Male Ostrich, Lake Nakuru, Kenya
Je n’ai pas fait très bonne figure hier au soir lors de l’anniversaire de Jean-Michel. Je crois que n’ayant pas pour habitude de me lever tôt, ces deux jours à Malakoff m’ont d’autant plus crevé que j’ai conservé le même rythme le soir ou plutôt tôt le matin et deux nuits presque blanches ont eu raison de mon attention. Il me pardonnera je l’espère de les avoir abandonnés dès 22h30.
Dine a voulu rendre visite hier après-midi à notre petit sauvageon et m’a fait part de la triste nouvelle : le petit écureuil est mort. Soit qu’il n’ai pu supporter la captivité soit son état était plus grave que ce que nous supposions. Le vétérinaire estime qu’en sus de la fracture, au moins un des organes internes était lésé. Peu importe maintenant, ce descendant de Scritch a trouvé son gland doré et retrouvé sa liberté.
Titine, elle, est presque réparée. Je dis presque car si ses fuites sont endiguées et jointoyées, sa vitre de profil n’a pas retrouvé son acnéique bouton qui lui sert à se relever seul.
Je m’en vais ce soir la prendre pour aller quérir de quoi désaltérer mes sportifs.
Avec tout cela, j’ai oublié de vous dire qu’à mon tour habituel vient de s’ajouter depuis peu quelques bonnes adresses qui s’y immiscent passant de l’occasionnel à la douce routine.
Tout d’abord, une nouvelle venue qui a su à coups de tête bien sentis, faire son trou dans le sable de la blogosphère. Son ton léger et duveteux cache un esprit véloce, léger et franc comme je les aime. Il s’agit de Belzouzou dont vous aurez reconnu l’effigie si vous la fréquentez.
Une autre volatile, au charme simple et discret, elle survole son quotidien avec douceur et sans bruit. Il s’agit de la pigeonnière splendy de Tanette.
Tout en légèreté aussi, faites un tour sous le site de Mei Shile, le prunier Mei avant de la rejoindre sur son blog.
Enfin pour terminer une râleuse plus terre à terre, bien consciente de son du à l’hérédité, qui pratique la ronchonne rie à la louche, parfumée de piquante façon d’un humour très fin, Mme Pas contente.
Tout d’abord, une nouvelle venue qui a su à coups de tête bien sentis, faire son trou dans le sable de la blogosphère. Son ton léger et duveteux cache un esprit véloce, léger et franc comme je les aime. Il s’agit de Belzouzou dont vous aurez reconnu l’effigie si vous la fréquentez.
Une autre volatile, au charme simple et discret, elle survole son quotidien avec douceur et sans bruit. Il s’agit de la pigeonnière splendy de Tanette.
Tout en légèreté aussi, faites un tour sous le site de Mei Shile, le prunier Mei avant de la rejoindre sur son blog.
Enfin pour terminer une râleuse plus terre à terre, bien consciente de son du à l’hérédité, qui pratique la ronchonne rie à la louche, parfumée de piquante façon d’un humour très fin, Mme Pas contente.