Il faut que cela sorte sinon ce blog va tourner en eau de boudin. Ce ne sera pas aussi bien écrit et parfait que lors de mon projet initial, mais je ne retrouve toujours pas mon petit carnet.
Le sujet du post en était l’informatique comme philosophie de la vie. Le sujet peut sembler pompeux, grandiloquent et bien digne de BHL mais en réalité, j’y expliquais comment en informatique comme dans la vie, tout peut se résumer à trois notions de base. Lorsque l’on en a conscience, on découvre qu’il n’existe pas de problèmes insurmontables.
Ces trois notions sont « l’état booléen », « les propriétés » et « les méthodes ». Comment ces trois concepts permettent de répondre à toutes les interrogations sur la nature du monde qui nous entoure.
Dans la première partie, je les y définissais sommairement avant d’en donner un exemple dans un deuxième temps.
Commençons pas le commencement, « l’état booléen » qui est le plus simple à comprendre. Il représente un état admettant deux valeurs opposées : le vrai-faux, le vide-plein, le noir-blanc mais aussi le chauve-chevelu, le clair-foncé, le vert-non-vert, etc…Cet état est par essence la réponse mais comme pour un magique Jéopardi la réponse n’est absolument rien sans sa question.
Le questionnement correspond à la notion de propriété et comme toutes les autres questions de ce bas monde, une propriété n’admet que deux types de réponse, l’une franche comme un oui ou un non, un vrai ou un faux… l’autre prends comme réponse toute une série de nouvelles questions.
La dernière notion est la moins évidente à expliquer. Elle recouvre l’ensemble des événements susceptible d’affecter, d’influer sur la réponse à votre question. C’est par essence le mouvement, la vie, le verbe.
Une fois en possession de ces trois notions, il importe d’en comprendre les implications. Un état booléen ne peut être sans ses trois méthodes de base que sont : sa création( valeur initiale), son évolution(le changement de son état) et sa suppression.
Maintenant, vous devez vous demander en quoi ces trois concepts peuvent être une philosophie de vie. C’est assez simple, on les retrouve dans toutes les grandes questions philosophiques qui agitent notre pauvre planète depuis des millénaires et si l’on applique ces concepts à fond, on obtient les réponses. « Être ou ne pas Être », n’est-ce pas là le parfait état booléen, la question-propriété et ses méthodes de base ?