jeudi, avril 30, 2009

muguet : Un autre son de Cloche


muguet
Originally uploaded by francois et fier de l'Être.

Ensemble, poursuivons et amplifions les processus d’actions pour faire aboutir nos légitimes revendications !

Dans le prolongement des puissantes journées d’action des 29 janvier et 19 mars, les organisations syndicales de la Fonction Publique s’inscrivent pleinement dans l’appel interprofessionnel du 30 mars « à faire du 1er mai un nouveau temps fort de mobilisation pour peser sur le gouvernement et le patronat » et dans les mobilisations communes en cours.

Elles soulignent que pour la Fonction publique, le gouvernement refuse d’ouvrir de véritables négociations sur les demandes formulées par l’ensemble des organisations syndicales concernant les salaires, l’emploi public et les missions. Nos responsables répètent souvent que si les effets de la crise semblent moins dévastateurs en France que dans la plupart des autres pays, c’est parce que nous avons conservé des dispositifs sociaux qui contribuent à amortir ces effets : protection sociale solidaire, retraites par répartition et bien sûr services publics.

Mais au lieu de renforcer ces services publics pour répondre mieux aux besoins sociaux, le gouvernement fait le choix de les affaiblir. La Révision Générale des Politiques Publiques qu’il impose à marche forcée va à l’encontre de l’intérêt des usagers, des citoyens et des personnels. Restructurations, externalisations, privatisations se multiplient sans souci de la qualité du service public et de son avenir. A l’Insee et dans l’ensemble de la statistique publique, il faut y ajouter ce projet de délocalisation qui mobilise contre lui une partie importante du personnel depuis plus de six mois.

Avec les personnels, nous exigeons :

  1. L’arrêt de la politique aveugle de suppressions d’emplois et un moratoire immédiat sur celles contenues dans le budget 2009,
  2. Le retrait du projet de loi relatif à la mobilité
  3. Le retrait des projets de délocalisation et l'obtention de moyens pour une statistique publique de qualité

Avec les personnels, les organisations syndicales demandent l’ouverture de négociations portant sur :

  1. L’augmentation significative de la valeur du point et la réévaluation de l’ensemble de la grille indiciaire pour améliorer la carrière des agents,
  2. Les moyens nécessaires à la pérennisation du financement des missions publiques en lieu et place de l’actuelle politique d’austérité imposée aux services de l’Etat, aux collectivités locales et aux établissements hospitaliers.

Rendez-vous à la manifestation du 1er mai :
10h - Maison de la Culture - Amiens

mercredi, avril 29, 2009

Compléments de salaires et travail d’appoint.


travail a domicile
Originally uploaded by antoine gandon.

En cette période de crise, beaucoup recherchent un travail d’appoint ou plutôt un complément de salaire (sans trop de travail). C’est difficilement faisable mais certain y arrivent. Toutefois, il faut faire attention à ne pas tomber dans le piège des rémunérations pyramidales, des chaînes et du vent.

Là, vous êtes sensés me demander à quoi correspondent ces « pièges » et plutôt que de vous faire gagner de l’argent, je vais vous expliquer comment ne pas perdre du temps. Si ensuite, vous désirez profiter de la méthode, c’est votre problème mais sachez que certaines d’entre elles sont plus ou moins illégales.

Le vent

Tout d’abord, le système fort amusant du vent. En fait, il consiste à vendre ou faire vendre assez cher du « vent ». Cela commence généralement par une annonce assez simple à laquelle ceux qui sont à la recherche d’une activité d’appoint s’empressent de répondre : « Recherche personnes motivées pour activité de mises sous plis à domicile pour compléments de revenus. ». Cette annonce est typique de la vente de vent. Elle se déroule en trois temps.
- Le pigeon montre qu’il est intéressé en écrivant à l’adresse ou en téléphonant à l’adresse indiquée
- Il reçoit un courrier ou par téléphone, on lui explique que contre la somme de X euros, sorte de dépôt de garantie mais pas de caution, il recevra le manuel lui indiquant le travail qu’il aura à faire pour gagner de l’argent.
- Après l’envoi de la dites somme, il y a obligatoirement réception d’une simple feuille de papier avec les indications suivante (je résume bien sur) : « photocopiez la et faites comme moi ».
Le pire c’est que certain font fortune ainsi…Vous en voulez la preuve alors rendez-vous à cette adresse : www.argent-salaire.com/salaire-complement-2900.php

Les chaines

Il ne faut pas confondre les chaînes et le travail à la chaîne ni même avec le travail pyramidale. Dans le cadre d’une chaîne, il s’agit d’arriver à vendre un produit plus cher que le prix ou on l’a acheté. Maintenant vous devez me répliquer qu’il s’agit là du principe de base de tout commerce, mais et c’est là qu’il y a un hic, la marge est sans cesse croissante. Ainsi, l’individu X vends avec une marge bénéficiaire x’ un produit à l’individu Y qui le vendra avec la marge y’ et ainsi de suite… bref, le couillon de l’histoire est celui qui ne pourra revendre le dit produit parce que son prix de vente sera supérieur à sa valeur marchande. Cela peut être des tapis, des batteries de cuisine, des boites en plastiques, etc… Comme il est bien rare de se trouver en début de chaine à moins de produire le dit objet, le vendre devient de plus en plus difficile et nécessite de plus en plus de travail ou de copains pour une marge qui va en s’amenuisant à moins d’en acheter de grosses quantités.

Le système pyramidale

La vente pyramidale est une forme d'escroquerie dans laquelle le profit provient surtout du recrutement de nouveaux membres. Le terme pyramidale identifie le fait que seuls les initiateurs du système (au sommet) profitent en spoliant les membres de base.
Ce système se camoufle fréquemment derrière les termes de « marketing multi-niveaux » ou « commercialisation à paliers multiples » (en anglais multi-level marketing ou « MLM »), bien que des différences fondamentales existent, qui permettent à certains pays d'interdire la vente pyramidale (c’est le cas en France) alors que la vente multi-niveaux reste permise (notamment en France grâce au statut de Vendeur Direct Indépendant).
Selon la législation française, « Il est interdit de proposer à une personne de collecter des adhésions ou de s'inscrire sur une liste en lui faisant espérer des gains financiers résultant d'une progression géométrique du nombre de personnes recrutées ou inscrites » (art. L. 122-6 et art. L. 122-7 du code de la consommation) et « cette interdiction est assortie de peines d'amende ou de prison. ». Bien évidemment, les profiteurs de ce système ont depuis longtemps cessés de recruter puisque cela est fait pour eux.

Comme vous l’aurez surement remarqué, le système pyramidale est un savant dosage de « vent » et de « chaîne » où l’important consiste comme toujours à trouver des gogos pour payer.
Conclusion : Si vous souhaitez réellement un complément de salaire, trouvez un travail à domicile.

Urban FreeStyle 2009



Le samedi 16 Mai Prima sport, mon fournisseur, organise dans le centre ville d’Amiens (rue Allart, la petite rue piétonne près de la place Gambetta), un évènement sportif :


l’Urban Freestyle 2009.


Lors de cet évènement de nombreuse activité seront mise en place : show de Freestylers professionnels (société KOMBALL), ateliers de jonglerie, tournoi de football pour les enfants.

L'exposition


L'exposition
Originally uploaded by Christinedb.

Il faut savoir rendre à César ce qui lui appartient et à Christine ce qui lui revient de droit. Celle que j’appelle tendrement « les yeux d’or » organise une exposition intitulée « Regard de papillon, fleurs et sous-bois » du 5 au 23 mai 2009 en la bibliothèque René Cassin sise 10 avenue du consul Général Nording à Livry-Gargan.


Elle a l’art de saisir des portions de nature afin d’en faire ressortir une poésie toute particulière.
J’aime son travail.


Vous pouvez en cliquant sur la photographie retrouver son site sur Flickr, sinon vous la trouverez aussi à l’adresse http://images.christinedb.fr

mardi, avril 28, 2009

Bébés


Bébés
Originally uploaded by alain_sylvie_75.

Voici un article sur la hausse des naissance fort interressant. Il est issu de l'une des publication de l'INED (l'institut national des études démographique) : Population et société.

La hausse des naissances et de l’indicateur de fécondité pourrait laisser penser que les couples ont de plus en plus d’enfants. Paradoxalement, ce n’est pas le cas. Comme nous l’explique Gilles Pison, ils ont le même nombre d’enfants que ceux d’il y a trente ans, mais ils les ont plus tardivement, grâce à la maîtrise du calendrier, liée à la diffusion de la contraception, et à la politique de conciliation entre vie familiale et vie professionnelle.

Ce report des maternités a déprimé un temps les naissances et l’indicateur de fécondité. La cessation de ce mouvement entraîne désormais leur remontée.

Population et société N°454

lundi, avril 27, 2009

Fièvres porcines


cochon porc amour
Originally uploaded by lechatpoilu.


Après Tchernobyl et son nuage nucléaire, voici une excellente nouvelle : La frontière française est aussi imperméable à la grippe porcine. Les autres sont touchés, mais pas nous, voyons impossible.
MEXIQUE : Au Mexique, foyer de l'épidémie, le ministre de la Santé a annoncé un bilan aggravé de 103 décès dus de façon "probable" à la grippe porcine et 1.614 malades, dont 400 encore hospitalisés
ETATS-UNIS : Au total 20 cas confirmés de grippe porcine ont été décelés: huit à New York (nord-est), sept en Californie (ouest), deux au Texas (sud), deux au Kansas (centre) et une dans l'Ohio (nord).
CANADA : Le Canada a annoncé six cas avérés de grippe porcine: quatre dans la province atlantique de Nouvelle Ecosse et deux en Colombie-Britannique, à l'ouest du pays.
ESPAGNE : La ministre de la Santé espagnole Trinidad Jimenez a annoncé lundi un cas confirmé de grippe porcine en Espagne chez un homme qui avait séjourné au Mexique, indiquant que c'était le premier cas avéré en Europe. Le nombre de cas suspects en Espagne a augmenté lundi pour s'établir à près d'une vingtaine.
SUISSE : Cinq Suisses présentant des symptômes grippaux et de retour du Mexique pourraient avoir été contaminés par le virus de la grippe.
DANEMARK - Cinq personnes -- de retour de séjours au Mexique et dans le sud des Etats-Unis -- susceptibles d'être atteintes de la grippe porcine ont été placées en observation dans deux hôpitaux au Danemark, a-t-on appris lundi de source hospitalière.
SUEDE - Au moins cinq personnes, dont certaines ont récemment voyagé au Mexique, font l'objet d'examens pour déterminer si elles ont ou non attrapé le virus, selon Mia Brytting, une responsable de l'Institut suédois pour le contrôle des maladies infectieuses, à l'agence TT.
HONG KONG: Une femme arrivant des Etats-Unis et présentant des symptômes de la grippe porcine a été hospitalisée à Hong Kong pour y subir des examens tandis que deux autres cas suspects -- d'une grand-mère et sa petite-fille revenant d'un séjour aux Etats-Unis et au Mexique -- se sont révélés négatifs, a annoncé lundi un responsable des services sanitaires.
NOUVELLE-ZELANDE : neuf lycéens néo-zélandais et un enseignant, qui présentaient des symptômes après un séjour de trois semaines au Mexique, sont "probablement" atteints de la grippe porcine, sans que cela soit encore confirmé, selon le ministre néo-zélandais de la Santé, Tony Ryall.
GRANDE-BRETAGNE : deux personnes, rentrées mardi du Mexique, ont été hospitalisées dimanche en Ecosse par mesure de précaution après avoir présenté de "légers symptômes rappelant ceux de la grippe".
COLOMBIE: Les autorités sanitaires colombiennes ont placé sous surveillance neuf personnes arrivées du Mexique et présentant des symptômes de grippe. Ils subissent des examens à domicile. Les contrôles dans les ports et aéroports ont été renforcés.
BRESIL: Un homme de 24 ans en provenance du Mexique et présentant des symptômes de la grippe porcine, a été hospitalisé par précaution à Sao Paulo, ont annoncé dimanche les médecins.
ISRAEL : Un Israélien revenant du Mexique a été hospitalisé en isolement sous le soupçon d'infection par le virus de la grippe porcine, selon la radio publique. Mais le directeur de l'hôpital cité par le site Ynet a estimé "qu'au vu des premiers examens cliniques, le patient ne semble pas souffrir de grippe porcine".
Mais, en France, il n’y a aucun voyageur en provenance du Mexique qui soit infecté.

P.S. : Ces chiffres sont issus des dépêches AFP du début d’après midi.

Rederie d'Amiens


Rederie Amiens 01.10.2006
Originally uploaded by njlbart.

A quel week-end, un bon week-end cette semaine.
Après les anniversaires, comme d’habitude le derniers Samedi de chaque mois, où nous avons vainement attendu, mais ce n’est pas étonnant de leur part, les deux nouveaux responsables communaux pour les personnes âgées : Karine Messager et René Preveral. Nous avions rendez-vous à 15 heures. A croire que la ville d’Amiens se fiche totalement des bénévoles et des personnes âgées.
Je commence d’ailleurs à en avoir gros sur la patate, la semaine dernière, j’ai perdu une demie journée de congés pour que l’on explique que j’aurai du mettre dans le tableau du budget prévisionnel à la place de « Subvention de fonctionnement », la phase « Subvention sollicitée auprès de la ville d’Amiens ». Comme si l’on aurait pu me le dire au téléphone ou par mail. Nous en sommes rendu à vendre le matériel de l’association à la rederie mais cela, ils ont l’air de s’en foutre totalement et ne se sente absoluement pas responsables.
Bon, à part cela, on c’est bien amusé, même si l’on a pas pu travailler sérieusement aux après-midi récréatives, au repas d’étè et au voyage sans savoir si l’association sera encore en état à cette époque.
Le soir, j’ai donc préparé la réderie. Il y en avait plein le couloir. Entre le matériel de Mat, celui d’Amiens-Jeunes que Fabrice m’a rapporté et le notre, on pouvait à peine passer. Claudine avait préparé de ses excellents Croques-Monsieur et branché le petit frigidaire dans le garage pour les y stocker.
Nous avons passé une très mauvaise nuit. Il faut dire qu’entre ceux qui discutaient sous nos fenêtres, le troquet du coin qui avait organisé un barbecue et les premiers rédeurs qui ont commencés à déballer avant même qu’il ne soit quatre heures, il y avait pas mal de bruit dans la rue. Nous avions prévus de nous installer vers six heures avec Matthieu. Mais, je me suis réveillé vers trois heures trente, et je n’arrivais pas à retrouver le sommeil. J’ai entrepris de lire jusqu’à environ cinq heures puis je me suis écroulé. C’est Matthieu qui m’a réveillé, il avait besoin de monnaie et n’avait pas voulu me réveiller avant. Il avait déjà sorti tout ce qui était dans le couloir.
Ce qui me permet de dire qu’il s’agissait là d’une bonne réderie, c’est que dans l’ensemble, il a fait beau ou du moins, il n’a pas plu. De plus nous sommes rentré dans nos frais de location d’emplacement. On ne peut à ce sujet dire que nous ayons « gagné » quoi que ce soit mais au moins, le garage a retrouvé un peu d’espace libre.
Nous avons fini la journée fatigués, éreintés d’une saine fatigue.

La guerre des bisous


Danielle Philippe, dite « La Mérantaise » vient de me déclarer la guerre des bisous. Je viens donc d’être touché par son artillerie lourde tout d’un coup. Il semblerait bien qu’elle ai ciblé son envoi de rouge à lèvre tant cette phrase me touche en ce moment : "Un baiser est une gourmandise qui ne fait pas grossir". Là, en ce moment, je peaufine mes armes à la recherche d’une répartie à la hauteur des ses bisous doux.
BlogBang

dimanche, avril 26, 2009

J'ai reçu une petite invitation

Marie-Christine m'a envoyé une petite invitation :

samedi, avril 25, 2009

Pain de Sucre

Glisse Émile,
Chies tes mots sucrés
De colères stériles
Et de vers codés
Si l’abondance nuit
Le manque étreint
Alors savoure ce mépris
Ou rate le train.

Projettes Guy
Ta colère, une parole
Et tu seras guéri
Dépêche, grouille, décolle
Trois petits grammes
Que deux cents volent

vendredi, avril 24, 2009

Celle que j'aime

Claudine ne saurait manquer un film avec son beau Marco, pensez donc ! Ce cher petit si émouvant dans « le cœur des hommes », et il chante en plus, des duos …Mais pas dans son dernier film : Celle que j’aime. Par contre, il y retrouve Gérard Darmon dans un second rôle mais des plus intelligemment joué, avec drôlerie mais aussi beaucoup de finesse et de profondeur.

Il s’y trouve aussi la belle Barbara Schultz qui donne à ce film beaucoup de fraicheur même si Claudine l’a trouvé un peu trop fréquemment, à son goût, dévêtue.

Si en plus on n’y trouve le petit Anton Balekdjan, vous savez celui qui a déjà une grande carrière derrière lui et que nous avions « adoré » dans « Un monde à nous » dont vous trouverez sûrement ici l’excellente critique. Il est bien rare que j’accorde à un enfant autant de maitrise de son jeu, mais si vous avez l’occasion de voir ce film, ne la ratez pas.

C’est une petite comédie romantique réalisée par Elie Chouraqui distribuée par Mars Production où sous prétexte de nous montrer la « réalité familiale d’aujourd’hui, faites de relations complices et sans tabous, il réalise un film plaisant, farci de gags mais dont le synopsis est des plus banal. Jugez plutôt.

Elle est célibataire, la trentaine, belle, sexy, drôle, émouvante, intelligente... Irrésistible et il l’aime. Lui, c’est Achille, 10 ans, qui depuis le divorce de ses parents, vit avec sa mère, l'aimant d'un amour égoïste et possessif, sans place aucune pour un autre homme, pas même son père Jean un nutritionniste un peu coureur. Il déteste littéralement Antoine, un créateur de dessins animés qui depuis plus d'un an vit une liaison "cachée !" avec Isabelle. Cachée, puisqu'il n'est pas question qu'Achille et Jean soient au courant ! Malheureusement, un petit matin, il entraperçoit Antoine quittant le lit de sa mère.

Débute alors pour lui une série de grandes manœuvres destinées à ce débarrasser de cet intrus. Il va agir selon deux axes de bataille, tout d’abord le discréditer, puis provoquer un rapprochement avec son père. Mais, dans cette histoire, Antoine jouera les chevaliers blancs et comme dans le meilleur des mondes, tout finira bien.

Le résultat est un film gentillet qui ne laissera pas un souvenir impérissable mais permet de passer un bon moment, bien divertissant sans pour autant que l’on se tienne les côtes.

jeudi, avril 23, 2009

Ponyo sur la falaise

D’aucun diraient que nous avons passé l’âge des dessins animés et l’on ne pourraient leur donner tord s’agissant de ces productions semi-industrielles qui ne visent qu’à scotcher nos gosses devant le petit écran. Par contre, pour de telles œuvres faisant preuve de morale, d’imagination et de naïve poésie, le public est universel.

C’est typiquement le genre de film à aller voir en famille.


Le graphisme :

Le trait est droit, les couleurs plutôt pastelles sont vives et bien délimitées. Les personnages n’offrent, dans leur représentation, aucune nouveauté : ils sont bien représentatif des productions japonaises du studio Ghibli. Ils se veullent aussi rééls que possible sans toutefois tomber dans la caricature ni imiter la vie. Comme dit Hayao Miyazaki, le réalisateur : « Ils doivent rester des images en deux dimensions ».
Les décors sont d’une somptueuse naïveté, entre un minimalisme allant à l’essentiel et le riche foisonnement des productions américaines.


Le synopsis :

Comme d’habitude dans l’œuvre de Miyazaki, c’est là que se trouve l’imagination, la poésie et le rêve.
La fille ainée de la déesse de la mer échappe à la surveillance de son père, un magicien qui draine la vitalité du fond des mers pour le protéger des pollutions humaines. Malheureusement, la méduse où elle a trouvé refuge est prise dans un filet et c’est coincée dans un bocal qu’elle est recueillie par Soské qui la prénomme Ponyo. Soské aime ce petit poisson rouge à tête humaine qui l’a guérit d’une coupure au doigt en la léchant au point de le montrer à toute l’école comme à la maison de retraite voisine.
Après que son père l’ai récupéré, ivre de liberté Ponyo s’échappe à nouveau en libérant la vitalité du fond des mers. Polluée par l’ADN humain de Soské, Ponyo se transforme en petite fille tandis qu’éclate un immense orage les isolant du monde. Les deux enfants vont entamer un périple à la recherche de la mère de Soské partie sauver les pensionnaires de la maison de retraite où elle travaille.
Bien sûr, cela se finira bien.


La morale :

Tout y passe et le plus naturellement possible : l’écologie et l’enfance bien évidemment, comme dans tous les autres films de Miyasaki, mais aussi les valeurs familiales, la gentillesse, la politesse, le respect, l’altruisme, le partage et que sais-je encore. Il s’y mêle la magie ordinaire de la préparation d’un plat de pâtes lyophilisées à l’extraordinaire grandiloquence de l’apparition d’une déesse de la mer.

Conclusion :

Que ce soit l’une ou l’autre, ces magies sont à voir et à savourer.

mercredi, avril 22, 2009

La pureté


La pureté
Originally uploaded by francois et fier de l'Être.

Que de père en fils ne dit’ on pas,
Pour que la rose ai son éclat,
Qu’à la rosée ne s’effeuille
Ou que bouton ne se cueille.
Oui, la fraicheur ne vaut pas
La douceur d’un pétale incarnat,
Tous les parfums d’un fruit mûr,
Valent largement un goût sûr.

OSS 117 ou James Bond 007 même combat


James Bond 007, l’espion de sa très gracieuse majesté n’a plus qu’à aller se rhabiller. Si il a le même âge, et, si il a su s’adapter à notre monde moderne contrairement au tout aussi barbouze OSS117, Hubert Bonisseur de la Bath, le héros des romans d’espionnages de Jean Bruce, lui au moins n’a pas vieilli, pas pris une seule ride.

Pour ce second volet, on ne change pas une équipe qui gagne. On retrouve le même réalisateur, Michel Hazanavicius qui n’a pu s’empêcher d’y interpréter le rôle d’un agent du Mossad. Comme pour le premier opus, il est difficile de déterminer si le résultat final s’apparente plus au genre comédie ou à l’espionnage. En fait, l’histoire de ce film est en tout point conforme à ce que l’on lisait à l’époque. Il ne manque plus que l’étincelle de blancheur au coin des lèvres. Sinon, tout y est même la fausse route se déroulant derrière la voiture où l’acteur/actrice s’échine de droite à gauche sur le volant, la couleur et la lumière un peu usée des anciens films. C’est génial et cela friserait la perfection si certaines séquences dans leur enchainement ne faisaient « tâche » par trop de modernité et d’éclat.

En dehors de cette petite imperfection, rien à redire. Jean Dujardin semble s’être bien accaparé ce personnage qui sous des dehors d’une simplicité effrayante doit être complexe à interpréter. Ce n’est pas évident de faire rire d’un personnage aussi parfait (sic !). De plus d’aucun diraient qu’il s’agit là d’un rôle fort physique. Hubert Bonisseur de la Bath est un séducteur à la « française », un peu lourd mais ces dames ne peuvent pas dire qu’elles n’auront pas étés prévenues.

C’est donc essentiellement une parodie des films des années soixante (OSS ou 007 même combat), avec en sus des bonnes grosses vannes et un humour plutôt fin, pour le second degré et les cinéphiles.

Nous avons bien aimé cette alternance et nous nous sommes bien marrés. Toutefois il faut être honnête, si certaines scènes resteront cultes(le barbecue par exemple), ce film ne laissera pas un souvenir impérissable. Je dirais qu’il est aussi bon que le premier.

mardi, avril 21, 2009

gourmand


gourmand
Originally uploaded by francois et fier de l'Être.


Ce n’est pas un de mes petits messages quotidiens ordinaires, mais une lettre ouverte à tous nos politiques afin qu’ils s’interrogent sur cette étrange tendance à ne pas vouloir créer de richesses. Je dirais même qu’en cette période de crise, c’est un tantinet criminel.

Cette réflexion m’est apparue lorsque j’ai constaté que le petit arbre qui est naturellement apparu dans mon jardin et que j’avais diagnostiqué comme appartenant à la famille des prunus (sans doute un noyau jeté là.), s’est chargé après une abondante floraison, de tout un tas de boursouflures, prémices de fruits juteux. Voici donc qu’avec bien peu de soins, la nature nous offre la promesse d’une centaine de fruits.

Ors, si il est évident que mon mètre carré de jardin donnant sur la rue, nous verrions cette manne disparaître au profit de quelque passant. Cela m’est bien égal si ce faisant elle rassasie quelques nécessiteux.

Je me demande donc, pour quelque obscure raison, ces cantonniers qui il y a quelques jours entretenaient à grands frais d’infects pommiers du japon (certes leur floraison vaut le coup d’œil, mais un cerisier fait le même effet pour un meilleur goût.) ne s’ingénieraient t‘ils pas à rentabiliser nos espaces verts communaux en offrant à la population les moyens de satisfaire leur besoins quotidiens d’une dizaine de fruits et légumes par jour.

Il ne s’agit pas là de constituer une sorte d’économie parallèle mais bien de générer des richesses supplémentaires à même de satisfaire un besoin actuellement inassouvi. Tout en démocratisant l’usage de la terre, tout le monde n’a pas les moyens de s’offrir un jardin en ville, il y aurait là matière à pédagogie.

Certes, j’imagine que dans les premiers temps, certains auront des velléités de s’accaparer les biens communaux, ou se précipiteront sur des fruits encore verts, mais grands biens leur fassent, ils ne manqueront à personne. A terme, les appétits seront calmés.

Je me souviens d’avoir ainsi profité avec quelques familles des mûriers qui squattaient le terrain vague derrière la cité administrative il y a quelques années, 10 bons kilogrammes de mûres soit une quarantaine de pots de confitures d’autant plus bons qu’ils étaient de notre propre production ; Il y avait aussi des pruniers à grosses prunes noirs aux abords de l’usine désaffectée le long de la Somme.

Pourquoi pas des haies de poiriers palissés à la place de ces infâmes thuyas et quelques légumineuses où l’on avait planté des arbustifs. J’imagine que c’est une grande gageur que de faire de notre ville un jardin d’Éden.

Villa Amalia


Amalia
Originally uploaded by ilovetypography.com.

Nous avons été voir tous les films sortis cette semaine à Amiens. Il faut dire que les vacances scolaires nous ont apporté foison de dessins animés et que cela laisse peu de place aux nouveautés. Dernier film en lice, « Villa Amalia » un film pour lequel nous avons pas eu l’occasion de voir de bandes annonces et les seuls commentaires et interviews entendus sur le sujet furent sur les ondes de la radio RTL, ce qui en soit n’est pas trop significatif.

Nous avons commencé à nous inquieter lorsque nous nous sommes retrouvés tous les deux seuls dans la plus petite salle du Gaumont. Cela n’augurai rien de bon.

C’est un drame d’environ une heure trente réalisé par Benoit Jacquot avec Jean-Hugues Anglade et Isabelle Huppert distribué par EuropaCorp Distribution. Sûrement la raison pour laquelle on retrouve dans ce complexe ce film normalement destiné au petits ciné-clubs.

Ce film est une adaptation plutôt réussie d’un roman de Pascal Quignard. Malheureusement, un bon livre ne fait pas obligatoirement un bon film et c’est le cas en l’occurrence. Les digressions qu’offre l’écriture pour exprimer la valse des sentiments sont difficilement transposables à l’écran et ce quelque soit les qualités des acteurs principaux. Du coup, le rythme des séquences s’en trouve haché et l’intérêt du spectateur a du mal à rester concentré (Claudine s’est endormie entre deux scénes).

En gros, on assiste à la prise de conscience par Ann qu’elle n’est pas heureuse, satisfaite. Le fait qu’elle découvre un soir son ami en train d’en embrasser une autre lui fait prendre conscience que malgré une vie sociale remplie et une carrière de pianiste à succès, sa vie personnelle ne lui apporte aucune satisfaction et ne rempli pas le vide qu’elle ressent. Débute alors une phase de gommage de son ancien moi où elle tente par tous les moyens d’annihiler celle qu’elle était. Le seul lien qu’elle ai conservé, c’est avec un ancien petit ami devenu homosexuel entre temps.
Elle va partir à la recherche d’un lieu où elle puisse enfin se sentir elle-même et ce sera la Villa Amalia.

Nous n’avons pas aimé ce film et pourtant l’on ne peut dire que les acteurs n’aient pas tout fait pour susciter notre intérêt. Simplement cette histoire n’est pas faite pour le grand écran.

lundi, avril 20, 2009

Condoms

Depuis l’apparition du SIDA, il serait criminel qu’un ou une jeune ignore le sens et l’usage du préservatif mais, de mon temps, les jeunes de ma génération ne parlaient de contraception que sous le manteau et en termes fleuris.

Bien qu’ayant été élevé dans une famille où l’on avait conscience qu’il est des sujets dont il vaut mieux parler avant qu’ils ne vous tombent dessus, l’on considérait que la contraception était une affaire de femme desquels les jeunes garçons devaient se retirer avant qu’il ne soit trop tard.

Un jeune naïf comme je l’étais, surtout lorsqu’il est doté d’un frère ainé ayant tendance à abuser de cette innocence, ne voyait dans la « capote » que l’une de ces grosses toiles noires dépliant son accordéon pour recouvrir et protéger de jolies « décapotables ».

Franchement si le terme préservatif était d’usage à l’époque, il ne m’arrivait pas aux oreilles. Par contre, la « capote anglaise » enflammait, elle, nos imaginations. C’était il faut dire l’époque des ouvrages et films libertaires comme « A nous les petites anglaises » mêlant à la fois le libertinage et un zeste de romantisme qui faisait des filles de la perfide Albion des expertes en la matière.

Donc, à cette époque, et ne vous en gaussez pas, il était un jeune petit parisien pour lequel des bribes de conversation et un frère ainé malicieux avait persuadé que ces mystérieuses « capotes anglaises » correspondaient à ces carrés de plastiques, plissées en accordéon et munis de ficelles, que les femmes d’un certain âge revêtaient pour protéger leur mise en plie de la pluie.

Et ce pauvre petit se demandait comment il allait pouvoir s’en servir.

dimanche, avril 19, 2009

Eux deux


Eux deux
Originally uploaded by francois et fier de l'Être.

Je marche d’un pas tranquille
Le long de la promenade des jours
Et, entre les iris et les jonquilles,
Je me retourne vers mes amours.

Du pénitent, dois-je emprunter
Le symbole, long et sinueux chemin
Quêter le pardon de l’originel pêché
Ou dans les ondes plonger la main,
Troubler d’un geste le triangle vénusien.

samedi, avril 18, 2009

Un an pour un âne


Michelle Morgan
Originally uploaded by Gitwithit.


Michèle Morgan se retournerait dans sa tombe, si jamais elle était morte. J’entendais ce matin à la radio un présentateur en reprendre un autre, sur un point de prononciation, et, son commentaire m’a non seulement surpris mais fait craindre que le récent décès de Maurice Druon n’autorise quelques beaux parleurs à prendre avec la langue française des privautés.

Il s’agissait de prononcer le nom de la banque « Morgan Stanley » qui créé en ce moment quelques misères à la société générale. Certes, Renaud l’a chanté mais c’était avec un e, il me semble que la prononciation en France est « an » même si généralement les anglophones préfèrent « hahaner ».

Bref, prenons garde à conserver une certaine intégrité à notre langue qui sans cela tendraient à disparaître.

vendredi, avril 17, 2009

Nettoyage du printemps


Nettoyage du printemps
Originally uploaded by Pixel-.

Cet après-midi, comme je le fais à chaque fois que je peux me dégager un peu de temps, j’ai été promener Saxo au parc Saint-Pierre. Malheureusement, ce lieux habituellement si calme et quiet, vibrait d’activité aux rythmes d’un compresseur qui n’avait rien à voir avec le soleil ou la température plus douce qu’annoncée. Les cantonniers de la ville avait entrepris un grand nettoyage de printemps.

Le compresseur alimentait un karcher qui reblanchissait les dalles de la promenade des jours, tandis qu’une tondeuse autotractée sillonnait le chemin de pénitence qui en orne le début. Un jardinier tentait d’extraire, des bassins, les nénuphars que les gelées tardives ont mises à mal alors qu’entre eux les premières fleurs en bouton. D’autres soufflaient sous les pieds des haies de thuyas, les feuilles tombées durant l’hivers et dispersées à tous les vents.

Les buissons de toutes essences qui ornent les massifs et composent les labyrinthes où il est si plaisant de se croire seuls en été ont étés taillés et les petits sarments ôtés et fagotés.

Malheureusement, quelques bouteilles de plastiques ont étés négligemment jetées.

lundi, avril 06, 2009

Conflans


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Originally uploaded by francois et fier de l'Être.

Le vendredi soir, vu l’état du genou de la Miss, opérée du ménisque une semaine auparavant, nous avons délibérément choisi d’ignorer les pistes encore enneigées (soixante centimètres au bas des pistes tout de même), pour profiter de la renaissance de la verdure et la floraison explosive des premières et chaudes journées printanières sur les flans ensoleillés des monts, pics et aiguilles.

Sur les conseils avisés du GPS, nous avons quitté les hauteurs pour la vallée et Albertville afin d’y visiter non loin, le petit village de Conflans qui le surplombe.

Nous nous demandions en arrivant sur le parking, si nous avions fait là le bon choix. Non que la vue depuis chacun des paliers de l’immense escalier d’accès ne valle pas le coup d’œil, mais nous étions loin d’imaginer que ce nid d’aigle se révélerait aussi difficile d’accès. Situé en espalier le long de la paroi au dessus de la ville d’Albertville, c’est un charmant petit village typiquement savoyard.

Ceint d’un long mur ou par les contreforts naturels, on y accède par une large porte à deux battants qui s’ouvrent sur une fontaine de pierre d’où s’écoule une eau fraiche et limpide et qui devait permettre les ablutions des troupeaux. Cela semble d’ailleurs être un élément récurrent de l’urbanisme savoyard. De telles fontaines de pierres surmontées d’une tuyauterie fine ont toutes la même architecture.

Après quelques ruelles fort escarpées, nous sommes arrivé à une longue et large place rectangulaire. Les échoppes présentent sur le pourtour affichaient en sus de leur enseigne un charmant mélange de vétusté mêlée de modernité qui donne à l’ensemble un cachet qui justifie à lui seul le caractère touristique signalé par le GPS.

Nous y avons fait escale pour un rafraichissement à l’une des terrasses, baignés de soleil et ivre des rires de quelques enfants profitant de tant d’espace pour jouer sous la surveillance discrète de leur parents, rassurés par l’absence de véhicules.

Une fois reposés, nous avons continué l’ascension vers le jardin publique en faisant au passage une escale aux toilettes publiques, remarquablement propres. Ce jardin se décline en deux espaces reliés par un escalier de pierre. Le plus bas est ceinturé d’une poignée d’arbres ancestraux y apportant une ombre et une fraicheur propice au recueillement. Il offre sur l’un des cotés une vue sur le bas village et son étagement. Le second, plus ordonné s’apparente à la cour carrée d’un cloitre. Il y courre une pergola plantée de rosiers grimpants, de vignes et de clématites, qui à la belle saison doit abriter le promeneur d’un toit de verdure. Il embaume du doucereux parfum de quelques magnolias en fleurs et offre une vue des plus splendide sur la lointaine vallée industrieuse et bouillante mais aussi sur les calmes et reposants sommets qui l’entourent.

Nous avons bien tenté de monter plus haut, vers l’église et autres édifices religieux, mais face à ce défi, nous avons préféré regarder non pas le coucher du soleil, mais la progression de l’ombre sur la blancheur des neiges éternelles, alors que le ciel s’empourprait, depuis l’un des bancs mis à notre disposition.

C’est un instant rare et magique que de voir ainsi se mouvoir une inexorable vague de nuit. Je pensais alors à la chanson du grand Louis Amstrong : « And i think to myself… ».

samedi, avril 04, 2009

Dan....


Dan.... ! 14 juillet 2008
Originally uploaded by Mérantaise.

J’ai reçu le questionnaire suivant de Dan la Mérantaise, lis-le et après, ce sera à toi de mieux te faire connaître !
Quatre choses que tu as peut-être ou non déjà apprises à mon sujet....
Quatre choses sur moi...

A) Quatre emplois que j'ai occupé dans ma vie :
Étant jeune, j’étais livreur, puis j’ai vendu des fruits et légumes, pupitreur puis enfin développeur.


B) Quatre villes où j’ai vécu
En fait, je n’ai vécu que dans deux villes : Paris X et maintenant Amiens.
et quelques villages : Hallu, Chaulnes etc…


C) Mes acteurs préférés
Nicolas Cage, Brad Pitt, André Dussolier, pour le dernier j’hésite entre Tommy Lee Jones ou Albert Dupontel


Cb) Mes actrices préférées
Oh ! Dur, disons Jodie Foster, Katheline Turner, Sophie Marceau, Jeanne Moreau et la dernière : Josiane Balasko ou Kathy Bates

Cc) Réalisateurs Préférés
Clint Eastwood, Lautner, Tim burton, Tavernier, Visconti

D) Emissions TV préférées
Je regardes peu la télévision mais j’aimes les feuilletons fantastiques un peu décalés comme vous le savez peut-être : « Pushing Daisies », « Dead Like me » (trouvez le point commun), « Dexter » et en quatrième « Troisième planète après le soleil ».


E) Mes livres préférés
Disons « 20 000 lieues sous les mers », « Le monde de Mafalda », tout le cycle de Pern, La comédie Humaine .


F) Endroits où je suis déjà allé en vacances
Pays du Mont-Blanc, Bretagne, Normandie, Dordogne, Landes, Charentes-Maritimes

G) Sites visités chaque fois (ou presque) que je navigue sur Internet :
Yahoo, Flickr, Ciao, Blogger, Wikipédia, Wikio.

H) Menus que je ne mangerais pour rien au monde
J’ai horreur des mélanges « petits pois/carottes », sinon je mange tout ce qui est bon.

I) Ce que j'aime boire
Des jus de fruits, des sodas, des eaux et le pastis qui va avec. Un peu de vin mais pas trop.

J) Mes plats favoris
J’aimes tout mais tout ne m’aime pas mais je dirais que ce que je préfère ce sont des plats sans chichis : La salade de Pommes de Terre tiède avec beaucoup d’herbes et des harengs doux, l’omelette aux morilles, les cuisses de grenouilles en beignets, et les desserts à la pâte d’amande.

K) Endroits où j'aimerais être en ce moment
A la maison avec ceux que j'aime, dans le parc avec mon chien…

L) Personnes qui, selon moi, me répondront
Julie, ACC, Fabrice, ….on verra.

M) Personnes qui me feraient une agréable surprise en me répondant
toutes les réponses me feront plaisir!

Maintenant, voici ce que tu dois faire... Et svp, ne pas couper le plaisir.
Clique sur transférer, efface mes réponses et écris les tiennes.
Ensuite, envoie-le à plein d'amis INCLUANT la personne qui te l'a envoyé.
La théorie est que tu en apprendras beaucoup sur tes amis

vendredi, avril 03, 2009

Faites demi-tour dès que possible


Lacets
Originally uploaded by francois et fier de l'Être.

Avant de vous conter nos vacances, je me dois de faire quelques excuses à la population de la Haute-Savoie. En effet, j’ai bien peur d’être à l’origine des quelques kilomètres de bouchon qui ont rendu inaccessible le Val d’Arly ces derniers temps. Mais, à cela, je demande que l’on m’accorde deux circonstances atténuantes :

Tout d’abord, je viens de la Picardie, de ce beau plateau picard où il n’est nul besoin de jumelles ou de bonne vue pour voir la reproduction des lièvres à deux kilomètres à la ronde ; Où le plus court chemin pour aller d’un point à un autre est la ligne droite et non une succession de lacets passant sur, sous ou même dans la montagne. De plus, malgré un entrainement intensif sur « Mario Kart », il semblerai que je ne maitrise pas encore totalement mes accès de vertige aux abords des à-pics. D’où une vitesse prudente et relativement peu élevée, compter entre 10 et 30 kilomètres à l’heure.

Deuxièmement, j’ai fait appel à la technologie du G.P.S.(Guidage par satellite) qui si elle peut précisément vous obtenir l’adresse de la hase précédemment incriminée à l’aide de sa ronde de satellites, éprouve quelques difficultés à nous situer sur les dits lacets. Pour être tout à fait exact, c’est dans le calcul du chemin le plus court qu’elle pêche. Je m’explique : arrivé au bout d’un lacet, avant d’entamer la boucle, le chemin le plus court ne lui semble pas toujours être le plus court et c’est ainsi que ce diable d’appareil vous sort sa péremptoire injonction : Faites demi-tour dès que possible ! Dès lors, sur une route à forte dénivellation (la boucle) vous entreprenez une manœuvre de retournement dans un espace à peine assez large pour que deux véhicules ne se croisent, avec d’un côté un vertigineux à-pic et de l’autre un mur de Molières qui ne demande qu’à goûter à votre peinture. A ce moment, vous interrompez la circulation dans les deux sens. Mais cela, ce n’est rien comparativement à la honte qui vous saisie lorsque, revenu à la boucle précédente, l’ancien calcul prévallant et que sous un concert de klaxons, vous réitérez la dite manœuvre sous ses ordres. Inutile de vous dire que les savoyards ayant assistés aux deux manœuvres commencent à bouillir.

Bref, si je n’avais été aussi exaspéré que les usagers de la D1212, nous eumes passés nos vacances sur les flans d’une montage à monter et descendre.

Comme quoi, la technique…

mercredi, avril 01, 2009

Les femmes au volant (bis répétitas)


On ne s'en lasse jamais...


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