Un petit mot en passant.
Je suis obligé de vider mes cardes mémory stick dans une petite échope de connection internet, j'en profite pour passer un petit coucou depuis Flickr.
A bientôt.
A bientôt.
mercredi, septembre 27, 2006
lundi, septembre 18, 2006
vendredi, septembre 15, 2006
jeudi, septembre 14, 2006
Pupilles
louche
Originally uploaded by francois et fier de l'Être.
Sérénitude
Originally uploaded by Christine LEBRASSEUR.
Près d'un champ d'orge
Originally uploaded by Christine BONFILS.
J'évoquais hier mes yeux de strabite qui peinent à déchiffrer les codes abscons qui verrouillent l'accès à vos bloguesques commentaires. Mais, savez-vous seulement ce qu'est le strabisme. Les fielleux et pessimistes vous parleront de leur langue mauvaise et vue basse d'œil torve, qui dit merde à l'autre, de mauvais œil, de dix heures dix, ou qui se croisent ; ils évoqueront les crapauds, les merlans frits et tout l'improbable bestiaire par la même occasion. Les gentils optimistes comme moi se contenteront de dire que l'un des deux yeux est plus musclé que l'autre. Il existe deux types de strabisme, le strabisme concomitant et le starbisme incomitant. Dans un strabisme concomitant comme le mien, l'angle de déviation est le même dans toutes les déviations du regard. Le déficit peut se situer dans la partie sensorielle ou dans la partie motrice du système visuel. En l'occurrence, chez moi, il s'agit de la partie motrice. Dans le strabisme incomitant, l'angle de déviation se modifie dans les différentes directions du regard. La cause de ce strabisme est soit une parésie(paralysie partielle) soit une contracture d'un muscle extra-oculaire suite à un traumatisme, une inflammation ou des modifications dégénératives. Il se développe une position de tête compensatrice, pour permettre une vision stéréoscopique.
Un strabisme convergent permanent comme le mien entraîne une diplopie : l'enfant voit double.
Pour remédier à ce handicap sensoriel, le cerveau neutralise (il l'«ignore») plus ou moins l'image fournie par l'un des deux yeux : c'est l'amblyopie. Avec le temps, cette neutralisation permanente va entraîner une amblyopie définitive (à partir de l'âge de 6 ans environ) qui ne sera pas récupérable : l'enfant perd définitivement la vision binoculaire indispensable à la vue tridimensionnelle, ce qui n'est pas mon cas, car j'ai fait partie de ces enfants dépistés suffisamment tôt pour avoir pu bénéficier du secours d'une gymnastique oculaire destinée à rééquilibrer le travail des deux musculatures mises en cause. De nos jours, le traitement est différent puisqu'il fait appel à une intervention chirurgicale, pour de meilleurs résultats, une intervention réalisée au cours des premières années de l'individu.
Si cette opération intervient trop tardivement, il est possible que le cerveau continue à n'utiliser qu'un seul œil pour la vision. L'effet de convergence recherché par l'opération peut aussi disparaître au profit d'une divergence des yeux, entraînant des risques d'infection du coin de l'œil "inactif", plus sensible aux pollens de graminées ou autre, et à l'apparition de rhumes par la suite. Lorsque il est réalisé assez tôt, il est parfaitement efficace et permet de retrouver une vision binoculaire normale.
Mais pour moi, c’est trop tard. Certes, je pourrais si je le souhaitais m’absoudre du port de lunettes correctrices, mais partisans du moindre effort, j’en apprécie le confort. Car c’est un soulagement que de les revêtir et ainsi de ne plus avoir à focaliser constamment ses deux pupilles sur ce que l’on regarde. Ceux qui ont la chance de bénéficier de cet équilibre naturel ne peuvent se rendre compte, combien il est contraignant d’avoir à choisir entre voir une scène et son fantôme ou fournir la concentration nécessaire pour obtenir une parfaite juxtaposition des deux focales. Afin de vous faire une idée de ce calvaire, j’ai « louché » une photo telle que je la verrais au repos. Voilà pourquoi depuis mon plus jeune âge, j’apprécie l’aide fournie par ce discret accessoire de mode.
En vieillissant, j’en viens même à user et non abuser de deux merveilleux artifices, issu de la recherche de pointe dans le domaine de l’optique, pour focaliser toute la beauté du monde. Vous vous demandez sûrement de quoi il s’agit, comment l’on nomme de tels artifices. Ce sont des « Christine », une référence au Christ sans doute.
La première, je l’ai trouvé il y a prés d’un an. Il s’agit d’une pupille grossissante qui permet de voir les petits détails qu’une vue faiblissante commençait à me cacher. La seconde, elle est plus récente et permet de faire ressortir les contrastes et les couleurs des images banales de notre quotidien. De mettre en valeur ou l’accent sur la beauté intrinsèque de ce qui nous entoure. Vous pouvez vous procurer ces prothèses, mes pupilles dans ces deux magasins hautement spécialisés et à faible cout :
-Petits papiers, papiers collés... pour l’infiniment petit.
-Les Cieux Grands Ouverts pour l’infiniment grand.
mercredi, septembre 13, 2006
Who can resist a free missile?
Je viens de recevoir une salve de tirs automatiques qui ont réussis à franchir mes frontières et atteindre mon petit jardin secret. Ils n'avaient pourtant pas été provoqués par mes quelques perles et liens (mes bolas). Comme je ne tiens pas à abimer ma vision nocturne sur des lettres codés et déformés, je vous prie d'essayer d'ignorer le retour du printemps passé.
I've got mail
Décidement, à chaque jours de nouvelles surprises, en voici une :
De : Pascal DEVOS [mailto:0672926139@orange.fr]
Envoyé : mardi 12 septembre 2006 17:01
Objet : devis jumper
Monsieur,
Je suis dans l'impossibilité de vous fournir un devis pour un jumper 9 places car à ce jour nous n'avons toujours pas les informations concernant les vitres coullissante en rang 2 et la condamnation enfant pour la porte latérale.
Je reste à votre disposition pour plus d'information
cordialement,
Pascal DEVOS
Vous avouerez qu'il est surprenant que l'on ne puisse savoir s'il y a une condamnation enfant sur la portière arrière d'un véhicule de transport d'enfant.
encore un autre :
VistaPrint :
Plus vous achetez, plus vous économisez ! Profitez de ces offres pour des quantités allant de 1 à 1000.
Drôle de façon de compter.
Une autre:
PARIS25-27 SEPT.23-25 OCT.13-15 NOV. 2006
l'état de l'art
Urbanisme
et Architectures Techniques
J2EE, JEE 5, .NET, SOA, Web Services, EAI, ETL, Référentiels, Annuaires, BPM, Portails, XML, etc. :
les concepts, les outils, les "bonnes pratiques".
> Les technologies : contenu, évolution, maturité, risques, réalité terrain.
> Les architectures : transactionnel, intégration, processus, portails, confiance, données.
> L'offre du marché : fonctionnalités, limites, pérennité des produits, l'open source.
> La mise en œuvre : démarches projets, chantiers prioritaires, pièges à éviter.
Hé non, il n'est pas question d'un métier du bâtiment, on ne dirait pas!
Une invitation à une conférence sur :
Quelle gouvernance de l'infogérance des système de l'information?
La définition du dico :
gouvernance
Le dictionnaire anglais Oxford décrit la gouvernance comme la manière de gouverner, d’exercer le contrôle ou l’autorité sur les actions des sujets, un système de réglementation. Par essence donc, la gouvernance peut être considérée comme se référant à la manière par laquelle les personnes sont gouvernées, et les affaires d’un Etat administrées et réglementées (Bad, 1999). Au sens large, la bonne gouvernance cherche à créer des Etats capables et efficaces, ainsi qu’un environnement propice dans lequel les secteurs public et privé jouent leurs rôles respectifs d’une manière mutuellement bénéfique en vue de réduire la pauvreté et d’assurer une croissance et un développement durables (Ocde, 2001). Ainsi, quand je parle de gouvernance, je ne me réfère non seulement à la qualité des dirigeants et à la capacité de gouverner, mais aussi à l’efficacité et à la cohérence des politiques, ainsi qu’à la mise en place d’institutions fournissant des biens publics et offrant des services sociaux dans un environnement stable.
Infogérance:
Gestion de l'informatique d'une entreprise par un sous-traitant spécialisé
donc en gros une conférence sur : quel sous-traitant va vous commander? Sûrement très interressant ...
et enfin la seulle qui m'ai fait plaisir :
De : Miss Gally [mailto:gally@ciboulette.fr] Envoyé : mardi 12 septembre 2006 22:09 À : gally@ciboulette.fr Objet : Bravo ! :)
Hello !
Tu viens de gagner un badge gratos grace à mon super concours. Ca été facile de choisir dans les commentaires. Les gens n'ont pas d'imagination.
Bref, bravo et tout ça, file ton adresse postale que je t'envoie ça ;)
biz (pour la peine)
et à bientôt !
Miss Gally
Pour bien comprendre, il faut dire que je me suis fendu d'un petit commentaire dans son Blog à la ciboulette http://ciboulette.fr/blog/index.php?2006/09/10/246-annonce
mardi, septembre 12, 2006
Demo-graphie
Je commence à m’inquiéter d’une dérive de notre société qui confine me semble t’il avec une pratique contre-nature. Je veux parler de cette pluie d’interdictions diverses qui sous prétexte de prendre soin de notre santé, de notre sensibilité et même de notre société en vient à formater, formaliser même, notre vie. Il me semble que l’on commence à confondre l’information et la contrainte. On cherche à nous imposer une vie de risque zéro. Aujourd’hui il n’est question que d’informer les femmes enceintes contre les méfaits de l’alcoolisme fœtal par l’apposition d’un logo ou d’une indication informant de la dangerosité de telles pratiques. Certes, il est nécessaire d’informer, mais l’on a vu ce qu’a donnée la même indication sur les paquets de cigarettes, l’information a rapidement fait place à la législation et à l’interdiction. J’imagine que la prochaine étape consistera à interdire aux débitants de boissons la vente d’alcool aux femmes enceintes, puis par extension à la totalité du beau sexe comme elle est déjà interdite aux mineurs. Je ne dénie pas les risques liés à l’absorption d’alcool et son transit direct dans le sang du fœtus, je m’inquiète seulement que l’on dénie au peuple en général suffisamment de bon sens pour éviter de faire courir des risques au bébé comme à eux même. Je m’élève contre la tendance actuelle à prendre les gens pour des cons irresponsables. Chacun sait qu’a dénier ce sens des responsabilités, on les pousse à remettre cette responsabilité entre les mains d’autrui. On s’étonne après de constater le manque de bon sens qui abouti à des catastrophes où chacun se réfugie derrière la responsabilité des autres pour expliquer leur manque d’initiatives. Pourquoi, demain nos soit disant responsables n’estimeraient’ ils pas dangereux la pratique du ski alpin pour nos chevilles, l’exposition au soleil pour nos peaux si sensibles aux mélanomes ou toutes autres activités ? Mince, l’amour est dangereux pour le cœur.
J’ai peur de devoir vivre jusqu’à 150 ans et de m’y emmerder grâve.
lundi, septembre 11, 2006
Je suis vénére
Amiens le 11 novembre 2006
Madame, Monsieur,
Le lundi 11 septembre 2006 après avoir conduit ma femme à son travail, je me suis aperçu que la pile de la télécommande permettant d’activer le bras mécanique fermant l’accès à notre cour était déchargée. J’ai donc laissé quelques instant mon véhicule légèrement à droite de la sortie de véhicule sur le trottoir le temps d’aller changer la pile( on en a toujours une de réserve). Le temps que je passe par la porte de la cuisine, que j’aille chercher un tournevis au garage et que je change la pile, en retournant à mon véhicule, j’avais une contravention.
Comme je n’avais aucun moyen de contester, je n’ai pas vu l’agent ayant déposé la contravention, j’ai, dès mon arrivé sur mon lieu de travail (je prends le bus pour aller rue des otages) j’ai appelé les services municipaux qui m’ont dis que je pouvais vous écrire pour contester cette amende. En effet, je ne pouvais stationner ailleurs sans gêner la circulation ou l’accès à notre cour qui contient d’autres garages.
En espérant une suite favorable à ma requête en annulation, je reste à votre disposition pour tous renseignements complémentaire.
P.S.: Quand je pense qu'il n'y a pas moyen de mettre la main sur eux lorsque qu'un couillon laisse son autoradio branché toute la nuit à tue tête dans sa bagnolle juste sous mes fenêtre ou lorsque le camion de le la CEMEA voisine passe des heures, à décharger sa marchandise, sur notre trottoir. Qu'il a fallut 5 ans et une blessée pour que les services municipaux comble le trou que les véhiculs de toute sorte ont creusés dans celui-ci, que nous n'avons toujours pas un macadam décent sur cette portion alors que toute la rue a étée refaite. Fanchement, cela me ferait riehc de devoir aligner 35 euros et encore plus 75.
Vénére je vous dis.
dimanche, septembre 10, 2006
Médiévale
Ce week-end, nous avons été très occupé. En sus des préparatifs pour notre prochain départ en vacances, Claudine travaillait, mais nous avons toutefois trouvé le temps pour une petite escapade sur le marché du Colvert à Amiens. C’est un marché sur la zone franche qui est donc de ce fait détaxé et connaît en conséquence un grand succès.
Nous avons aussi trouvé quelques minutes pour nous rendre à la fête médiévale du marché sur l’eau. Entre les enfants jouant avec leurs sabres de bois nous avons trouvé dans une petite échoppe une charmante demoiselle qui vendait des épices, des herbes et du thé. Parmi toutes ces odeurs et ces couleurs, nous avons aperçu ce qui constitue un des petits plaisirs de ma miss, des cônes d’encens. Pas de ces petits cônes que l’on trouve en supermarché et qui génèrent un herzats de parfum, non, de gros cônes mafflus qui embaument même sans brûler. Comme elle a visiblement vu qu’elle avait à faire à une connaisseuse, elle nous a refiler son adresse internet afin que nous puissions par correspondance nous procurer toutes ces senteurs.
Dans ce type de fête, vos papilles sont sans cesse sollicités par des parfums appétissants .
Nous avons tous un souvenir d’un film sur le moyen âge où les seigneurs sont attablés à un immense banquet garni de moultes plats et qui se rincent le gosier en festoyant grassement ! Même si nos ancêtres ripaillaient très certainement un peu moins que cela, les repas étaient au nombre de 3 auxquels s’ajoutaient 2 collations pour les paysans (pour se maintenir lors des travaux des champs). Cependant si la variété culinaire était de mise en s’attablant chez les seigneurs, les convives ne goûtaient pas à tout et il ne faut pas confondre ces grandes tablées gargantuesques avec le peu de diversité de la nourriture des paysans. Chez les plus riches, étaient mélangés, avec beaucoup d’aisance plats sucrés ou salés selon l’arrivée des mets. Les aliments étaient pour la plupart cuits dans une vaste cheminé se situant dans la salle à manger et seul les plus argentés avaient une cuisine indépendante.
Le pain constituait la base de toute l’alimentation et les épices étaient employées en proportions bien plus importantes qu’aujourd’hui où nos palais sont moins familiarisés.
Les plus consommées d’entres elles étaient la cannelle, la garingal (variété de gingembre à l’odeur de rose), la maniguette (souvent désignée sous le terme de graine de paradis), le cumin, le safran (pour les riches), le gingembre, la graine de pavot, la cardamome. Le sel était beaucoup employé et les poivres blancs, gris ou noirs servaient même de monnaie d’échange pour le paiement des achats.
Les plantes aromatiques du potager comme le persil, l’estragon, le thym, la sauge, la sarriette, la ciboulette étaient prisées. Les poissons, abats, légumes du jardin, pâtés, potées, tartes, gaufres, fouaces et surtout les volailles étaient principalement consommés.
On buvait du cidre, de la cervoise, de l’hypocras, de l’hydromel, du vin souvent épicé.
Il est à noter que de nombreux éléments nous sont parvenus sur l’alimentation du moyen-âge à travers des ouvrages témoins tels que :
- Le Ménagier de Paris composé fin XIV ème siècle et réediter milieu XIX ème siècle
- Le viandier de Taillevent édité vers le milieu du XVème siècle
- Une femme a beaucoup contribué à réactualiser la cuisine médiévale et nous vous recommandons son ouvrage : La cuisine médiévale pour les tables d’aujourd’hui de Jeanne Bourin édition flammarion.
samedi, septembre 09, 2006
vendredi, septembre 08, 2006
jeudi, septembre 07, 2006
Je vais bien, ne t'en fais pas.
Nous sommes allés Dine et moi au cinéma voir un petit film français de Philippe Loiret sans prétentions, loin des battages publicitaires et de la grande distribution. Il construit sa notoriété à petites touches par le bouche à oreille. C’est pourquoi, je vous susurre d’aller voir « Je vais bien, ne t’en fais pas ».
Quand j’ai lu le titre et le synopsis de ce film, je me suis dit que j’allais voir un bon gros mélo larmoyant pas très intéressant. Pourtant, la critique semblait unanimement l’encenser. Et bien voilà, ce film est fort. Très fort. Il s’agit d’assister au dé-tricotage et à la reconstruction d’un secret de famille à grand coup d’aiguille dans le cœur. Par petites touches, un regard, une absence, d’autres faux semblants et mensonges, l’écheveaux se démêle pour se reconstituer afin de maintenir une carapace protectrice de banalité et de quotidien. On réalise combien l’enfer est pavé de bonnes intentions. Kad Merad, dans un registre en demi-teintes plutôt inhabituel se révèle maitriser fort bien son jeu et fini par rendre son personnage extrêmement crédible. On s’interroge sur ses propres réactions dans une situation identique.
D’ailleurs, il en va de même de tous les autres protagonistes, pourtant Le sujet n’est pas facile : une jeune fille, de retour de vacances, apprend que son frère jumeau, suite à une mystérieuse dispute avec son père, est parti de la maison. Elle attend de ses nouvelles, mais il ne répond jamais au téléphone. Elle va chercher à tout prix le moyen de le retrouver et de découvrir ce qu’il s’est réellement passé ce jour-là.C’est un drame (comment ne pas ressentir la souffrance de cette jeune qui va jusqu’à cesser de s’alimenter), en forme de thriller : il faut suivre les cartes postales de Loïc, le jumeau pour savoir où il est.
mercredi, septembre 06, 2006
Shaving heroes
Je fais rarement de la politique, enfin, je crois. J’estime en effet, que comme pour l’amour, peut importe la position adoptée car elle peut changer, le tout c’est d’être bien conscient de ce que l’engagement implique. En cette période pré-pré-…électorale, où chacun se sent l’âme votante, je tente entre chaque tube ou hymne partisan de forger mon opinion. Ors, ce matin, alors que je pressurais celui du dentifrice, mon attention fut attiré par l’interlocuteur de monsieur De Villeyers qui cherchait visiblement à ce qu’il agréé aux déclarations de monsieur Sarekowsy selon qui, « ne devais pas être expulsés, les sans-papiers, se conformant aux valeurs françaises ».
J’eu été dans ma douche que j’eu chut.
J’éprouvais une soudaine envie de vérifier dans la glace de l’armoire à pharmacie si mon visage reflétait tout à coup le « fascisme ». J’étais du même avis. D’ailleurs, la bave commençait à perler de ma bouche béate.
Après avoir craché ce venin blanchâtre dans le lavabo, je commençais à m’interroger sur ce revirement surprise et parvint à force d’un brossage vigoureux et d’un rinçage abondant à retrouver figure presque humaine. Pourtant, j’étais d’accord avec la totalité de cette déclaration, même si en mon fort intérieur, je me sentais refroidi.
Ce n’est qu’après avoir raclé le fond de la mousse qui m’envahissait le visage que je compris enfin en quoi mes convictions différaient des siennes : Nous étions d’accord, mais nous attribuions pas le même sens aux mots « valeurs françaises ».. Sans préjuger de ce qu’il entendait par là, ni l’un ni l’autre, enfin je le crois, n’évoquions en ces termes « le CAC40 » ou autres actions du même type.
Dans la liberté, l’égalité et la fraternité, je vois une application humaine indépendante de la race, la religion et surtout de la frontière, et je ne suis pas sûr que cette vision ne soit pas plus étriqués à d’autres yeux. Ce qui est étrange, c’est que ces yeux furent en leur temps issus eux même de l’immigration. Selon ces critères, sont-ils conforme aux valeurs françaises ?
Bon, comme moi, j’ai fini de vous raser.
mardi, septembre 05, 2006
Le temps qui passe
Comme je ne savais pas quel sujet aborder aujourd’hui et qu’après tout, voici presque un an que j’ai commencé cette rubrique, j’ai finalement choisi de parler du temps qui passe.
Et comment mieux illustrer cela que par les paroles de Brassens :
A peine sortis du berceau,
Nous sommes allés faire un saut
Au boulevard du temps qui passe,
En scandant notre " Ça ira "
Contre les vieux, les mous, les gras,
Confinés dans leurs idées basses.
On nous a vus, c'était hier,
Qui descendions, jeunes et fiers,
Dans une folle sarabande,
En allumant des feux de joie,
En alarmant les gros bourgeois,
En piétinant leurs plates-bandes.
Jurant de tout remettre à neuf,
De refaire quatre-vingt-neuf,
De reprendre un peu la Bastille,
Nous avons embrassé, goulus,
Leurs femmes qu'ils ne touchaient plus,
Nous avons fécondé leurs filles.
Dans la mare de leurs canards
Nous avons lancé, goguenards,
Force pavés, quelle tempête!
Nous n'avons rien laissé debout,
Flanquant leurs credos, leurs tabous
Et leurs dieux, cul par-dessus tête.
Quand sonna le " cessez-le-feu "
L'un de nous perdait ses cheveux
Et l'autre avait les tempes grises.
Nous avons constaté soudain
Que l'été de la Saint-Martin
N'est pas loin du temps des cerises.
Alors, ralentissant le pas,
On fit la route à la papa,
Car, braillant contre les ancêtres,
La troupe fraîche des cadets
Au carrefour nous attendait
Pour nous envoyer à Bicêtre.
Tous ces gâteux, ces avachis,
Ces pauvres sépulcres blanchis
Chancelant dans leur carapace,
On les a vus, c'était hier,
Qui descendaient jeunes et fiers,
Le boulevard du temps qui passe.
Même si j’ai un faible pour les paroles de la chanson de Rina Ketty :
J'attendrai
Car l'oiseau qui s'enfuit vient chercher l'oubli
Dans son nid
Le temps passe et court
En battant tristement
Dans mon cœur si lourd
Et pourtant, j'attendrai
Ton retour…
Je vous invite à aller voir les photos qui pour moi illustre bien notre fuite en avant, celles que l’on regardent sans les voir qui travaillent sans relâche et avec cœur à notre propre mort. Prenons le temps de voir leur évolution qui reflète la notre. Il ne s’agit pas là de photos d’art, uniquement un regroupement de clichés volé au temps qui passe.
lundi, septembre 04, 2006
24 heures de la vie d'une femme
Je me demande si je ne devrais pas me montrer un peu plus jaloux. Lorsque je suis rentré un peu plus tôt qu’à l’habitude de ma promenade l’autre jour, j’ai retrouvé ma Claudine, le souffle court, en nuisette, tendue comme une corde de piano, en galante compagnie. Je n’ai d’ailleurs rien compris sur le coup, tant j’étais surpris de trouver au milieux de mon salon cet ivrogne mal rasé. Quand je pense que ma Miss ne supporte pas un seul de mes poils de barbe, que cela lui arrache, soit disant, la peau du visage si délicate…Mais là, elle en bavait presque, suspendue à la moindre de ses paroles tandis qu’il éructais difficilement son histoire abracadabrante, lui aussi à demi-dévêtu. Nous avions fait sa connaissance il y a deux ou trois ans et j’avais déjà senti de la part de Claudine, une petite attirance. Lorsqu’il a perdu sa femme en 2004 ou 2005, je ne me rappelle plus très bien, Claudine la connaissait mieux que moi, il a commencé à boire. Il faut dire que cela a du être une année difficile pour lui. J’ai cru comprendre que sa fille a quitté le foyer familial à ce moment là pour entrer dans la vie active en tant que baby-siter. Mais cela ne justifie nullement qu’il passe son temps a courir à gauche ou à droite après les femmes au foyer. En plus, je ne sais pas comment cela se passe à son travail, mais d’après ce que m ‘en à dit Claudine, il aurait des problèmes. Ca se comprends lorsque l’on voit l’état de ses jeans lorsqu’il s’y rends. Heureusement qu’il y a encore quelques amis influents pour lui sauver la mise. Franchement je ne comprends pas ma miss, elle au demeurant si posée. Comment peut-elle s’éprendre d’un de ces allemand tyranniques, un sanguin qui ne pense qu’à la bagarre et la violence ?
Possible que ce soit une question d’âge, après tout, c’est un jeunot qui n’a pas encore quarante ans, je ne pense pas que ce soit une question de muscles, ma puce n’est pas du genre à se pâmer face à un body-builder. Je pense qu’il est allemand, mais elle le prétends canadien ou américain, mais franchement je crois qu’avec un nom pareil, il ne peut qu’être allemand : Kiefer Sutherland.
dimanche, septembre 03, 2006
Cours d'Informatique pour débutatant
Comme vous aimez bien les bêtisiers, celui de l'informatique.
Bonjour, j'ai mon Nescafé qui ne marche pas... - Heu .. je suis désolé madame, mais nous ne faisons pas de support pour les appareils électroménagers. - Non non c'est Nescafé pour Internet... - ???... Ne vous voulez vous pas parler de Netscape par hasard? - Oui c'est bien ça ! Nescape... Nescafé... c'est la même chose... Pour se réveiller le matin, rien de mieux qu'une bonne tasse de Netscape...
"Je n'arrive pas à installer le kit de connexion en cd rom ; il ne rentre pas dans mon lecteur 3"1/2 !!"
"Vous voulez une imprimante couleur ou noir et blanc madame ? - Heu... Couleur, c'est bien oui ! Et si vous avez saumon ça irait bien avec les murs...
"Je vous appelle parce que le modem, il ne marche pas... - Quels sont les voyants allumés sur le modem ? - Ah ? Oh zut, je l'ai pas allumé !!! Excusez-moi, au revoir !
"Allo ? Oui... le programme me demande d'appuyer sur la barre d'espace pour continuer. Elle est où, la barre?!?!?
"Cliquez sur Poste de travail... - Hein ??????? - Oui, en haut à gauche du bureau, monsieur. - Je ne vois pas ça... C'est marqué Esc (Escape)"
"Bon voilà, dit-il, c'est le porte-tasse qui ne fonctionne plus. - Le porte-tasse ?!?! - Bien oui, quand on appuye sur le bouton en haut, un plateau sort. C'est bien le porte-tasse, non ?
"Allo, je n'arrive pas à faire marcher votre CD-ROM d'apprentissage de l'anglais. - Mettez le CD dans le lecteur, il démarre ? - Non. - Alors, faites "Démarrer"... - Ça marche pas. Le lecteur ne lit rien. - Vous êtes sous quel système d'exploitation ? - Vous voulez parler de la marque de ma chaîne Hi-Fi ?
"Bon, connectez votre modem à l'UC, branchez le cable d'alimentation sur un prise, et le cordon téléphonique sur une prise de téléphone. - N'importe quelle prise de téléphone ? - Oui, oui. - BIP... BIP... BIP...
Une cliente appelle le support technique, furieuse, et leur dit : "C'est lamentable ! Ça fait une heure que j'appuie sur la touche F1 pour avoir de l'aide, et personne n'est venu..."
"Allô, le service informatique ? Je vous appelle parce que mon clavier ne marche plus. Je viens juste de le nettoyer... - Vous l'avez nettoyé comment ? (craignant le pire) - Ben j'ai pris une bombe spéciale, qui fait de la mousse. - Ah ? (ouf...) - Ça doit pas être de la faute de la mousse, parce qu'après, pour être sûre, je l'ai bien rinçé à l'eau claire !
Dans le bureau de cette femme gentille autant qu'envoloppée (c'est important pour mon histoire), je lui demande quel est le problème. Elle me repond un peu excedée : "A chaque fois que j'utilise word ça met plein d'espaces partout dans mon texte ! " Je lui demande donc de me montrer ce qui se passe et la je m'apperçois qu'en fait c'est sa poitrine qui repose sur le clavier et lui insère des espaces . Un sourire en coin je lui ai donc conseillé de monter un peu sa chaise...
Ma mère a reçu un courriel de sa soeur qui disait qu'elle n'arrivait pas à se connecter à Internet.
Une secrétaire bien embétée téléphone à l'une de ses amies car le fichier qu'elle avait rédigé sous Word ne tenait pas sur sa disquette, déjà bien remplie. L'autre secrétaire est arrivée avec un sourire triomphant à l'idée de révéler un truc infaillible et top-secret : "T'as qu'à baisser la taille de la police de caractères, ton document sera moins grand, ça rentrera..."
"J'ai un pb sur mon ordi... La 1ère question est alors toujours : "Alors c'est quoi comme ordi ? (sous entendu un Mac ou un PC, OS..., Version...) - ... un word5... ?!?
"Je sais qu'Excel peut faire des additions, mais est-ce qu'on peut faire aussi des soustractions ?"
"Bonjour, je n'ai pas de modem chez moi. Vous pourriez me recopier l'Internet sur cette disquette ?
"J'ai un problème avec Windows... - Qu'avez-vous sur l'écran ? - Un pot de fleurs !
- Mais SEB, le fax, y ressort ! Ça marche pas ?
"Les données sont récupérées sous forme de fichiers à skis".
Dans une caserne dont je tairai le nom : réception d'un nouveau programme ; on informe le chef de bureau. "Mon commandant, j'ai un programme à charger !" - C'est bien, mon petit, mais si la renault 4 n'est pas assez grande, vous viendrez me voir pour obtenir un camion !" - ...
Un utilisateur a demandé à avoir un tapis de souris plus grand car celui qu'il avait ne couvrait pas toute la surface de l'écran.....
Lors de l'exécution d'une application, on demande de "cliquer à droite". La secrétaire, qui est gauchère, place sa souris à droite et clique sur le bouton gauche !
samedi, septembre 02, 2006
Un bêtisier des salles de cours.
Encore quelques cancres. (Récupérées sur la toile)
"Si vous excitez votre voisin, il a la même fréquence que vous."(moi je vais m'asseoir a côté du grand brun là-bas alors...)
"On va voir si un cercle peut s'envoyer une droite."(vous voyez les maths différemment tout d'un coup, non?...)
"Les maths ça se vit c'est l'art des relations."(y'en a qui ont une sacrée imagination...)
"Faire des maths, c'est la seule façon socialement acceptable de semasturber en public."(demain vous ne regarderez plus votre prof de maths de la même façon...)
"Un exercice, c'est comme un orgasme, il faut toujours aller jusqu' aubout pour avoir du plaisir!"(horreur, je suis frigide...)
"Je peux pas m'habiller moins que ça..."(remarque d'une prof de maths sup...)
"Vos copies sont très hérogènes..."(qui l'eût cru ?)
"Q est un corps certes mais qui est tellement mal fait qu'on ne peut rien faire dedans !"(je ne ferais aucun commentaire là-dessus, y a aussi des gens qui me connaissent qui visitent ce site...)
"Si je perdais pas mon tampon à chaque fois..."(dégueu!)
"Monsieur, c'est sympa, mais avec votre sexe vous avez bloqué le jeu..."(un élève qui jouait au scrabble avec son prof)
"Ouvrez vos cahiers de sexe... De texte."(rangez ces journaux finalement...)
Cours de français, la classe visionne Au Nom de la Rose...Dans le film, le prêtre:"Où te caches-tu, salope?"Dans la salle, le prof:"Vous pouvez prendre des notes si vous voulez..."
"On ne fait pas la même chose avec un top-model qu'avec sa photo."(je viens de comprendre pourquoi on appelait cette école 'la maison X')
" Pompidou était le suceur de de Gaulle."(SUCCESSEUR. SUC-CES-SEUR.)
"On va sauter Kant... En voilà un qui n'a pas du se faire sauter souvent par une femme..."(encore un coming-out non prémédité...)
"Vous savez, c'est pas vos questions qui m'embêtent...- C'est qu'on vous lêche le cul ça vous irrite?..."(touchatonku 1)
"Quelque chose ne va pas Carlier ?- Ben je m'interroge sur votre petit q...- Pour vous ca restera une inconnue !..."(touchatonku 2)
"Il est où mon point G ?... Trouvez-moi mon point G !"(touchamonku 1)
"Bon, vous avez deux boules, vous voulez les faire couper, qu'est-ce quise passe?"(ça fait maaaaal...)
"Samedi, il y avait tant de femmes dans la boutique, que la queue du boulanger allait jusque dans la rue."(que cet élève OSE dire qu'il n'a pas fait exprès)
"Qu'est ce qu'une femme stérile?- C'est une femme qui accouche sous vide."(petite confusion avec le lait UHT...)
"La micro électronique c'est pour le petit public, la maquerau électronique, c'est pour les putes."(introduction à l'électronique)
"Tous les matins quand je me touche (devant la glace bien sûr), je ne remarque pas le vide..."(une prof de chimie qui parle du vide entre atomes)
"Longeau, je m'interesse à vous... enfin, au niveau mathématique."(on vous comprend)
"Cette élève elle était bonne... Je veux dire scolairement parlant."(l'histoire ne dit pas si elle était effectivement bonne)
"Pourquoi n'y a-t-il qu'une seule schtroumpfette ?"(parce que les schtroumpfs sont tous pédés, en fait ils fantasment sur Gargamel)
"On termine encore ce paragraphe ! Après ça, je vous lèche !"(non merci, sans façons...)
"Monsieur, comment on dit une pipe en anglais ?- Pour fumer?"(un prof non fumeur...)
"Citer des contraceptifs oraux.- La pilule, le préservatif..."(espérons qu'il ne finira pas gynéco...)
"La contaception orale de la patiente est assurée par stérilet."(vous l'avez reconnu? finalement il est devenu gynéco...)
"Vous n'allez pas sécher quand même?- Je vais pas mouiller non plus!!!"(!!!!!!!!!!!!)
"Quand je suis allée à Moscou l'année dernière, j'ai enfin vu ce que représentait physiquement une queue !"(à cinquante ans, il était temps...)
"C'est le romantisme : non non qui veut dire oui oui."(enfermez-le!! ce prof est dangereux!!!)
"On s'en fout du romantisme, Bérangère, l'important c'est que ca rentre..."(un autre point de vue...)
"Le travail éloigne de nous trois grands maux : l'ennui, le besoin et le vice... dommage!"(m'en fous, je travaille jamais...)
"Les sujets à partenaires multiples, ça revient à dire tout le monde,..."(vivent les écoles de commerce)
"Les roches sont attaquées par l'érotique."(décidement, personne n'est à l'abri...)
"Le pilote de chasse, il pense avec ses fesses et il tire avant de réfléchir."(il a beau être pilote, ce n'est qu'un homme comme les autres...)
Stéphanie présente son produit de synthèse à l'assistant en chimie:"Monsieur, pensez-vous que mon corps soit pur?- Mademoiselle, je ne me permettrais pas de porter ce jugement!"(m'enfin?! un peu de retenue!!)
"Trouvez le mot correspondant à la définition suivante:'De tous les oiseaux, c'est le goéland qui a la plus grande.'."(réponse: l'envergure)(qui a dit b...??)
"C'est vrai que j'ai souvent tendance à me coucher sur la table..."(AN-SO aurait-elle du mal à cacher un faible pour un de ses profs?...)
Lors d'un rapport du BdE, un élève explique qu'il n'a pas pu organiserune rencontre entreprise / école:"Je me suis fait prendre par derrière, et j'ai eu beaucoup de mal à me retourner."(et oui, il faut coucher pour réussir, même (surtout?) au BDE...)
La palme de la connerie, tous bêtisiers confondus est attribuée à la prof qui a osé sortir que:"Le sida est une maladie psychosomatique, dormez vous n'aurez rien."(oh surprise, il ne s'agit pas de Mme B.!)
vendredi, septembre 01, 2006
intra
Vous connaissez maintenant mon penchant naturel pour les … la mouclade . Vous savez combien j’adore trainer mon… mes guêtres dans les déballages et combien j’aime à flâner dans les …la vieille bourse de Lille. On aurait pu croire que comme chaque année, nous allions faire un tour à la grande braderie de Lille. Hé bien ! non. Nous n’iront pas humer les égouts du vieux Lille, nous noyer de bière et gorger de frites tout en furetant à la recherche du « n’importe quoi » qui viendra mourir dans notre garage. Ceci dit, c’est un peu dommage mais bon, la semaine a été chargée.
Voici deux jours que je bichonne mon dernier né, un intranet en xml et xmlt que je viens tout juste de mettre en ligne. J’y corrige les dernières fautes d’attention qui se sont glissées dans les quelques 100 000 fichiers qui le constituent. Je vous en met une image car il n’est pas accessible au grand public.
Ce n’est pas la seule chose qui m’ai accaparé cette semaine. C’est aussi la reprise du championnat et j’ai du me consacré aux démarches administratives liées à l’embauche de trois nouveaux entraineurs. L’état a beau tout faire pour faciliter la paperasserie les démarches sont toujours aussi nombreuses, fastidieuses et complexes.
Je me suis aussi penché sur la comptabilité après le repas d’été de l’autre association, et, pour couronner le tout, Claudine a repris son boulot mais devra se faire opérer à nouveau de son dos. Encore une immobilisation de six bons mois en perspective (Novembre si elle tient jusque là).
Enfin, les vacances approchent, encore deux semaines à tenir. Que le temps en fasse autant.
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