voir la semaine dernière. J’avais déjà beaucoup envie de vous en parler de ce beau film mais cette semaine, je n’avais pas beaucoup de temps à y consacrer.

Réalisé par Claude Miller, Nathan Miller, « Je suis heureux que ma mère soit vivante » ne porte pas vraiment sur la naissance sous X mais bien sur la recherche d’identité de ceux qui sont abandonnés.

La filmographie de Claude Miller est impressionnante, quand à celle de Nathan, elle s’étoffe en productions de qualité et le résultat de leur collaboration est une petite merveille intimiste qui vaut largement le détour.

Ils ont très intelligemment choisi pour interpréter des quidams ordinaires comme on en croise tous les jours dans la rue, des acteurs pas trop connus mais dont le jeu dans cette histoire était parfait. Aucune fausse note, la pellicule suait l’émotion et la vérité. Sophie Cattani qui joue le rôle de Julie Martino, la mère arrive même à faire passer à un moment le sentiment de … C’est assez difficile à exprimer : une certaine vacuité qui laissait imaginer les neurones en train de fonctionner, de trouver une solution et de l’exposer. C’était assez impressionnant, une très bonne actrice, visiblement pas assez employée. Si je vous parle d’elle, n’allez pas pour autant vous imaginer que le jeune Vincent Rottier en Thomas, le fils, n’est pas lui aussi formidable.

C’est, je vous le disais, l’histoire d’un abandon. Julie Martino est très jeune, la mère de deux enfants qu’elle trimballe comme des bagages au gré de ses errances. Elle les aimes mais ils la gênent pour vivre sa vie de jeune fille. Le plus grand, Thomas, du haut de ses quatre ans veille sur son petit frère. Heureusement, parce qu’un jour, Julie les « oublie » dans une chambre d’hôtel. Au bout de « l’intense réflexion » qui donne lieu à cette scène magistrale, elle parviens à la conclusion que l’abandon est pour eux tous la meilleur solution.

Mais Thomas est trop vieux pour ne pas se rappeler sa « vraie » mère et lorsqu’au bout de quelques années, il parviendra à la retrouver, il tentera par tous les moyens de revivre à ses côtés l’enfance qu’il a perdu, au point d’en venir à mener une double vie. L’une avec ses parents adoptifs et son frère, l’autre avec sa mère et un demi frère beaucoup plus jeune.

« Je ne veux plus avoir que l'amour de ma mère,
Redevenir en lui comme un petit enfant,
M'assoir à ce foyer d'où vient toute lumière,
Mettre à ce reposoir le bouquet de mes ans.
»
disait Maurice Magre, malheureusement pour Thomas, Julie n’est plus la mère, encore moins un foyer de lumière ou un reposoir, le temps à tué l’enfant qu’il était, elle n’est plus pour lui que l’image de son chagrin, sa souffrance.

C’est un film simple, en apparence, mais si profond que l’on comprend aisément que le problème des naissances sous X a deux points de vue tout aussi douloureux l’un que l’autre : La mère qui abandonne comme l'enfant qui recherche sa filliation.

mercredi, octobre 07, 2009

L'influence du Yeti sur la production caprine et ovine des estives pyrénéennes (suite et fin)

Dans les Pyrénées, les estives sont des pâturages d'altitude constituées de prairies naturelles permanentes d'un seul tenant et supérieure à 10 hectares. Malheureusement, depuis le recensement de 1988, la superficie agricole des exploitations ne cesse de diminuer. Il faut dire que le nombre des exploitations qui mettent en valeur ces territoires s’est réduit de presque moitié. Les exploitations agricoles des Hautes-Pyrénées représentaient 9% de la population active en 1990, elles n’en représentaient plus que 5% en 1999 (Source INSEE Regards). Dans le même temps, la surface boisées et les peupleraies en plein s’accroissent de plus de 8 milles hectares chaque année.



La présence dans les forêts d’altitudes du canton de Saint-Loup les Luchon à la pointe Sud de la région Midi-Pyrénées, entre les départements de la Haute Garonne et celui des Hautes Pyrénées d’un yéti de plus d’un quintal n’est pas sans influence sur les exploitations agricoles déjà peu nombreuses du canton (neuf au recensement de 1999 ).



Même si, au dire des habitants de la commune, la bête se cantonne aux alentours de la route départementale, et que les spécialistes du laboratoire départemental assurent qu’elle a un régime alimentaire végétarien, les exploitants du canton ont rentré plus tôt qu’à l’habitude leur cheptel ovin et caprin à l’abri, limitant l’estive et recourant au fourrage prévu pour l’hivernage.



Il serait d’ailleurs bon, afin de limiter les effets dévastateurs de la présence de cet animal sur la production agricole que chacun ai l’honnêteté de reconnaître l’innocuité de cette bête dont la fuite semble être la meilleur défense. A cet effet, Monsieur Jean-François Guille a lancé un appel à témoins sur le tableau d’affichage de la mairie, appel qui a été repris par le journaliste Eric Kassaba qui a crée sur le web un outil pour l’aider à récolter les témoignages http://ekassaba.wordpress.com/ et je vous invite à visiter le blog d’Anne-Lise, une habitante de la commune qui semble suivre au plus près les mouvements de l’animal.

D'ailleur peut t'on continuer à qualifier ainsi l'utilitaire Skoda qui chemine hors des sentiers battus. Avec son volume de chargement maximal de 1.760 l, sa position de conduite en hauteur et son coffre modulable en option (filet, anneaux…), les troupeaux rentrent en moins de deux.



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mardi, octobre 06, 2009

Football UEFA EURO 2016


Je crois que je vais faire comme Fernand Duchaussoy, le President de la LIGUE DU FOOTBALL AMATEUR et vous inciter à aller cliquer et manifester votre soutien dans le cadre de la candidature de la France à l’organisation de l’UEFA EURO 2016.


En effet, la fédération française de football propose l’opération « cliquez pour la France » à tous les internautes souhaitant supporter le dossier français. Vous pouvez, ainsi que tout votre entourage, soutenir en un clic cette candidature.


Soyez tous acteurs en apportant votre soutien en cliquant pour la France sur http://tousensemble2016.fff.fr/ . Sur tousensemble2016.fff.fr , vous pourrez également consulter des témoignages vidéo montrant la diversité des soutiens pour cet évènement, lire les actualités reprenant les diverses initiatives locales et les informations officielles, personnaliser votre signature de courriel aux couleurs de la candidature et témoigner votre soutien par message écrit…


Alors, comme des milliers d’internautes, venez cliquer pour la France sur http://tousensemble2016.fff.fr/ ! Je compte sur votre mobilisation pour transmettre au plus grand nombre ce message.

lundi, octobre 05, 2009

Classement

Vous n’avez surement par remarqué mais dans le coin supérieur gauche de cet écran, je diffuse la position de ce blog dans la « hiérarchie » proposée par le site d’information générale lié à la célèbre encyclopédie Wikipédia : Wikio.


Or, je ne sais par vraiment quels sont les éléments qui lui permette de définir cette position, mais je viens de réaliser ce mois ci dans ce classement un bon des plus spectaculaire. Ce classement est établi mensuellement et en temps normal, je me positionne dans une fourchette allant de 7400 à 7800.


Mais mon manque d’activité durant le mois d’août a du avoir une influence car durant le mois de septembre, mon blog était classé quatorze millième et quelques, autant dire plus classé.Ce matin, viens d’être publié le nouveau classement de Wikio et j’ai eu l’agréable surprise de me voir remonté d’un seul coup, en un mois de temps de plus de dix mille places. Cela ne vous dit peut-être rien mais cela a une incidence non négligeable sur les publicités présentent sur ce site et les montants attachés aux différents emplacements.

samedi, octobre 03, 2009

Attrape ton billet au vol

Chocolat et Gianduja

Avoir des tendances diabétiques ne m’empêche pas d’aimer les yaourts au chocolats. Il me semble même que j’ai ici-bas déjà procédé à la critique de deux ou trois des productions de la « Mamie Nova ». Il y en a que j’aimes, il y en à d’autre que je déteste. Mais aujourd’hui, celui que j’ai découvert dans les rayons de mon supermarché à un nom et un parfum qui m’ont tout de suite alléchés.Quand on est comme moi friand de chocolat, on connaît bien le Gianduja. Il s’agit d’une pâte, un mélange de chocolat et de noisettes finement broyées à laquelle ont peu ajouter d'autres fruits à coques comme des Amandes ou plus rarement des noix également très finement broyés, avec du sucre glace et de la matière grasse, du beurre pâtissier ou de la crème fraiche. Le tout très finement broyé de façon que la matière grasse enveloppe la moindre parcelle de fruit.
La recette du gianduja nous viendrait d'Italie, la région du Piémont en revendique l'invention en raison de sa production de noisettes. Le marionnettiste Sales, en 1789, aurait fait la connaissance, à Callianetto, village proche d'Asti, d'un personnage haut en couleurs que l’on surnommait Gioan d'la douja (Jean de la chope). Ce personnage et son pseudonyme allaient inspirer une marionnette à Sales et le personnage allait peu à peu devenir l'un des symboles de Turin. Le chocolat dit giandujotto, connu auparavant sous diverses appellations, a fini par tirer son nom de ce symbole piémontais. C’est un fourrage fréquemment utilisé dans les bonbons au chocolat ou les glaces italiennes. On se sert aussi de cette crème comme pâte à tartiner.
Un gianduja réussi se caractérise par son onctuosité ors c’est tout à fait ce qui caractèriseles yaourts de lait emprésuré de Mamie Nova. Tout comme son célébrissime « Dessert lacté gourmand au chocolat et à la menthe », ce nouveau « dessert lacté gourmand au chocolat et gianduja » a un gôut qui évoque les chocolat fourrés gianduja. La première sensation en bouche est purement celle d’une présure de lait au chocolat, la légèreté. La seconde sensation est plus intense et lourde, le gianduja, beurre et chocolat, on dirait presque du nutela, sans que cela en soit vraiement. C’est onctueux et léger en bouche tout en laissant une longue trace de goût chocolat.
C’est purement divin.

P.S.: Je vous passe le descriptif des pots de 150 grammes des desserts gourmand de la grand-mère.

P.S.S.: Elle continue de nous laisser des petites astuces sous la cartonette.

vendredi, octobre 02, 2009

Le petit Nicolas



La bande annonce du film de Laurent Tirad ne rendait pas vraiment hommage au chef d’œuvre de Goscinny et Sempé. Lorsque je l’avais vu au cours d’une séance quelconque, elle m’avais semblé trop « lourde » pour vraiment incarner la légèreté et le ton malicieux qui se dégageait autant des écrits de Goscinny que de la finesse des traits de Sempé.

L’histoire

Il est bien possible que ce soit mon jeune âge qui ai magnifié cette création mais j’ai eu l’occasion, un peu plus vieux, de replonger mon nez dans ce chef d’œuvre pour en apprécier la magie un peu désuète de mon enfance de titi parisien au début des années soixante. Vous comprendrez alors que j’émettais quelques réserves sur la fidélité de la transposition cinématographique d’un tel personnage.

Mais, j’ai été plus qu’agréablement surpris. Je ne saurais affirmer que la nouvelle génération, ceux qui ne connaissent pas l’original, puissent percevoir toute la qualité du travail que cela représente. C’était une gageur que d’arriver à représenter de façon linéaire et cinématographique le mélange de dessins et de texte, de sérieux, d’humour et de poésie. Certes, Laurent Tirad n’en était pas à sa première mise en scène. Dans « Mensonges, trahisons et plus si affinités », il nous avait déjà surpris par une nouvelle vision du triangle infernal et son si imaginatif « Molière » a reçu quatre nominations aux Césars 2008, mais de là à réaliser une si belle osmose…

Le petit Nicolas est un garçonnet en culotte courte qui vit heureux entre ses parents et ses copains d’école, à la fin des années cinquante ou au début des soixante, dans les heureuses années d’après guerre. La vie serait simple et paisible si ne planait sur la famille l’ombre de celle du « Petit Poucet ». Toute la bande s’uni pour que la venue d’un petit frère ne pousse pas ses parents à l’abandonner en forêt.

Le casting

Il s’agissait là d’une nouvelle difficulté. En effet, comme chaque lecteur j’avait dans un coin de ma mémoire le visage de chaque personnage, issu du croisement de la description de Goscinny, du trait de Sempé et, de par la justesse des stéréotypes, du copain d’enfance ou des parents correspondants. Pourtant, est-ce la magie du cinéma ? les traits des comédiens sont venus tout naturellement s’imprimer sur l’image que je m’en faisais.

C’est le jeune picard Maxime Godart qui prête sa bouille de premier de la classe au petit Nicolas. Il entraine derrière lui toute une brochette d’autres premiers rôles : Vincent Claude en Alceste, Charles Vaillant en Geoffroy, Victor Carles en excellent Clotaire, Benjamin Averty en Eudes, Germain Petit Damico en Rufus, Damien Ferdel en Agnan et Virgile Tirard en Joachim.

Face à la bande de mioches, la classe d’une belle brochette loin d’en être à leurs premiers rôles : Kad Merad et Valérie Lemercier en parents embourgeoisés mais légèrement dépassés sont parfaits, Sandrine Kiberlain et Anémones, les maitresses ainsi que Michel Duchaussoy en directeur et François-Xavier Demaison en pion revêche incarnent les extrêmes de l’éducation nationale dont Michel Galabru est le ministre. Il y a aussi Daniel Prévost, louise Bourgoin, François Damien et même, en chef des choristes Gérard Jugnot.

Conclusion

C’est une réussite, un petit bijou d’adaptation qui deviendra un classique du genre, au même titre que la « Guerre des boutons », plein de fraicheur et de surprises. Il incarne tout autant que l’ouvrage original la poésie, la simplicité et la joie de vivre d’une époque. Cette séance fut pour moi d’autant plus plaisante qu’elle correspond à une tranche heureuse de notre vie.
Bien sur, c’est avant tout et surtout une comédie.

jeudi, octobre 01, 2009

Re - DatA DJ

konbini


Pour la seconde saison de son programme « Support me », Konbini nous propose de « Stariser », ou « promovedétariser » si vous n’aimez pas les anglicismes, un jeune « DJ » ou « chevaucheur de disques » électro parisien en pleine ascension nommé DatA (Si vous cherchez bien un peu, vous trouverez que je vous en ai déjà parlé.).


L’idée du programme monté par cette boite de production est de montrer la vie de ce jeune skywriter de didjay mais plutôt d’un point de vue personnel, en dehors de son métier : ce qu’il aime lire, un déjeuner en famille chez ses parents, seul dans la foule(one in a million), ses plans galères, les chambres d’hôtel …


Une dizaine d’épisodes de sa vie à l’occasion du lancement de son premier album mais en dehors des platines et bien loin des clichés. Ils ont suivi le jeune homme durant toute sa tournée internationale, ses meetings et ses prestations pour en tirer une dizaine de petits documentaires qui nous aident à nous faire une idée sur la personnalité du deegé.



Plutôt réservé et timide, DatA se prête au jeu de la caméra, sans langue de bois ni changement dans son comportement. Cela donne des petits moments de discussions croustillants, des mots que l’on a pas toujours l’habitude d’entendre dans un milieu plus que normé et plein de faux semblants.



Support Me - Data from Konbini on Vimeo.


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