.Réquiem pour un film
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(¸.•´(¸.•´.•´(´¸.•*´¯`*•Préambule*´¨)
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Comme vous pouvez le voir avec ce titre, j’annonce la couleur. Ce que je vais dire ici c’est une messe des morts pour un film qui ne vaut pas même l’euro que j’ai dépensé pour la place de parking. Il est possible que cela vous semble bien méchant mais il se trouve que j’ai horreur que l’on me mente sur la marchandise. Alors lorsque l’on annonce le « Réquiem pour une tueuse » avec la silhouette d’une belle Mélanie Laurent dans la fumée de son Berretta, J’attends des morts violentes, des balles, du suspens et un minimum de sexe.
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(¸.•´(¸.•´.•´(´¸.•*´¯`*•L’histoire*´¨)
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Là, j’aurai peut-être du dire le synopsis pour faire bien et espérer un E, mais bon, on ne se refait pas. Mais revenons à nos moutons. En effet, c’est de cela dont il est question : Un loup dans la bergerie.
La plus efficace des tueuses a une nouvelle mission. Son nom de code est Lucrèce non pas comme référence au disciple d’Épicure, ni à la fille de Spurius mais plutôt à la réputation de la Borgia. La spécialiste des poisons doit dessouder, dans un château isolé du cœur des Alpes, Alexander Child. Ce dernier, récemment acquéreur d'une distillerie en Écosse, est le seul obstacle à un projet de pipeline stratégique et aux enjeux économiques considérables. Elle s’y fait passer pour une chanteuse lyrique, partenaire du basse Alexander. Histoire d’en rajouter une louche, un mercenaire est envoyé par le contre-espionnage français pour démasquer la mystérieuse tueuse.
Bon, comme vous voyez, tous les ingrédients sont là pour un huis clos digne d’Agatha Christie. Malheureusement, cela ne va pas plus loin.
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(¸.•´(¸.•´.•´(´¸.•*´¯`*•La distribution*´¨)
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Mélanie Laurent, depuis « Je vais bien, ne t’en fais pas » nous donnes entière satisfaction. Quelque soit le film dans lequel elle apparaît, son air lunaire et sa sensibilité lui permettent de revêtir même la plus sombre des peaux. En l’occurrence, elle a su imiter à la perfection la chanteuse lyrique doutant de la force de sa voix. Ce n’est pas la première fois qu’elle est confrontée à la mort : La chambre des morts ou Le Tueur sans parler d’Inglorious Bastards de Quentin Tarantino. Visiblement, elle savait choisir ses films et il est vrai qu’à la lecture du scénario, on aurait pu penser avoir à faire à un grand film.
Clovis Cornillac n’est pas aussi bandant mais c’est un acteur honnête. Il sait donner de lui tout ce qu’il peut et franchement, on n’a rien à lui reprocher. Il est maintenant habitué à ces rôles de sombres baroudeurs et n’en fait pas trop.
Tchéky Karyo m’a un peu rappelé mon jeune temps et « Nikita ». Sur lui aussi, rien à dire, une bonne prestation pour un bon rôle.
A noter l’excellente prestation d’un acteur que je connaissais peu et dont je viens de découvrir la palette toute en nuance de son jeu. Il s’agit de Xavier Gallais qui joue le rôle du propriétaire du château en question : Xavier de Ferrières.
Comme vous pouvez le constater, selon moi ce n’est pas par la distribution que ce film pêche.
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(¸.•´(¸.•´.•´(´¸.•*´¯`*•La réalisation*´¨)
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C’est le premier film d’un certain Jérôme Le Gris. Non seulement il l’a réalisé mais il en a écris le scénario. Conclusion, il est beaucoup plus doué pour l’écriture que pour la réalisation. Comme Mélanie était assistante réalisatrice sur ce film, elle est beaucoup plus doué pour le jeu que pour la réalisation. Et ne parlons pas du montage….
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(¸.•´(¸.•´.•´(´¸.•*´¯`*•Conclusions*´¨)
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L’histoire est bonne, le casting est bon, l’image est belle, la musique pas terrible (C’est Haendel qu’on assassine) mais tout cela ne fait pas un bon film. Je crois qu’il serait bon de leur expliquer que pour qu’un suspens puisse prendre, il faut comme avec la mayonnaise remuer l’ensemble pour le faire monter. Dans ce film tous les ingrédients sont là mais dés que l’on commence à accrocher, dès qu’il y a le moindre début de suspens, on nous casse la surprise et cela tombe à plat.
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Comme vous pouvez le voir avec ce titre, j’annonce la couleur. Ce que je vais dire ici c’est une messe des morts pour un film qui ne vaut pas même l’euro que j’ai dépensé pour la place de parking. Il est possible que cela vous semble bien méchant mais il se trouve que j’ai horreur que l’on me mente sur la marchandise. Alors lorsque l’on annonce le « Réquiem pour une tueuse » avec la silhouette d’une belle Mélanie Laurent dans la fumée de son Berretta, J’attends des morts violentes, des balles, du suspens et un minimum de sexe.
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Là, j’aurai peut-être du dire le synopsis pour faire bien et espérer un E, mais bon, on ne se refait pas. Mais revenons à nos moutons. En effet, c’est de cela dont il est question : Un loup dans la bergerie.
La plus efficace des tueuses a une nouvelle mission. Son nom de code est Lucrèce non pas comme référence au disciple d’Épicure, ni à la fille de Spurius mais plutôt à la réputation de la Borgia. La spécialiste des poisons doit dessouder, dans un château isolé du cœur des Alpes, Alexander Child. Ce dernier, récemment acquéreur d'une distillerie en Écosse, est le seul obstacle à un projet de pipeline stratégique et aux enjeux économiques considérables. Elle s’y fait passer pour une chanteuse lyrique, partenaire du basse Alexander. Histoire d’en rajouter une louche, un mercenaire est envoyé par le contre-espionnage français pour démasquer la mystérieuse tueuse.
Bon, comme vous voyez, tous les ingrédients sont là pour un huis clos digne d’Agatha Christie. Malheureusement, cela ne va pas plus loin.
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Mélanie Laurent, depuis « Je vais bien, ne t’en fais pas » nous donnes entière satisfaction. Quelque soit le film dans lequel elle apparaît, son air lunaire et sa sensibilité lui permettent de revêtir même la plus sombre des peaux. En l’occurrence, elle a su imiter à la perfection la chanteuse lyrique doutant de la force de sa voix. Ce n’est pas la première fois qu’elle est confrontée à la mort : La chambre des morts ou Le Tueur sans parler d’Inglorious Bastards de Quentin Tarantino. Visiblement, elle savait choisir ses films et il est vrai qu’à la lecture du scénario, on aurait pu penser avoir à faire à un grand film.
Clovis Cornillac n’est pas aussi bandant mais c’est un acteur honnête. Il sait donner de lui tout ce qu’il peut et franchement, on n’a rien à lui reprocher. Il est maintenant habitué à ces rôles de sombres baroudeurs et n’en fait pas trop.
Tchéky Karyo m’a un peu rappelé mon jeune temps et « Nikita ». Sur lui aussi, rien à dire, une bonne prestation pour un bon rôle.
A noter l’excellente prestation d’un acteur que je connaissais peu et dont je viens de découvrir la palette toute en nuance de son jeu. Il s’agit de Xavier Gallais qui joue le rôle du propriétaire du château en question : Xavier de Ferrières.
Comme vous pouvez le constater, selon moi ce n’est pas par la distribution que ce film pêche.
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C’est le premier film d’un certain Jérôme Le Gris. Non seulement il l’a réalisé mais il en a écris le scénario. Conclusion, il est beaucoup plus doué pour l’écriture que pour la réalisation. Comme Mélanie était assistante réalisatrice sur ce film, elle est beaucoup plus doué pour le jeu que pour la réalisation. Et ne parlons pas du montage….
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L’histoire est bonne, le casting est bon, l’image est belle, la musique pas terrible (C’est Haendel qu’on assassine) mais tout cela ne fait pas un bon film. Je crois qu’il serait bon de leur expliquer que pour qu’un suspens puisse prendre, il faut comme avec la mayonnaise remuer l’ensemble pour le faire monter. Dans ce film tous les ingrédients sont là mais dés que l’on commence à accrocher, dès qu’il y a le moindre début de suspens, on nous casse la surprise et cela tombe à plat.