Vincennes
Toute la semaine, je travailles à Vincennes. Cela m'oblige à me lever tôt mais ce n'est pas grave, cela me change de me coucher tard.
Par contre, j'ai beaucoup de mal à supporter les odeurs d'oeufs pourris et de sueurs rances qui vous assaillent dès 8h30 et la fermeture des portes du RER. J'ai cru devoir rendre mon petit dejeuner. Je suis certain que je ne pourrai plus vivre à Paris et sa banlieu. J'ai beau me plaindre dès que l'indice atmo passe sous le quatre à Amiens, jamais je ne supporterai cette touffeur moite et ces milliers de personnes courant à droite et à gauche quand elles ne sont pas appatiques, l'oeil vitreux, comme détachées de la réalité sous le casque de leur MP3.
Heureusement, il n'y en a que pour une semaine.