dimanche, mai 31, 2009

C'était le bon temps

Merci Michèle. Encore à bientôt j'espère.

samedi, mai 30, 2009

Lettre ouvert au directeur de la poste Amiens RP

Face au récent succés de la lettre ouverte au maire, en voici une seconde qui part ce jour :

Lettre ouverte à Madame ou monsieur le Directeur de la Poste Amiens RP
Amiens, le samedi 30 mai 2009
Madame, monsieur,
Voici plus de vingt ans que nous résidons à la même adresse (voir ci-dessus) dans une petite maison individuelle dont la porte d’entrée est ornée que d’une seule boite à lettre. Certes, sa taille n’est pas réglementaire, mais l’âge de la demeure ne nous permet pas de la doter d’une plus grosse. Bref, j’en viens aux faits.
Je n’ai pas du tout apprécié que ma femme se fasse « rembarrer » par vos services lorsqu’elle est venue hier pour signaler, une nouvelle fois, que la distribution du courrier dans toute notre rue est « erratique ». Elle sait de source sûre (le juge des tutelles du tribunal d’Amiens) qu’une lettre recommandée nous a été envoyée le 13 mai 2009, par ailleurs, certains de nos débiteurs nous affirment que leur courriers leur sont renvoyés avec selon l’humeur les mentions : « N’habite pas l’adresse indiquée », « le nom ne figure pas sur les boites » etc. voir même pour l’un « Décédé ».
Le problème vous a déjà été signalé. En effet, il apparaît qu’il y a de fréquentes confusions entre les deux rues voisines et qui se croisent : la rue Henri D. et la rue Henriette D.. Une part de la faute revenant aux plans « Blet » qui pour faire tenir le nom de notre rue dans la petite place qu’elle représente empiéta sur la rue Henri D..

Si nous avons la civilité d’assurer votre travail en transmettant nous même le courrier arrivé par erreur dans notre boite, les résidants de l’immeuble collectif sis au même numéro de la rue H.D. ne s’en sentent pas obligés et c’est regrettable.

Aussi lorsque ma femme viens vous signaler que le courrier recommandé qu’elle attend de la Croix rouge a sûrement été distribué dans la rue de son créateur, je trouve aberrant qu’on lui réponde que sans le numéro de recommandé, elle ne pourra l’obtenir. De plus je viens de passer l’après midi à l’A.S.P. (anciennement la CNASEA) à mettre à jour le dossier de mon association puisqu’il appert que certains courriers de demande de régularisation se sont « perdus » depuis sont transfert à mon adresse.

Je pense que plus que quiconque vous devez être conscient de l’importance d’un bon acheminement et qu’en conséquence, vous aurez à cœur de veiller à ce que les facteurs agissant sur notre zone soient informés du particularisme de ces deux voies et que le personnel d’accueil d’Amiens RP soient un peu plus conciliants quand aux résultats des « bourdes » de votre administration.

En espérant que ma requête trouve une oreille attentive, je vous salue bien.
P.S. : J'ai un peu anonymisé les voies mais ceux qui le veullent vraiment pourront retrouver notre adresse, sachant toutefois qu'à compter du 1er Juin, nous démeénageons.

CAE - CEA

Soccer 1991 Team Picture
Soccer 1991 Team Picture de lancaster8739, sur Flickr

Ahmed m’a demandé de lui expliquer par quel miracle mon petit club de football peut se financer deux employés. Il a l’air de penser qu’il s’agit là de quelque escroquerie retorse ou profitant d’une imperfection du système (qu’il aurait nulle envie de dénoncer d’ailleurs).
Comme, au bout de quelques minutes d’explications, il semblait passablement perdu, nous avons convenu qu’une petite note écrite s’imposait, une sorte de fiche de procédure.
Tant qu’à en faire profiter un club rival, Ahmed est dirigeant à « Pierre Rollin », j’ai estimé qu’il n’y avait pas de raison de ne pas le mettre à disposition de tous en cette période de crise.
Avant de s’improviser employeur, il y a un certain nombre de pré-requis indispensable :
Tout d’abord, il faut un numéro de Siret qui permettra d’identifier l’établissement employeur pour bon nombre d’organismes. Je vous conseille à ce moment d’imprimer un avis de situation afin de vérifier que les données enregistrées correspondent bien à la réalité de l’association : http://avis-situation-sirene.insee.fr/avisitu/jsp/avis.jsp
Dans un deuxième temps, il faut choisir une caisse de retraite correspondant à notre activité principale et obtenir d’elle les taux de cotisation correspondant aux facteurs de risques. Personnellement, j’ai choisi d’adhérer par l’intermédiaire de l’AG2R à l’UGRR-ISICA (Retraite complémentaire ARRCO non cadre pour les associations sportives ne gérant pas d’équipements ). Il n’y a pas de mystère, c’est le taux le plus bas que j’ai pu trouver et qui correspond : 1,15% de la masse salariale.
L’étape suivante est la plus délicate puisqu’il s’agit de trouver le ou les salariés éligibles au titre d’un contrat d’aide à l’emploi cumulant le plus de critères possibles afin que son taux de prise en charge se rapproche de 100%. Il s’agit là de critères d’âge, de durée d’inscription en tant que demandeur d’emploi, géographiques et de formation. C’est là qu’être implanté dans une ZUS facilite les choses.
Enfin, je conseille de s’inscrire auprès des « Chèques Emploi Associatifs », une branche des Urssafs chargé de la récupération de nos cotisations sociales qui vous expliqueront la suite des événements : Déclaration unique d’embauche, Simulation, volet sociaux etc…Vous verrez, ce n’est pas aussi compliqué qu’il y paraît. Ils sont joignable en sus à un numéro de téléphone très facile à retenir : 0 800 1901 00 ou sur le site : http://www.cea.fr/

vendredi, mai 29, 2009

Prends garde !



Claudine a l’habitude de me dire qu’au téléphone, je suis tout sauf aimable. C’est surement vrai.

Je ne sais pas si vous avez tenté l’expérience, mais moi si : lorsque j’entends ma voix au téléphone en interrogeant mon répondeur par exemple, j’ai l’impression d’avoir une vraie voix de canard. Et pas celle d’Howard le canard de l’espace, plutôt celle de Donald le geignard de banlieue. J’en ai encore eu l’impression aujourd’hui lorsqu’après m’être présenté, la secrétaire de mairie m’a dit tout de go : « Oui, je sais, j’ai reconnue votre voix ! ». Tiens, prends cela dans les dents. Bon, c’est ainsi, comme dit ma mère : « On ne se refait pas ». Lorsque j’essaye d’être aimable, je ne peux m’empêcher d’avoir l’impression de passer pour un canard laqué, dégoulinant de miel…C’est encore pire.

Comme en plus, certains correspondant masquent leur numéro, j’ai tendance à les assimiler à ces démarcheurs qui profitent du téléphone illimité pour vous bassiner, à l’heure des repas, avec les incomparables qualités de leurs produits et services. Raison pour laquelle mon « Allo » est un peu sec, voir franchement hostile par moment. J’entretiens donc avec cet appareil des rapports qui vont de la haine farouche aux plus mielleuses bassesses.

C’est à tel point qu’aujourd’hui encore, je viens de perdre mon naturel affable face à une commerciale qui ne faisait que son boulot en tentant de me relancer pour la troisième fois afin que je revienne sur ma décision d’abandonner « Canalsat ». Client pendant presque vingt ans chez TPS, j’ai décidé de résilier mon contrat depuis le rachat de cette boite par son concurrent. Ils ont du mal à comprendre que je veuille économiser les quarante euros mensuels d’un service qui m’est fourni gratuitement par la ligne ADSL. Service que nous n’utilisons par ailleurs que fort peu puisque nous ne regardons plus qu’occasionnellement le petit écran. Bref, je viens d’user d’un gros mot franchement sexiste avant de raccrocher vertement au nez et peut-être à la barbe d’une pauvre femme qui doit en entendre des vertes et des pas mures à longueur de journée.

Je ne pense pas que monsieur Graham Bell ai pu imaginer combien sa si utile invention allait générer de frustrations. Par ailleurs, je me dis qu’il vaut mieux cela que de claquer à la fendre sa porte vitrée aux visages interloqués de deux vieilles et gentilles dames venues placer leur « Tour prends garde ».


Arbre, arbuste ou arbrisseau



Je suis un peu ennuyé et je crois que j’ai un peu besoin d’aide. J’ai promis de fournir pour le 8 juin dans le cadre du groupe « un photographe/une photographie », une photographie d’un arbre. Sur le coup, j’ai tout de suite pensé à notre pauvre petit prunier/abricotier/pêcher. Abandonner notre petit jardinet est ce qui nous fait le plus de mal.

Mais, en dehors de ce côté affectif, il faut bien reconnaître qu’il n’a rien de vraiment exceptionnel. Je ne pense pas être en mesure de faire partager sur un cliché tout cet attachement.

C’est la raison pour laquelle je pense préférable de trouver sur Amiens et ses environs un arbre original ou à défaut, vénérable. Comme en ce moment, avec le déménagement, les ventes sur Ebay, le raz de marée causé par la lettre ouverte et la fin de la saison footballistique, il ne me reste que fort peu de temps à consacrer à ma miss, aussi, je tiens à le préserver et n’ai plus rien à consacrer à la recherche de ce végétal. Alors, si vous en connaissez un, n’hésitez pas à me le dire.

jeudi, mai 28, 2009

C’était la presse

La liberté de la presse existe-t-elle ?
La liberté de la presse existe-t-elle ? de B N C T O N Y, sur Flickr

A l’issue de la lettre ouverte envoyée hier et annonçant la fin probable de notre association, j’ai eu la surprise de voir tout le monde associatif amiénois réagir. Quand je dis tout le monde associatif, c’est réellement tout le monde. Il semblerait qu’en une matinée, la lettre ai fait le tour de presque tous les anciens membres de l’association. La vitesse de propagation de ce mail est fascinante. Chacun l’a renvoyé vers ses autres connaissances, ainsi elle a été lue par des personnes qui me sont totalement inconnues même si elles ont a cœur les intérêts de notre association. C’est ainsi que l’on peut constater de visu l’importance des réseaux sociaux sur le net, que ce soit dans facebook ou MSN, cette lettre ouverte a acquit une autonomie telle que je ne saurais dire combien de personne l’ont lue.

Du coup, en début d’après-midi, alors que j’attendais la visite de la société Exim pour le bilan énergétique de la maison, j’ai reçu un appel du directeur du CCAS, Mr Hocine Boubeche. Il n’y a pas à dire, c’est un très bon communicant. C’est loin d’être le cas de madame Messager qui semble ne pas avoir pris conscience que ce n’est pas uniquement un jeune homme de vingt deux ans qu’elle a face à elle en la personne du président. Il représente toute les personnalités qui composent cette association, des bénévoles comme les personnes âgées. Alors, lorsqu’elle a le culot de lui dire qu’après tout, nous avons reçu 4000 euros sur les 5000 votés au mois de mars, que nous n’avions pas à nous plaindre, je crois que je suis en droit de me demander si elle a réellement conscience de la situation dans laquelle la municipalité par son inaction et sa légèreté a mis notre association.

De ce fait, on est en droit de se demander si, une fois encore, nous n’allons pas être pris pour des petits rigollots et si les belles promesses du directeur du CCAS résisteront aux volontés d’une élue.

Ainsi, j’ai passé tout l’après-midi au téléphone à recueillir des soutiens à tel point que mon pauvre portable même perpétuellement en charge n’arrivait plus en fin de soirée à se recharger. Loïc n’a pu m’avoir que sur le fixe( J’ai du faire l’impasse sur d’autres appels ne concernant pas le sujet, Dan si tu me lis, je t’appelle demain).

Je dois rencontrer une journaliste de France 3 picardie tout à l’heure qui comme par hasard, fait un reportage sur les difficultés rencontrées par les associations caritatives en cette période de crise et demain, ce sera un du courrier picard.
Dernière minute : Le directeur du CCAS a bien contacté notre banque pour lui garantir le soutien de la commune à notre association et la prochaine mise en place d'une convention tri-annuelle. De ce fait, la banque maintient notre découvert autorisé jusqu'à la fin du mois de juin et à réception du courrier confirmant ces faits, nous signerons avec elle un nouveau découvert autorisé. Je vais enfin pouvoir bientôt payer tous nos créanciers.

mercredi, mai 27, 2009

Dépôt de bilan de l’association « Amiens-Jeunes »

Lettre ouverte à Mr Demailly

Objet : dépôt de bilan de l’association « Amiens-Jeunes »

Copie à :
Mme Karine Messager , adjointe au maireMr Etienne Desjoncquière, adjoint au maireMme Pascaline Annoot, Vice Présidente du CCASMr Hocine Boubèche, Directeur du CCAS


Monsieur le Maire,


Depuis le mois de novembre, nous cherchons à attirer l’attention de votre municipalité sur les conséquences et la situation difficile dans laquelle nous placent les retards de traitement des demandes de subventions.

Nous nous sommes pliés aux demandes de Mme Messager concernant la double transmission de celles-ci ; la transmission à Mr Desjonquière des factures des salles municipales pour lesquelles on nous avait promis la gratuité ; les bénévoles de notre conseil de gestion ont même vainement attendu Mme Messager et/ou Mr Preveral qui devaient venir les rencontrer le samedi 25 Avril 2009 ; j’ai même personnellement rencontré plus de la moitié du personnel du troisième étage du CCAS avec à chaque fois une demi-journée de congés perdue.

On nous a alors bercés de vaines promesses en nous demandant de continuer notre action comme par le passé, nous avons donc continué à fonctionner sur les même bases en espérant que vos services aient réellement conscience des enjeux.

Aujourd’hui, nous sommes à cinq jours des échéances fixées par notre banque, le Crédit du Nord. L’autorisation de découvert d’un montant de cinq mille euros que nous avons négocié il y a deux mois arrive à son terme. Les cinq milles euros de remboursement des frais de location de la salle de Mégacité votés au mois de mars ( habituellement votés 2 mois avant la location de Mégacité, en Novembre) ne sont toujours pas arrivés sur notre compte et s’ils combleront temporairement le déficit, sans budget de fonctionnement, nous ne pourrons payer les dettes issues de six mois de fonctionnement. Dans le même temps, nous recevons de la Trésorerie des commandements à payer pour les salles municipales et notre téléphone va être coupé.

Notre demande était simplement d’avoir une réponse à notre requête afin que si celle-ci était négative, nous puissions chercher d’autres sources de financement et surtout communiquer auprès des personnes âgées sur l'éventuelle absence d'activité, voir la dissolution de l'association. Nous avons sans doute eu tort. Nos bénévoles étant de jeunes actifs aux ressources limités ou des étudiants, il n’est pas question de leur faire payer l’excès de confiance que nous avions placés dans vos services en continuant ainsi.

Les personnes âgées soutenues par Amiens-Jeunes nous questionnent sur la diminution de nos activités. Notre repas de l’été devait avoir lieu le 14 juillet, nous allons prévenir les 660 personnes que nous pensions inviter mi-juin de son annulation.

Vous comprendrez que nous allons donc certainement devoir après quarante six années déposer le bilan de l’association en espérant que nos bénévoles réussissent à éponger les dettes actuelles et que le millier de personnes qui trouvaient près de nous réconfort ne se retrouvent dans la solitude entre autre à Noël. Nous tenterons certainement par la suite de trouver de nouveaux soutiens, l’association ne pouvant être uniquement financées par les dons des particuliers.

Une Assemblée générale extraordinaire va être programmée, d’ors et déjà, un conseil de gestion aura lieu le 30 mai à 17h30 salle Vascosan afin de faire valider cette décision collective du conseil d’administration.

Pour Loïc, Président
François, Trèsorier,
sous couvert du conseil d'administration.

P.S.: Un vrai fiasco

mardi, mai 26, 2009

Jeunes actifs

lundi, mai 25, 2009

Ca secoue !


 



Certes la Picardie n’est pas une des régions les plus susceptible de se mettre à danser au plus petit frisson de notre chère vieille planéte, mais cela ne nous empêche pas d’être solidaire avec celles qui ont le plus de chance d’être touchées. C’est la raison pour laquelle il faut que je vous parle du programme national de prévention du risque sismique lancé en 2005 et piloté par le Ministère en charge de l'Ecologie : ce plan part du constat que la possibilité qu’un séisme d’une certaine force se reproduise et engendre des victimes et des dégâts importants est avérée en France métropolitaine tout comme aux Antilles.


Le séisme de magnitude 6,3 survenu le 21 novembre 2004 au large de la Guadeloupe ou un séisme comparable, tel qu’il s’est produit en 1839 à Fort de France, pourrait y provoquer aujourd’hui jusqu’à 4700 morts. Un séisme du même type que celui qui est survenu à Lambesc près de Salon de Provence, en 1909, pourrait causer de nos jours de 400 à 1000 morts et 700 millions d’Euros de coûts économiques directs. La densité de population sur le territoire français est telle que les risques en sont accrus.




Devant ces constats, le Plan Séisme a été mis en place, il poursuit plusieurs objectifs :- approfondir la connaissance scientifique de l'aléa, du risque et mieux informer sur celui-ci;- améliorer la prise en compte du risque sismique dans la construction;- concerter, coopérer et communiquer entre tous les acteurs du risques;- contribuer à la prévention du risque de tsunami.


L'ensemble des informations relatives au Plan Séisme (organisation, acteurs, rapports, plaquettes d'information pour le grand public et les professionnels...) est disponible sur le site www.planseisme.fr. Il est d’ailleurs assez bien fait. Dans son menu de droite, on retrouve toutes les grandes rubriques en commençant par la présentation du plan séisme. Une bannière haute présente le travail des différents ateliers et dans la partie droite on trouve les habituelles bannières de liens. Il y a une description des risques mais aussi de toute la réglementation parasismique en matière de construction, des témoignages, une bibliographie même un glossaire. Ils mettent à disposition la totalité de leur production. Il y a aussi une FAQ, mais je n’ai pas encore trouver comment faire parvenir mes questions.



En tous cas, n’hésitez pas à propager et retransmettre l’information autour de vous. Si cela peut contribuer à sauver ne serait-ce qu’une vie…

planseisme.fr

séisme


 



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Confession d’un accro du shopping


Vous remarquerez au passage le petit clin d’œil à la dernière comédie des studios Disney où nous avons passé une bonne soirée, absolument pas prise de tête. Elle dédramatise les conséquences d’une addiction de plus en plus courante dans notre société de consommation actuelle. Tellement courante, que bien que dédaignant les biens matériels, nous en sommes venus, prétextant notre prochain déménagement à « magasiner » à tour de bras.

C’est armé de notre mètre à ruban « Ikéa » que nous avons arpenté tous les marchands de meubles du coin. Aussi, avant même d’avoir pris possession des lieux, nous avons déjà acheté un canapé et sa table basse. Nous avons même été jusqu’à visiter l’usine de Berthaucourt les dames, une fabrique de fauteuils et de salons dans l’espoir de relancer l’économie locale. Mais finalement, notre choix s’est porté sur un canapé trois places en cuir noir de chez But. Quand à l’informe table basse en verre qui l ‘accompagne, c’est le fruit de l’adage « ce que femme veut … ». Nous avons aussi flashé, sur une magnifique table de salle ovale en verre, qui se transforme, par l’adjonction de deux rallonge en forme de croissant, en grande table ronde. Malheureusement, son prix même soldé, reste dissuasif.

Nous avons aussi profité du jeudi de l’ascension pour une visite à l’Alinéa de la patte d’oie d’Herblay. Nous savions ne rien y trouver de plus que lors de notre visite à Domus, mais nous espérions y voir le même meuble à chaussure qu’à Rosny 2 pour moins de route. C’était le cas et nous sommes revenus avec un grand carton que nous ne déballerons qu’à l’appartement.

Tout cela plus le meuble de télévision, nous avons donc notre salon totalement à neuf. Nous attendons de savoir quel prix nous allons tirer de la revente des anciens meubles pour acheter ou pas la table de nos rêve. Pourquoi, me direz vous, ne pas faire ce petit sacrifice ? C’est assez simple, nous nous sommes imposé un budget pour chaque pièce, à ne pas dépasser, avec éventuellement des transferts de pièce à pièce. C’est dur.

mercredi, mai 20, 2009

Webquête de la Croix-Rouge française


Bon, Claudine qui travaille indirectement pour la Croix-Rouge française m'en voudrait beaucoup si je ne vous faisait pas une petite piqûre de rappel pour que vous vous souveniez que les 23 et 24 mai (Hé! oui, déjà Samedi et Dimanche) à lieu la Webquête 2009, une grande Quête en ligne à son profit.



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Usurpations

Vous avez peut-être entendu comme moi, parler de ce jeune homme dont l'identité a été usurpée. Ors ce n'est pas faute de vous avertir et de répéter sur ce blog qu'il faut absolument faire attention avec ses "données" qui sont autant d'informations privées et vous définissent. Je vous rappelle qu'il vous suffit d'aller dans une mairie en citant les noms et prénoms de vos parents et grands parents, votre date de mariage pour faire refaire un carnet de famille qui lui vous permettra d'obtenir une carte d'identité et ainsi de suite...
Être français est considéré par certain comme une grande richesse en soit, au point que de telles informations se négocient. Alors faites très attention.
Je vous joins une petite vidéo que Michèle m'a envoyée qui vous montre aussi comment ne pas se faire voler sa carte dans un distributeur automatique. Vous remarquerez au passage, que cela n'a pas l'air très compliqué.

mardi, mai 19, 2009

L'électorat et le lectorat



C’est bientôt les élections européennes et le service des elections de la mairie m’a une nouvelle fois contactépour me demander d’assumer le rôle d’assesseur. Il semblerait que peu de mes concitoyens soient disposés à sacrifier une ou deux heures de leur temps à la défense du système démocratique. Poutant, j’aime à croire qu’ils seraient plus nombreux à manifester leur soutien s’il devait être en péril.D’après les sondages, près de la moitié des électeurs se fichent pas mal du résultat. Ors, comme sont plus nombreux encore ceux qui râlent, je me permet de leur rappeler qu’ils n’ont qu’à s’en prendre à eux même puisque tout le monde sait que l’indiférence élit, plus facilement qu’une bonne campagne, ceux qui demain prendront pour eux les décisions qu’ils se refusent à assumer.
P.S. : On savait Julien Dray collectionneur de montres. Depuis l'enquête préliminaire en cours sur son train de vie , le député de l'Essonne collectionne aussi les soupçons. Dans son édition à paraître mercredi 20 mai, Le Point révèle le dernier épisode d'une enquête à tiroirs : en mars 2008, l'élu socialiste aurait acheté une montre de collection dans une bijouterie de Milan avec des fonds provenant de son comité de soutien... Même si je n'en porte pas, je me demande si je ne vais pas me présenter...

Le lait acheté à 20 centimes d'euro le litre

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Je venais juste de finir de poser du papier peint dans la cuisine lorsque une odeur insoutenable et de drôles de bruits nous ont échauffés les oreilles et le nez. J’ai d’abord cru que la nouvelle colle « spécial papier intissé » pouvait être responsable d’une partie des désagréments, mais comme nous ne nous expliquions pas les sons métalliques dissonants, nous sommes sortis voir ce qui pouvait ainsi bouleverser la quiétude du centre ville d’Amiens.
La première chose que nous avons vu en sortant ce sont les deux vans de CRS qui protégeaient l’accès de la rue Saint-germain. Pour les non-amiénois, il s’agit de la rue qui permet de rejoindre le poste de la police nationale. Ce qui me laisse à penser que la rue de la République où réside le préfet et l’accès à la mairie devaient être bloqués de la même façon.

Ce n’est qu’ensuite, que les puissants phares des tracteurs qui défilaient nous ont permis de comprendre qu’il s’agissait là d’une manifestation. On ne peux pas dire qu’elle ai été encadrée par la foule, bien au contraire, les spectateurs fuyaient autant l’odeur que le purin et le lisier qu’ils projetaient sur les forces de l’ordre, les arrêts de bus et les panneaux de signalisation. La paille volait partout et comme les citernes déversaient un mélange de petit lait et d’urine animale, si possible sur les boucliers de plexi-glace, elle collait en maints endroits.

Les véhicules des manifestants charriaient à grands bruits des pots à lait métalliques tout en battant les parois des remorques, réveillant, si ce n’est les consciences, au moins les amiénois.

D’énormes pneus alliés à de la tourbe brulaient au centre de la place Vogel bloquant le passage d’un convoi exceptionnel de l’usine de Méaulte, rendant impraticable cette voie Nord-Sud. Malgré cela, on ne peut pas dire qu’il y ai eu à franchement parler de la casse, uniquement de la salissure.

L’aspect le plus inquiétant de cette manifestation certes bruyante, mais bonne enfant, était comme d’habitude la présence de policier que l’on sentaient nerveux. J’ai trouvé cela fort amusant, pour une fois, la manifestation n’a pas gênée les travailleurs du centre ville, elle a juste empêché certain de dormir.

A défaut d'être entendu




Il y a quelques temps, j’évoquais ici la possibilité de mettre à disposition dans les jardins publiques des arbres fruitiers. Trouvant l’idée astucieuse, j’ai cru bon de la souffler à nos élus par l’intermédiaire de la soit disant démocratique interface que constitue le site web de la ville en insérant la question dans le forum de « Citoyen à Amiens ».
Je ne voyais là nulle malice et j’attendais une réponse, même négative qui m’assure que l’idée avait étée entendue à défaut d’être débattue.

Sans doute suis-je naïf ou bien trop éloigné des arcanes de la politique pré-electorale puisque le modérateur du lieu n’a pas cru bon d’y inscrire la question.

A moins biensur que la démocratie n’y ai plus cours ce qui n’aurait rien d’étonnant au regard de l’ancienneté des dernieres questions.

La Webquête de la Croix-Rouge française

Comme chaque année, la Croix-Rouge française organisera au mois de mai ses deux jours de quête sur l’ensemble du territoire. Cette année, la Croix-Rouge française donne rendez-vous les 23 et 24 mai pour sa 75ème quête nationale.

A cette occasion, le plus grand nombre de bénévoles des 900 délégations locales de l’association se mobiliseront les samedi 23 et dimanche 24 mai pour collecter le maximum d’argent leur permettant d’aider les personnes défavorisées de leur commune.

En parallèle, une grande campagne de dons en ligne est lancée, et en ce contexte de crise, la notion de micro-don est mise avant ! Toutes les bloggeurs qui se sentent concernés par cette action sont invités à participer à cette campagne bénévole. Apportez votre pierre à l'édifice en relayant comme je le fait cette information.

En fait, Trois niveaux d’implication sont proposé à l’internaute :
· Se blondizer : l’internaute peut participer à la campagne et poster sa photo dans les bannières publicitaires de l’opération, grâce à un module applicatif lui permettant d’ajouter une perruque blonde à sa photo portrait.
· Devenir webquêteur : il s’agit de la véritable nouveauté de cette année, sur laquelle l’opération doit capitaliser pour consolider sa stratégie de conversion. A l’image des bénévoles qui attendent aux feux rouges munis de leurs troncs, l’internaute peut créer sa propre page de collecte pour inciter son réseau d’amis à venir donner.
· Donner : au-delà du simple don, c’est la notion de micro-don qui est mise en avant, avec la possibilité de donner même de très petits montants, par carte bancaire ou via le système Paypal.

http://www.dailymotion.com/user/croixrougefrancaise/video/x9bmhi_le-blondizer_news

Le site internet http://webquete.croix-rouge.fr/

lundi, mai 18, 2009

Je ne suis pas fatigué... ZZZzzzZZZzzz

Nous avons eu un week-end plutôt chargé.
Cela a commencé vendredi par un petit rappel à notre jeunesse. Nous avions fait notre premier voyage en temps que jeune couple en allant voir chanter Gérard Lenormand à Paris. Ors, vendredi, il chantait dans la salle des fêtes de la commune de Ham. Bien évidemment, ce n’est pas l’Olympia où nous l’avions entendu en … 1981..Purée, presque trente ans. Bon, bref, une bonne soirée où pour pas trop cher, un peu plus que le prix d’une place de cinéma, on peut voir un chanteur de pas trop loin. En effet, sur Amiens c’est devenu infernal d’assister à un concert. Le Zénith pratique des prix trop élevé, à Mégacité, une fois sur deux on se retrouve debout quand ce n’est pas séparés, le cirque passe encore, mais les spectacles n’y sont pas trop fréquents.

Samedi, les courses le matin puis football avec les moins de treize ans ans l’après-midi. Ils jouaient à Oisemont, tout de même une cinquantaine de kilométres d’Amiens et ont gagnés par 8 à 1. Le soir, en première partie de soirée, nous avons été à l’église Saint-Leu pour un concert spirituel où Marie-Christine chantait avec le chœur diosésain. En deuxième partie de soirée, nous avons …non, c’est trop personnel. Passons au dimanche.

Dimanche donc, comme Claudine travaillait, moi, j’ai fait comme elle. En raison de notre prochain déménagement et afin de sauvegarder notre amour propre, je me suis lancé dans tous ces travaux que je repousse depuis plus de dix ans. C’est étrange mais en une seulle journée, j’en ai fait plus que je ne pensais. Encore un ou deux jours et nous regretterons de quitter cette maison. A force de la réparer et de l’améliorer, on va finir par se demander si l’on a pas fait une bétise.

L’aprè-midi, j’avais un match assez chaud au niveau de l’équipe A des séniors. En effet, nous avions la quatrième place du championat et nous jouions contre les second. Comme seuls les deux premiers de la poule montent en division supérieur, les enjeux étaient relativement importants. Nous avons gagné 5 à 3. Mais ce sera insuffisant, à moins que le deuxième ne perdent aussi la semaine prochaine, nous reserons à la troisième place, la plus mauvaise.

Bref, un week-end plus que fatiguant mais assez productif.

dimanche, mai 17, 2009

Photo officielle du groupe


Je faisais, il y a peu, parti d’un groupe où l’on joignait poésie française et photographie, deux domaines qui satisfont mon interêt. J’y occupais, épisodiquement il faut le reconnaître, la fonction d’administrateur. Mais, je me suis senti dans l’obligation de le quitter. Non que j’y ai perdu de l’interet, mais il s’y est installé une ambiance conflictuelle suite au retour d’une administratrice qui par ailleur est dotée de grande qualités artistiques mais ne sait pas faire preuve, ni de diplomatie ni même de la politesse minimum que l’on est en droit d’attendre d’une internaute dans ses rapports avec autrui. On peut ne pas partager le même point de vue et en discuter sans tomber dans les excès et la malhonnéteté.

Comme malheureusement, il n’est pas dans les pouvoirs d’un administrateur d’en exclure l’une des fondatrices, j’ai préféré tout abandonner et quitter ce groupe pour me rabattre temporairement sur un autre au sujet voisin.

Comme malheureusement le fondateur et seul membre actuel de ce groupe à tendance à le laisser végéter, je me demande si je ne devrais pas entrer en discidence et contribuer à la création d’un nouveau. Je suis toutefois conscient que je ne vais pas pouvoir en supporter la charge seul. J’espères que d’autres contributeurs m’y rejoindront. On verra.

Mal en point

Matthieu nous parlais l’autre jour du seul gros inconvénient qu’il y ai à vivre et à travailler à Beauvais : la proximité de l’usine de fabrication d’éponges. En effet, rien n’héxale plus de puanteur, sauf peut être les sucreries où l’on traite la bettrave (il y en a quelques unes en Picardie).

Or, hier en rentrant du cinéma (nous avons été voir Millénium - bon thriller, un peu violent ), une odeur douceâtre, à mi-chemin entre l’œuf pourri et la barbe à papa, envahissait les rues.
Par curiosité, en promenant Saxo, j’ai fait un petit tour par la mairie d’Amiens afin d’y lire l’indice Ecmo affiché au dessus de la cordonnerie voisine.

J’ai été un peu rassuré sur son bon fonctionnement lorsque j’ai constaté que le curseur atteignait péniblement la base du cou de la girafe qui le symbolise, mais dans le même temps, j’ai eu la surprise de lire le message : « Ok MOD » là où habituellement s’y trouve la signification de cet indice chiffré.

Aussi rassurant que soient ces cinq lettres, je me suis demandé si la girafe n’avait pas rendu l’âme au moment même où elle est sensée nous alerter. C’est gênant car sans être extrêment fréquent, il n’est pas rare que la ville soit victime de l’un de ces dégazage qui l’empuantissent et j’ai du mal à comprendre que l’on ne puisse trouver la source de cette pollution et y remédier.

samedi, mai 16, 2009

La petite maison dans la prairie


House Haus Maison
Originally uploaded by Marco Braun.
Un jeune couple semble interéssé par la reprise de la maison. Il se sont montré aimables et les similitudes entre leur situation et la nôtre lors de notre arrivé en ces lieux plaide en leur faveur.

Ils nous rappellent avec nostalgie , les espoirs et les aspirations en matière d’éducation pour notre fils, que nous avions en venant vivre ici. La proximité des écoles et des commerces, la vitalité et la tranquillité du quartier.

Bizzarrement, cela ne nous fait pas regretter notre décision, et je dirais même plus, cela nous soulage un peu de la peur que nous ressentions à tourner ainsi la page de vingt ans de vie. Reste à savoir si leur interêt se concrétisera.

vendredi, mai 15, 2009

Youkilélaid


Youkilélaid 2
Originally uploaded by Tywak.


Avec l’âge, ce qui s’épaissit, ce n’est pas tant les artères que le verre de mes lunettes. Je ne sais pas si c’est une conséquence du diabète toujours est-il que l’un des avantages de cette maladie, c’est qu’elle réduit le temps d’attente pour une visite ophtalmique de six à un mois. Malheureusement, son influence sur la vue est telle, qu’il faut prévoir de une à deux visites par an. Second problème, et non des moindre, chacune de ces visites s’accompagne d’une remise en cause de la correction précédente et d’un épaississement des verres nécessaires à celle-ci.

Lorsque c’est le cas comme à présent, j’entames ma ronde des opticiens de la région. Vous aurez surement remarqué qu’il s’agit là d’une profession qui se porte beaucoup mieux que moi à l’évidence tant ces officines sont nombreuses soit en centre ville, soit dans les galeries marchandes de tous nos supermarchés. Il faut dire que lorsque l’on fait faire quelques devis, on se rends rapidement compte qu’il s’y pratique des marges impressionnantes. Alors même que le système de cotation des verres semble unifié.

En effet, il y a fort peu de chance pour que vous connaissiez le système de cotation des verres correcteurs, pourtant il existe. Il s’agit du code LPP(Liste des produits et prestations) utilisé par la sécurité sociale dans le cadre du remboursement de la prestation. Donc, attention, lorsque vous faites faire des devis à comparer ce qui est comparable.

Le code LPP est issu de l’arrêté du 26 juin 2003 relatif à la codification des produits et prestations remboursables prévues à l’article L 165-1 du code de la sécurité sociale. Il est totalement applicable depuis le 6 mars 2004. C’est un code à 7 caractères numériques :
Le premier défini le « TITRE », le second le « Chapitre », les quatre suivants sont aléatoires et le septième la clef. Dans le cas d’une paire de lunette, ce code commence par 2. (Titre 2 : Orthèses et prothèses externes) puis 2 encore pour « L’optique médicale ». Ensuite, le code varie selon l’âge du patient, la teinte des verres, la nature de la correction, le traitement et enfin leur épaisseur. ( www.codage.ext.cnamts.fr/codif/tips//chapitre/index_chap.php?p_ref_menu_code=45&p_site=AMELI

Lorsque vous faites faire un devis à votre opticien, n’oubliez pas bien sûr, de l’informer du montant du devis le plus bas afin de l’inciter à baisser sa marge. Vous serriez surpris de ce que vous pouvez gagner comme temps et comme argent.

Tout d’abord, n’oubliez jamais que vous êtes en droit de demander à votre opticien qu’il vous fournisse :
- la proposition d’une offre personnalisée avec les références et les prix des verres et de la monture,
- le montant du remboursement de la sécurité sociale,
- le détail des prestations assurées et les conditions du service après-vente proposé.

Sur votre demande, votre opticien devra également indiquer dans son devis une offre de base, c’est-à-dire l’offre (verres + monture) la moins chère qu’il choisit de vous proposer, en respectant la prescription médicale. Je vous conseille donc de demander trois devis. Tout d’abord l’offre de base, celle qui vous agrée et enfin l’offre la plus haute et de comparer les prestations sur cette base là.

En effet, vous aurez peut-être la surprise de voir que si aucun n’est disposé à vous vendre la monture et les verres « sécurité sociale », ils ont une grande latitude de produits à votre disposition.

Bien évidemment, il dépendra de votre bourse que vous revêtiez de fins verres organiques ou de gros culots de bouteilles.

jeudi, mai 14, 2009

Solidarité


Solidarité
Originally uploaded by Mickael Thibedeau.

J’entendais ce matin à la radio une dame de soixante douze printemps se plaindre de l’indiférence des gens. Elle estimait que remplacer des caissières de supermarché par des machines contribuait à la renforcer. Elle appréciait comme tout le monde je pense, un bonjour amical, un sourire, bref, un peu de considération.

Dans le même temps, une autre évoquait le stress et la pénibilité de la tâche. En les entendant débattre, je me suis demandé si le sujet portait bien sur l’évolution des techniques de caisse ou si il était question de la qualité des rapports humains.

Il m’est alors rapidement apparu, tant la discussion prenait de l’ampleur que si certain se satisfont d’une amabilité de circonstance, d’autres ont besoin d’une écoute comme certain de recevoir, selon l’humeur du moment.

Je crains que cette qualité à laquelle tous aspirent ne soit lié à la faculté de se mettre dans l’une ou l’autre de ces positions.Pour qu’il y ai partage,il faut également donner et recevoir.

Bulles d'un autre monde



Bulles d'un autre monde

Originally uploaded by Antoine Juhel.

 Comme vous le savez, mon diabète me créé une pépie insatiable et bien souvent, plutôt que de tenter d'épancher ma soif au travers d'une eau plate, je me tourne vers l'eau gazeuse et ma préférée, la Badoit verte (c'est comme un soda sans sucre.).


Ors, je viens d'apprendre qu'en 2009, Badoit a décidé de faire appel aux élèves des Beaux Arts de Paris, pour créer les bouteilles collector de Noël, pour la Badoit Verte et la Badoit Rouge. Parmi les projets qui ont été présentés, le 8 avril par près d'une centaine d'élèves, 20 ont été sélectionnés et sont exposés depuis le 20 avril 2009 sur le site Badoit.fr


Ainsi Badoit remet entre les mains de jeunes artistes le design de ses bouteilles collector pour l'année 2009.


Pour découvrir les créations de ces jeunes  artistes et soutenir votre projet de packaging badoit préféré, rendez-vous sur le site Badoit.fr.


En votant pour votre création préférée, vous participerez au jeu concours qui vous permettra peut-être de gagner 3 jours à New York avec des entrées pour les musées d’arts modernes principaux, le Guggenheim, le MOMA, …. ou en avant première 500 bouteilles.


 


Le jury, composé de personnalités reconnues du monde de l’art (Henri Jobbe Duval, directeur de Art Paris ; Kamel Mennour, Galeriste parisien, Sandra Muliez, Mécène ; Gilles de Burre , Critique d'art) et de représentants de la marque, élira le lauréat qui recevra un prix de 10000 euros et verra sa création habiller les bouteilles de Badoit durant la saison des fêtes 2009.



Les 20 créations sélectionnées seront ensuite exposées lors des journées portes ouvertes des Beaux Arts de Paris, les 26 et 27 juin 2009, puis au cours d’une grande exposition itinérante dans les 5 grandes régions de France, dans des restaurants de renom, jusqu'à la fin de l'année 2009.


Personnellement, sur les vingt candidats retenus, j'ai fait une pré-selection et j'en ai retenu trois : 

- Le 12 - Dominique Pouzol pour l'humour dont il fait preuve dans sa création.

- La 14 - Coraline de Chiara pour sa légéreté, le mouvement et son minimalisme 

et enfin ma préférée, celle pour laquelle j'ai voté la 17 Tiffany Bouet. En effet, des vingt proposés, je trouve que c'est celle qui allie le mieux les qualités de cette eaux gazeuse. On y retrouve la légéreté des bulles, le mouvement, mais aussi les sels minéraux qui sont peu représentés dans les autres création avec un peu d'humour.



Allez voir et dites moi ce que vous en pensez.


 




 


 

Tagada, tes soins, tes soins


Tagada
Originally uploaded by hellolapomme.
La Fraise Tagada est un bonbon inventé en 1969 par la société Haribo. Cette société fut créée en 1924 par Hans Riegel et sa femme Gertrud à Bonn, Allemagne.La Fraise Tagada se présente sous la forme d'une boule de guimauve aérée, recouverte de sucre fin coloré de rose et aromatisé. Son nom vient de sa forme et sa couleur qui imitent celles de la fraise.En France, la Fraise Tagada est un des bonbons les plus connus, mais aussi les plus imités. En effet, nombreuses sont les enseignes de confiseries qui ont maintenant leur propre imitation de la Fraise Tagada.Les ventes de Fraises Tagada atteignent un milliard d'unités par an en France.

Le diabète est une maladie insidieuse aux redoutables conséquences. Pour avoir aidé Véro à mettre en page son rapport de stage sur le sujet, j’en avais pris conscience sans même savoir quels pouvaient en être les symptômes. Comme de tous temps, je me suis conformé à la prescription qui souhaite que l’on renouvèle l’eau de son corps par l’absorption d’un litre et demi d’eau par jour, l’accroissement de ma consommation m’avait jusqu’alors semblé naturel, à la rigueur, imputable à une addiction, un reflexe pavlovien.

C’est la petite phrase concernant mon âge et l’état de ma prostate qui m’a poussée à consulter. Bien m’en a pris puisqu’il est apparu que ma pépie relevait plus des symptômes d’un dérèglement glycémique que d’un durcissement ou d’un grossissement de mon appareil urinaire.

Maintenant, au bout d’un mois d’abstinence et de traitement aux glucophages, j’attends le verdict. Aurais-je perdu ces quelques grammes par litre de sang qui me poussaient à l’urinoir ? Devrais-je continuer à absorber ces comprimés qui dans leur velléité à éliminer de mon corps les sucreries me poussent à la selle ? Réponse demain. En attendant, fini les bons gâteaux de Mme Basselet ou les tartes de Claudine, plus de bonbons ni de sodas, plus de glaces ni de sucre. Je vais tourner amer.

J'ai longtemps retenu ce message pour ne pas inquiéter mes proches mais maintenant que les résultats sont face à moi, que je me sens rassuré par la baisse du taux, je pense pouvoir le lâcher sans qu'il soit question d'étaler quelque morbidité. Je suis passé de 3.21 grammes à 1,24 soit beaucoup plus proche de la normalité. Je m'en vais continuer mes efforts en m'autorisant de tant à autre une petite "Fraise".

À notre époque le diabète est considéré comme un problème de santé publique majeur avec plus de 189 millions de personnes atteintes dans le monde, dont 3 millions en France. Ce nombre passerait à 340 millions en 2030. Une prévision qui s'explique selon l'organisme mondial de la santé (OMS), non seulement par le vieillissement de la population mais aussi par des régimes alimentaires déséquilibrés, l'augmentation de l'obésité et un mode de vie de plus en plus sédentaire.

Une personne diabétique présente de hauts risques micro et macro vasculaires responsables de séquelles lourdes et invalidantes. Les pieds des diabétiques développent des troubles trophiques graves comportant un risque majeur d’évolution vers l’amputation. En France il y aurait 10 000 interventions par ans (à noter que 50% d’entres elles pourraient être évitées, si la gravité des lésions n’était pas, bien souvent sous estimée). Le risque d’ulcère artériel chez un diabétique, est multiplié par 10 (70% réapparaissent dans les 5 ans qui suivent la cicatrisation première) entrainant une surmortalité 2,5 fois plus élevée chez les personnes porteuses d’une plaie au pied. Ainsi le diabète représente la première cause d’hospitalisation dans les pays industrialisés, ce qui représente environ 50% de la population. Une enquête faite en 2000 auprès du régime général d’assurance maladie, démontrait que les dépenses en matière de prescription et de soins médicaux s’élevaient à 5,71 milliards d’euros (l’hospitalisation représentant à elle seule 2,398 milliards d’euros en 2003). En France le coût moyen mensuel ambulatoire des ulcères était estimé en 2005 à 730 euros (1556 euros pour l’hospitalisation).

La prévention des complications du diabète fait parti des objectifs de la loi du 9 août 2004 relative à la politique de santé publique. Afin de limiter au maximum le taux de prévalence des diabétiques et ainsi réduire les dépenses du système de santé, de nombreuses actions en matière de prévention, dépistage et éducation ont été mises en place par le ministère de la santé, le diabète étant inscrit comme prioritaire. Ainsi le dépistage des complications du pied diabétique fait parti du plan national de lutte pour améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de maladies chroniques.

Dans le cadre du programme diabète 2002-2005, un protocole de soins a été rédigé en 2003 recommandant un dépistage avec test au monofilament par le médecin et un suivi podologique tous les deux mois chez les patients ayant des plaies de grade 2 et 3. Néanmoins ces actions restent encore insuffisantes et défaillantes, notamment par rapport aux recommandations de l’Agence nationale d’accréditation et d’évaluation en santé (ANAES).

mercredi, mai 13, 2009

A la loupe


.
Originally uploaded by jonas kamm.

Avant même que nous n’ayons placardé l’affiche annonçant que notre logement est à louer, des quidames (le féminin s’impose) souhaitent le visiter. Si certaines nous proviennent de l’agence, d’autres nous arrivent par le biais du téléphone arabe qui semble avoir informé tout le quartier de notre prochain départ.
Ors, en dehors du fait que rien ne nous garantisse de leur velléité de louer, aucune ne semble avoir la moindre commisération pour notre passé en ces lieux. Pleuvent désormais des question qui frisent l’indiscrétion, des remises en question plus que douteuses de nos propres gout et des jugements sur nos choix.
Si hier, je décrivais le marketing des marchands de meubles comme agressif, ce n’est rien au regard de l’attitude intrusive de ces soit disant locataires. Elles croient de bon ton de nous informer de leur conclusion comme si nous ne connaissions pas les avantages et les inconvénients de notre propre logement. Pire que tout, elles posent leurs questions sans même en attendre de réponse. Elles nous jugent et nous condamnent en une seule phrase :
- Vous n’avez pas de double vitrage ? Ah, bon !
- Le couloir est très « rose ».
- C’est chauffé au gaz de ville ?
- La cuisine n’est pas équipée ?
- C’est haut de plafond
- Vous devez payer beaucoup en chauffage ?
- L’abricotier bouche la vue.
- Deux chats, un chien, c’est une ménagerie ?
Et j’en passe des pires et des meilleures. C’est une vraie épreuve qui hâte notre désir d’en finir avec notre enménagement.

mardi, mai 12, 2009

Rouge à lèvres


Rouge_a_levres
Originally uploaded by ricoshe.
Sur ma peau, la trace d'un baiser,
des marques, quelques rouges sillons,
bien plus larges qu'un succon,
un oublieux résidu de notre passé.

Alors,tu promenais, à tes lévres,
amoureusement, le stick carmin,
dessinant là toutes mes fièvres
de langoureux traits purpurins.

S'affichait une moue dédaigneuse
la pulpe poussée par le crayon
laissant voir des dents bécheuses
prètes à mordre l'invitation.

Car c'est un fruit si délicieux
qui devant la glace s'y murit
et si j'étais moi même malicieux
je demanderai qui s'en nourrit

lundi, mai 11, 2009

Grippe A-H1N1 - Patient zéro


On a enfin découvert le patient zéro. Le premier vecteur de cette grippe porcine :


François 1 - Mobilier de France ZERO


domus 1
Originally uploaded by j5k.

Dimanche, nous sommes partis de bon matin en direction de Rosny sous bois. Le but de notre voyage se cachait derrière une appelation latine qui vet bien dire ce qu'elle veut dire : Domus.

Pour ceux qui ont quelques difficultés à parler le curé, c'est de la même famille que le Domicile. En fait, le Domus de Rosny sous bois est un grand centre comercial spécialisé dans la décoration et l'ameublement.

En fait, nous voulions nous rendre plus précisement dans le magasin "Alinéa". C'est en tout points la copie conforme du IKEA que nous avions visité précédement. Ils ont même été jusqu'à y installer une cafétéria en plein centre. Seul détail qui cloche : ils ne distribuent pas de métres en papier ni même des crayons de bois.

En dehors de ce magasin, je vous conseile de vous munir d'une bonne armure et d'un sabre. Nous avons eu l'audace de vouloir pénétrer dans un "Mobilier de France".

Le croiriez vous si je vous disais que nous avons été litterralement agressés. Je ne sais pas si c'est la crise ou autre chose mais cette chaine ne doit pas avoir les même notions de marketing que moi. Nous avons fait toute la visite du magasin encadrés par une paire de vendeurs batis comme une de ces armoires à glace que nous venions de voir. Dès que notre regard se tournait vers le moindre meuble, nous en connaissions toutes les particularités, avions le droit à une réduction allant de 10 à 50% et les documents nous permettant d'obtenir le crédit pour le financer.

C'est incroyable la violence qui se cachait dans cette attitude. A tel point que dans les magasins suivant, comme nous n'osions plus regarder que depuis la vitrine.

J'ai du user d'artifices. Dés que je mettais un pas dans une boutique, je me montrais le plus odieux possible. Sans même dire bonjours, dès que je voyais s'approcher un vendeur ou une vendeuse qui ne devait surement pas y être pour grand chose, je commençais à gueuler : "C'est pas la peine d'approcher sinon je m'en vais.". Et même parfois d'autre insanités que la décence m'interdit de repeter ici.

Je ne sais pas ce que vous pensez de ce comportement, mais personnellement, je crois que toutes ces chaines de magasins qui pratiquent des prix prohibitifs et un marketing aussi "rentre dedans" son appellés avec la crise à disparaitre. Je prends par exemple le cas d'une table basse qui nous plaisait bien mais que nous n'aurions pas acheté car elle n'irait pas trop avec notre futur interieur. C'est un simple plateau de verre dépoli monté sur un système de trétaux qui permet de la transformer en table haute.

Bizzarement, elle se décline dans presque tous les magasins sous des appellations différentes mais à des prix qui passent de 1 à 10. Comme si il n'y avait pas de différence entre 150 et 1500 euros. D'aucun vous dirons que ce n'est pas des produits de même qualité. Malheureusement pour eux, le rapport au mobilier à bien changé dans notre société et notre culture. Si jadis, on gardait un meuble sa vie durant et même pour des générations, de nos jours, en cinq ans, on s'en lasse et l'on en change.

vendredi, mai 08, 2009

Faute de correction


Orthographe Malais
Originally uploaded by Dany et Maryse.

Je lisais l’article de Demetan sur l’orthographe dont notre jeunesse à tendance à user et la limitation de correction qu’elle entraine. Depuis, je ne peux m’empêcher de relever les plus effrayantes issues de mes pérégrinations sur la toile. Il ne me viendrait pas à l’esprit d’avoir l’incorrection de mettre en exergue les plus grossières, pourtant Dieu sait combien par moment cela me tente.

Ce qui me chagrine le plus dans cette affaire, c’est que les personnes à l’origine de tels manquements aux règles ont le niveau intellectuel suffisant pour les éviter mais qu’elles ne semblent pas vouloir se fatiguer ou estiment que le message qu’elles veulent faire passer parle par lui même. Je ne suis pas sûr qu’elles réalisent combien cela peut sembler insultant pour le lecteur…au point qu’il se refuse à revenir lire la suite.

Je prends un exemple : « vous qui n’avaient pas », « ces filles dont je parlent », « Après l'avoir cherché partout, je l'ai enfin trouvée. », « qu'il vas vous plaire », etc…Quand elles ne cherchent pas la complication, elles écrivent sans même se poser la moindre question. Certes, il n’est pas nécessaire d’aller bien loin sur ce blog pour trouver des erreurs plus grosses que moi mais au moins fais-je un effort de réflexion et je m’astreins à corriger les plus flagrantes.

C’est ce renoncement, cette absence de volonté de se parfaire qui m’inquiète. Elle tend à se généraliser et par là confirmer l’impression d’une génération « je m’en foutiste » sur les bords.

P.S. : N’hésitez pas à me reprendre si vous en détectez.

jeudi, mai 07, 2009

I love IKEA


I love IKEA
Originally uploaded by Zach_ManchesterUK.


Je vous avais promis de vous parler des magasins Ikéa et j’entends bien tenir parole, alors, parlons en. Ce qui fait la réputation de cette enseigne ormi la qualité de ses crayons de bois, c’est avant tout un concept. Un concept qui repose sur des postulats mathématiques simples.

Le premier et le plus puissant d’entre eux est le suivant :
Prenons une femme D (comme Dine) que l’on mets dans un ensemble M contenant des produits V. Automatiquement, on obtiens l’équation suivante : P=P+V puissance S où P est un ensemble ou un placard et S le début des soldes.
De ce fait, les magasins IKEA ont déduit que plus une femme voit d’articles, plus elle a envie de les aquater (acquérir avec l’accent picard). C’est la raison pour laquelle ils se débrouillent toujours pour vous perdre dans le magasin avec une signalétique telle que vous êtes contraint de passer devant tous les rayons lorsque vous voulez une gomme.

Le second postulat :
Prenons un homme H. Comme vous le savez, concernant les priorité, D décide. Nous avons donc H=D prime.
C’est la raison pour laquelle, les magasins IKEA ont judicieusement placé en leur sein une cafétéria où pour moins de deux euros, vous avez un sandwich et une glace.

Il y a un troisième postulat, mais c’est un peu trop complexe pour moi. C’est un truc du genre, il est plus facile de retenir le code barre que le nom du produit. Un truc suédois quoi.

Nous sommes donc parti de bon matin le cœur pur et serein. Nous y avons passé tout l’après midi à combattre nos instincts. Enfin, nous avons tout de même pris une collation.

Nous étions si vous vous en souvenez à la recherche d’un meuble de rangement sur mesure pour stocker les services qui ne servent pas. Nous avons fait de jolis dessins avec le logiciel de construction de cuisine aménagées. Bref on a fait plein de chose, on a même récupéré un mètre en papier et un crayon de bois pour faire mes mots croisés.

Enfin, pour un bon millier d’euros nous pouvons avoir un meuble de soixante centimètres de profondeur couvrant tout le mur du fond du salon du loft. On va y réfléchir.

mercredi, mai 06, 2009

Début des travaux

Ca y est. Le loft est pour nous. Je n’en reviens toujours pas. En moins d’une semaine, et avec l’aide du fiston, tout c’est enchainé à une vitesse folle.

Il nous faut maintenant aussi réfléchir aux conséquences de notre décision sur nos activités connexes. Par exemple : La ligne téléphonique de l’association Amiens-Jeunes aboutit actuellement à une prise située dans notre chambre. Il va falloir la faire transférer, idem pour l’adresse correspondant à la boite postale. Je ne pense pas que cela génère le moindre problème puisque nous ne serons pas très éloigné de notre position actuelle, mais avec toutes ces lois et ces règlements, il y aura bien un ou deux bâtons pour atterrir dans nos roues.

Que dois-je faire de ces dizaines de coupes et autant de ballons que pour le club de football, j’entrepose dans le garage.

J’ai quand même fait fort puisque mardi, j’ai réussi à caser tout le matériel de jardinage, tondeuse, roto-fil, pelles et bêches. Matthieu, lui qui déteste cela, va en hériter. Remarquez, cela lui sera utile.

Le pire dans cette histoire, c’est que Claudine ne veux pas passer pour une souillon. Je me doutais bien qu’elle tiendrait à absolument tout nettoyer avant de partir, mais voilà maintenant qu’elle veut que je finisse tous les travaux que j’avais entrepris, et même plus, il va falloir que je fasse certain travaux que je n’avais pas prévus. La barbe.

En attendant, ce week-end, démarre l’opération ménage par le vide et lundi commence la grande braderie sur E-bay : Presque tout doit disparaître.

P.S. : A propos de travaux, vous remarquerez au passage que j'ai allégé la page en supprimant les publicités vidéos et un certain nombre de chose. Il faut dire que le temps de chargement d'une page devenait excessif au point de rebuter une cinquantaine de visiteurs journaliers. J'espère que ce grand nettoyage de printemps assainiera les choses.

P.S.S. : Résultat des courses, mon compteur à refait un rude bon.

Piano et batterie

Le second problème auquel nous allons être confronté concerne le stockage des matériels de cuisine ( Une fois encore vous aurez remarqué que je ne suis pas réellement maitre de l’ordre des priorités. ).

En quoi est-ce un problème ?

C’est assez simple, Claudine possède dans son actuelle cuisine de deux grands meubles de stockage, dans le garage où elle a créé une cuisine annexe, elle squatte un meuble bas et dans la salle, le buffet est plein jusqu’à la gueule. Or, la petite cuisine du loft semble faite pour des adeptes du Mc Do, soit moins du quart de ce qu’elle possède actuellement.

Il faut bien cela pour entreposer toutes les batteries de cuisines, le service de porcelaine, celui de tous les jours, celui quand il y a quelqu’un, le service à fondue, celui à raclette, à moules, à poisson, à chocolat, la pierrade, les verres à vin, à eau, à porto, à whisky, à vodka, les flûtes à champagne (celles de réception et les ordinaires), les couverts à desserts, à poisson, le service de ramequins, de coupe à glaces, de coquilles, de poêlons, de craquelons,…j’en passe. Bref, tous les services qui ne servent pas souvent.

Nous avons bien tenté avec Matthieu de lui faire abandonner une partie du contenu, au moins l’un des trois autocuiseurs mais il semblerait que la qualité de nos repas s’en ressentirait or chacun connaît ma gourmandise. La seconde solution envisagée consistait à en stocker une partie dans le garage au rez-de-chaussée, mais Claudine ne semble pas apprécier l’idée qu’il lui faudrait descendre trois étages pour aller chercher une petite cuillère. Or, comme « Ce que femme veut… ».

Du coup, nous avons envisagé une nouvelle solution. En dehors du fait que le contenu de mes deux bibliothèques sera désormais confiné au fond de ce garage, nous envisageons l’achat d’un meuble mural fait sur mesure. Comme les fonds seront surement assez bas, nous avons donc passé notre dimanche dans le magasin Ikéa de Franconville. Un périple que je vous raconterais plus tard si vous n’y voyez pas d’inconveignants.

mardi, mai 05, 2009

Leny Escudero

Ma mère dirait comme d’habitude : « Tu es encore dans la Lune François ! » et Claudine, jouant de l’accent picard « Qué tête à les vents ! ». Comme vous l’avez peut-être lu, il y a quelques jours, j’ai fait en compagnie de Matthieu et Isabelle la grande réderie d’Amiens.

Ors, lors des derniers anniversaires, Loïc m’avait confié une série de documents trouvés lors du rangement du garage d’Amiens-Jeunes : tout un tas d’autographes et des carnets d’adhésion à un club de fan. Je devais les vendre en même temps que les vieux matériels informatiques mais j’ai oublié le dossier sur la plage arrière de la voiture.

Je ne savais pas quoi en faire, les remettre dans le garage ou les jeter. Mais, comme entre temps, il y a eu ce petit bouleversement de notre vie et de nos routines, qu’il nous faudra bientôt mettre en vente notre mobilier en surplus, j’ai eu l’idée de les mettre en vente sur Ebay. Je les ai donc tous scannés et je suis en train de me battre avec ce site pour les y inscrire.

lundi, mai 04, 2009

4eme FESTIBLOG : Cela se passe de tous commentaires


Enfin, presque. Si vous le souhaitez, allez faire un tour sur le blog du festival.

Nettoyage et séchage

Bon, ce bouleversement que nous avons entrepris ne se fera pas tout seul et vous vous en doutez, il y a fort à faire. Nous avons donc rendu notre congé juste avant le premier mai, ce avant même de savoir si nous pouvions avoir ce petit bijou de loft qui nous a tant plu. A Dieu va, ce qui est fait n’est plus à faire. Nous commençons donc à nous tourner vers l’avenir et tentons de sérier et résoudre d’hypothétiques problèmes (hypothétiques puisque nous n’avons pas encore le loft).

Premier problème soulevé par ma Miss : Le séchage des draps. Vous remarquerez au passage que l’ordre des priorités est de son ressort et non du mien puisque personnellement, j’avais fixé en priorité une le transfert des lignes téléphoniques. Mais c’est une autre histoire…Ce que femme veut…De tous temps, nous avons eu à notre disposition soit un grand grenier soit une vaste cave où faire sécher nos draps.. Mais, dans ce petit appartement, il n’est pas envisageable de suspendre une house de couette de deux personnes par la fenêtre ou sur le balcon. Si un petit « Tancarville » est envisageable pour le petit tout venant, effectivement pour les grosses pièces le problème se pose.

Nous sommes donc partis samedi en vadrouille à la recherche d’une solution après avoir opté pour un sèche linge sans savoir vraiment ce que ce terme recouvrait. Après quelques visites à Électrochoc ou encore But et Darty, nous savions à quoi correspondent un condenseur ou un bac de récupération. Nous avons trouvé dans la gamme de prix ayant un maximum de 320 euros des sèches linges correspondant à nos besoins.

Donc, le problème peut facilement être résolu, moyennant finances…Je sent que d’ici notre installation, je vais devoir porter assez souvent la main au portefeuille.

samedi, mai 02, 2009

1er Mai, Fête du travail et jour du muguet

Bien du bonheur à tous.

vendredi, mai 01, 2009

Une page est tournée


Ce n’est pas tant de quitter ces murs qui nous abritent depuis plus de vingt ans qui m’angoisse. C’est surtout de devoir laisser derrière nous nos souvenirs. Dieu sait que ni Claudine ni moi ne somme matérialistes, pourtant, on ne peux tourner la page et continuer à la lire. Il faut choisir et je crois que notre choix est fait.

Il faut dire qu’hier, nous avons fait la connaissance de Delphine et Maxime, et surtout de leur gentil petit nid. Après en avoir visité quelques uns, soit trop vieillot, soit trop loin de tout, ce petit loft avait un air rafraichissant.

Trois chambres, une salle/salon, une cuisine tout équipée et un joli petit balcon. Un petit bijou tout neuf et situé dans un quartier tout proche du centre avec garage et cour privée. En tous point ce que l’on cherchait.

Nous n’avions pas prévu toutefois que les événements s’enchaîneraient aussi vite, mais si ce qui est rare n’est pas obligatoirement cher, il faut se dépêcher de sauter sur l’occasion lorsqu’elle se présente. Nous avons signé et fourni les papiers nécessaires à la réservation et, comme nous sommes à la fin d’un mois et que nous avons un préavis de trois mois, je viens d’envoyer notre demande de résiliation. Ce n’est pas « tourner la page », cela s’assimile plus à de l’épilation rapide. Peut-être qu’ainsi cela fait moins mal.

Pourquoi changer me direz vous ? Notre maison était grande, mal isolée, vieillotte et plus tout à fait aux mornes. Elle nécessitait trop d’entretient pour un bien qui ne nous appartenait pas et comme pour tout, celui qui ne change pas stagne. Le problème, c’est plutôt que le style de cette perle, tout empreint de modernité ne s’accorde pas trop avec les bois de notre mobilier actuel. Il va nous falloir renouveler l’ensemble pour l’harmoniser.

Il nous faut donc faire des choix, trier ce que l’on va garder et ce qui devra être vendu ou jeté. Comme l’on prend plus petit, c’est un déchirement. Enfin, bientôt, je vous inviterai à une grande vente aux enchères sur E-bay.


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