Un film policier
En ce moment, l’industrie cinématographique nous offre peu de film policier aussi lorsque nous avons vu qu’il y en avait un cette semaine, nous avons sauté dessus. Pourtant, l’affiche n’était pas prestigieuse et le résumé placardé dans l’entrée du cinéma ne semblait pas trop attractif. En plus, ni la Miss, ni moi, ne sommes des fans de ces huis clos sans action où l’on « déduit » l’identité du coupable à force de longs discours philosophique. Enfin, nous étions prêt au sacrifice si cela pouvait nous éviter une nouvelle séance de comédie. Entre elles et les dessins animés pour gosses, l’offre est limitée.
Dès les premières minutes, je recevais quelques discrets coup de coudes dans les côtes de la Miss qui elle n’appréciait pas trop la scène de Kate Beckinsale nue sous sa douche. Elle me glissa à l’oreille que « cela commençait bien ». En langage de femme, cela veux dire encore un film de macho dans lequel la potiche de service se ballade de scène en scène à moitié nue. Heureusement pour moi, c’est elle qui a choisi le film, sinon, j’aurai eu le droit à l’hôtel du cul tourné, c’est sûr. En fait, c’est la seule scène un peu déshabillée, le reste du film se déroule par un froid polaire qui oscille entre -55 et -65 degré, alors plus aucune chance d’entrapercevoir le moindre centimètre carré de nudité.
L'action se déroule en Antarctique, un désert de 14 millions de kilomètres carrés isolés du monde et plongés dans la nuit et le vent plus de six mois par an. La belle Carrie Stetko(on le vérifie sous sa douche) y est la seule représentante de la loi. Alors qu’elle s’apprête à démissionner pour retrouver un univers plus « conventionnelle », elle doit enquêter sur un corps retrouvé sur la glace. Il apparaît rapidement qu’il a été jeté d’un avion. C’est le premier homicide connu de l'Antarctique, ors cette zone est internationale et sensible. Cette découverte va plonger Carrie dans un mystère plus étrange encore, et révéler des secrets longtemps enfouis par le vent sous la glace... Des secrets internationnaux qui ont poussé quelqu'un à tuer. Carrie devrat tout faire pour démasquer le meurtrier avant que ne vienne le grand hiver, et, dans la blancheur immaculée de l'Antarctique, où la neige, balayée par un vent de plus de cent soixante kilométres à l’heure, empêche de voir à plus d’une quinzaine de centimètre du bout de son nez, elle ne pourra voir l'assassin et son piolet approcher.
C’est un policier américano-canadien réalisé par Dominic Sena avec donc, Kate Beckinsale, Gabriel Macht et Tom Skerritt. Ce ne sont pas de grandes vedettes encore mais vous avez surement vu la belle Kate, la vampire de la série des Underworld ou Gabriel Macht revêtir la cravate rouge du « Spirit » quand à Tom Skerritt, il a déjà une bonne et grande carrière derrière lui. C’est un peu pour cela que je m’insurge une nouvelle fois contre ces critiques à l’emporte pièce qui croient bon tirer sur tout ce qui bouge et en viennent à écrire : « Pas de mise en scène, une scénario vu, revu et recraché, pas de suspens, un coup de théâtre attendu et téléphoné, une fin bâclée, des acteurs nuls, un décor de carton pâte et des effets spéciaux à pleurer, et j'en passe... »
En fait, Whiteout est l'adaptation de la bande dessinée du même nom de Greg Rucka et Steve Lieber, publié il y a plus de dix ans. Aussi, dire que le scénario est vu et revu, c’est un peu vrai mais c’est aussi ce que l’on attend d’un film de série B. Parce que c’est ce que vise avec succès ce film. Il doit nous divertir pas nous surprendre ou nous pousser à réfléchir. Avec lui, vous en avez pour votre attente : c’est un film policier, et rien qu’un film policier. Un bon suspens même si vous devinez assez vite qui est le méchant dans l’histoire. Quand au décor, celui qui a écrit cela devrait sortir un peu de chez lui et aller voir à quoi ressemble vraiment une banquise.
Dès les premières minutes, je recevais quelques discrets coup de coudes dans les côtes de la Miss qui elle n’appréciait pas trop la scène de Kate Beckinsale nue sous sa douche. Elle me glissa à l’oreille que « cela commençait bien ». En langage de femme, cela veux dire encore un film de macho dans lequel la potiche de service se ballade de scène en scène à moitié nue. Heureusement pour moi, c’est elle qui a choisi le film, sinon, j’aurai eu le droit à l’hôtel du cul tourné, c’est sûr. En fait, c’est la seule scène un peu déshabillée, le reste du film se déroule par un froid polaire qui oscille entre -55 et -65 degré, alors plus aucune chance d’entrapercevoir le moindre centimètre carré de nudité.
L'action se déroule en Antarctique, un désert de 14 millions de kilomètres carrés isolés du monde et plongés dans la nuit et le vent plus de six mois par an. La belle Carrie Stetko(on le vérifie sous sa douche) y est la seule représentante de la loi. Alors qu’elle s’apprête à démissionner pour retrouver un univers plus « conventionnelle », elle doit enquêter sur un corps retrouvé sur la glace. Il apparaît rapidement qu’il a été jeté d’un avion. C’est le premier homicide connu de l'Antarctique, ors cette zone est internationale et sensible. Cette découverte va plonger Carrie dans un mystère plus étrange encore, et révéler des secrets longtemps enfouis par le vent sous la glace... Des secrets internationnaux qui ont poussé quelqu'un à tuer. Carrie devrat tout faire pour démasquer le meurtrier avant que ne vienne le grand hiver, et, dans la blancheur immaculée de l'Antarctique, où la neige, balayée par un vent de plus de cent soixante kilométres à l’heure, empêche de voir à plus d’une quinzaine de centimètre du bout de son nez, elle ne pourra voir l'assassin et son piolet approcher.
C’est un policier américano-canadien réalisé par Dominic Sena avec donc, Kate Beckinsale, Gabriel Macht et Tom Skerritt. Ce ne sont pas de grandes vedettes encore mais vous avez surement vu la belle Kate, la vampire de la série des Underworld ou Gabriel Macht revêtir la cravate rouge du « Spirit » quand à Tom Skerritt, il a déjà une bonne et grande carrière derrière lui. C’est un peu pour cela que je m’insurge une nouvelle fois contre ces critiques à l’emporte pièce qui croient bon tirer sur tout ce qui bouge et en viennent à écrire : « Pas de mise en scène, une scénario vu, revu et recraché, pas de suspens, un coup de théâtre attendu et téléphoné, une fin bâclée, des acteurs nuls, un décor de carton pâte et des effets spéciaux à pleurer, et j'en passe... »
En fait, Whiteout est l'adaptation de la bande dessinée du même nom de Greg Rucka et Steve Lieber, publié il y a plus de dix ans. Aussi, dire que le scénario est vu et revu, c’est un peu vrai mais c’est aussi ce que l’on attend d’un film de série B. Parce que c’est ce que vise avec succès ce film. Il doit nous divertir pas nous surprendre ou nous pousser à réfléchir. Avec lui, vous en avez pour votre attente : c’est un film policier, et rien qu’un film policier. Un bon suspens même si vous devinez assez vite qui est le méchant dans l’histoire. Quand au décor, celui qui a écrit cela devrait sortir un peu de chez lui et aller voir à quoi ressemble vraiment une banquise.
Nous avons passé une excellente soirée parce que nous avons vu ce que nous voulions voir : un film policier.