lundi, août 02, 2010

Effeuillons la marguerite


Vous avez du remarquer que je vais assez fréquemment au cinéma, une habitude qui m’est restée du temps où à Paris une place coutait 50 centimes, de Francs pas d’euros. Tous les jeudi après midi puis après les mercredi, je me précipitait voir des westerns comme la série des Trinita, de la science fiction avec celle de la planète des singes, un peu d’horreur et beaucoup d’action. Je suis un cinéphage et je sais que si la Miss m’y accompagne, c’est plus pour me faire plaisir que pour le programme. Quand en sus on est l’heureux possesseur d’une carte pass des cinéma Gaumont et que l’on est bien obligé de reconnaitre l’incommensurable indigence des programmes télévisuels, ce quelque soit le nombre de chaines « offerts » par le satellite, on peut se permettre d’aller voir jusqu’à la plus confidentielle des œuvres cinématographiques en exploitation dans l’une des salles de la société. Si en plus le mois de juin se révèle aussi chaud, on aspire à retrouver dans les salles obscure un peu de fraicheur et d’exotisme.


Amiens a toujours eu de beaux cinémas mais souffrait, et souffre toujours, d’un manque de concurrence. Ses principaux cinémas ont toujours été exploité ou sous licence Gaumont. Jusqu’en septembre 2005, deux cinémas, le Paris et le Picardy se partageaient les cinéphiles amiénois, mais à cette date, fut ouvert le complexe Gaumont de 12 salles. Ce complexe, les amiénois l’ont longtemps attendu. Tout le monde ressentait la nécessité de sa création mais sa réalisation dura plus de cinq ans. Il fallut tout d’abord trouver le lieu idoine : On a pensé un temps l’implanter à la périphérie de la ville à côté de l’une des grandes surfaces et des zones d’activités commerciales correspondante mais c’est autant la volonté des amiénois que pour des raisons pratiques(absence de transport en commun le soir et le week-end) que ce choix ne fut pas retenu. Il fallut donc trouver un lieu en centre ville suffisamment vaste pour abriter le complexe et le parking correspondant. On pensa un temps à l’îlot Yvert, en plein centre piétonnier, mais c’est la société Gaumont qui refusa cette solution. En effet, ce faisant, elle prenait le risque que les locaux qu’elle quittait ne fussent repris par la concurrence et ce à deux pas de son nouveau complexe.


Enfin, tout le monde tomba d’accord pour utiliser un lieu en plein essor et en total remaniement. Le quartier de la gare. Il y avait là, l’ancien garage Geudet, relocalisé près du Leclerc de Rivery. Cette îlot devait être refondu en un vaste parc allant de la gare du Nord à la gare St Roch en longeant la ligne de chemin de fer. Il suffisait d’utiliser la partie la plus proche de la gare pour que cela n’ampute que de très peu les autres projets (qui depuis on subit bien des remaniements). Il y eu ensuite des retards dus aux fouilles puis à des infiltrations d’eaux, fuites de gaz enfin bref, les travaux prirent bien du retard.


Les plans de ce multiplexe prévoyaient quinze salles mais furent révisés à la baisse peu avant la construction et du projet initial il ne reste que douze salles soit en fait autant qu’en disposaient les amiénois avant la disparition du Paris et du Picardy. Au moins sont elles toutes sur le même site, car je me souviens de queues interminables du temps de la sortie de « Titanic » qui allaient d’un cinéma à l’autre, longeant les trottoirs de la rue des trois cailloux.


Au niveau architectural, la gageur consistait a supprimer toutes vibrations et toutes ondes sonores en provenance des voies de chemins de fer de la gare mais aussi celles, enterrées, menant à la gare Saint Roch. La société exploitant les deux cinémas Gaumont, Europalaces Picardie confiât donc le problème aux architectes P.Chaix et J.P. Morel a qui l’on devait la toutes récente(1999) réussite du stade de la Licorne dont les immenses parois vitrées et courbées, tout en donnant une impression de légèreté, protègent des intempéries les supporters et du bruit les habitants des environs.


Ils imaginèrent un espace, je cite : « De jour, il se révèle tel un volume flottant aux éclats métalliques ondulants sous la lumière naturelle. De nuit, sa peau devient translucide et laisse percevoir la vie interne du bâtiment. Par transparence, elle crée un jeu de plans, d’ombres et de lumières rythmés. Support de projections, elle offre une nouvelle toile de cinéma à la ville, telle une lanterne magique. ». En effet, ils nous construisirent au dessus d’un parc de stationnement insonorisant(3 niveaux, 500 places) une structure métallique de plus de 8726 mètres carrés qui tel une habitation sur pilotis flotte sur la ville et recouverte de deux voiles métalliques alvéolés et imbriqués, l’un doré et l’autre rouge.


Malheureusement pour ce cabinet d’architecture, il semblerait que la peinture ne résiste pas aux assauts du temps et l’aspect métallique a disparu. Enfin, bref, au niveau architectural, cela donne un bâtiment tout en rondeur et sur pilotis, d’un rose fade le jour et d’un beau rouge la nuit grâce à un néon rouge qui coure au bas de la structure. A son rez-de-chaussée, on trouve outre un vaste hall d’accueil et sept petites salles, un restaurant (le 7ème art). Au premier étage, les cinq autres salles soit en tout 2750 places.


Le grand hall est décoré par le célèbre couturier Christian Lacroix qui a décliné les tons rouges et chaleureux du logo de la société Gaumont, la célèbre marguerite que l’on retrouve non seulement sur la moquette mais aussi dans la forme des canapés tout comme aux plafonds. En effet, de profonds canapés tout comme des poufs sont disposé dans ce grand hall et nous permettent de voir sur de grands téléviseurs les bandes annonces des prochains films à l’affiche. Cet espace recueille parfois des expositions. Il y a là aussi, une large borne où acheter ses billets lorsque l’on ne les prends pas aux bornes automatiques disposées devant les portes d’entrée. Il y a aussi un espace en forme de fer à cheval où choisir ses confiseries avant d’accéder aux différentes salles.


Au rez-de-chaussée donc on trouve les sept premières salles. Le numéro des salles est peint en très grand sur les portes. C’est à l’étage que l’on trouve les plus grandes salles, trois sont dotées d’écrans de plus de vingt mètres carrés adaptés pour la 3D.


Les fauteuils, du moins ceux qui n’ont pas étés vandalisés, sont larges et confortables. Le son est bien balancé et les salles fort agréables. Des emplacements pour handicapés sont prévus, même si ils ne sont pas toujours respectés.


Bref, c’est un lieux fort agréable où le personnel est très aimable et où l’on passe d’excellents moments.

samedi, juillet 31, 2010

Un test...un bisou

Vous avez surement entendu parler de la campagne de publicité « un test…un bisou », mais ce test de la glycémie qu’est-ce exactement ?
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Les personnes atteintes de diabète comme c’est mon cas doivent relever leur taux de sucre dans le sang au moins une fois par jour. Pour ce faire, leur médecin leur a prescrit un lecteur de glycémie.

Ce lecteur est accompagné d’un auto-piqueur et de bandelettes réactives.
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L’auto-piqueur est un outil destiné à faire une petite piqure plus ou moins profonde afin de faire sortir une petite goutte de sang. Vous remarquerez que contrairement à ce que l’on pourrait penser, on ne se pique pas la pulpe des doigts car sinon, on perdrait la sensibilité des doigts au bout d’un certain temps. Il vaut mieux se piquer sur le côté des doigts, la peau y est un petit peu plus épaisse mais il y a plus de place. Avant de se piquer, il est conseillé de bien se laver les mains en évitant bien évidemment d’utiliser une solution hydro-alcoolique puisque je vous rappelle ces solutions contiennent du sucre.

Les bandelettes réactives sont de deux modèles. Il y a celles qui aspire la goutte de sang et la teste ou celles qui lisent la glycémie à partir de la couleur d’une zone réactive. Celles que j’utilise l’aspire. Il faut faire attention à ne pas abimer les bandelettes c’est la raison pour laquelle elles sont stockées dans une petite boite de plastique.

Il y a encore deux type de lecteurs, ceux qui enregistrent le résultat et en tirent des statistiques directement ou d’autre qui ne sont pas dotés de cette fonction.

Pourquoi lire quotidiennement sa glycémie ?
L’intérêt est simple, il s’agit d’aider à modifier ses propres comportements vis à vis d’une alimentation sucrée mais aussi dans sa façon de vivre la maladie.

Il faut savoir concernant le diabète qu’en principe si notre corps fonctionne normalement, le sucre est stocké dans un certain nombre de cellules, celles du foie et des muscles. Toutefois lorsque le pancréas ne fournit plus l’insuline qui favorise la pénétration du sucre dans les cellules, celui-ci se retrouve dans le sang…En principe pas de problème, il sera éliminé dans les urines mais lorsque c’est trop fréquent, il fini par se stoker dans des lieux irrigués par de fines capillaires. Là, les reins, les yeux et les pieds trinquent quand ce n’est pas l’artériosclérose.

Il faut donc lire sa glycémie pour pouvoir corriger le tir.

Il existe en effet toute une artillerie d’astuces alimentaires pour faire baisser ce taux de sucre dans le sang. En voici quelques une :
Aliments pauvres en glucides (5 %) pouvant être consommés librement : Toutes les viandes, poissons, mollusques, crustacés, œufs, fromages et matières grasses (librement mais avec modération). Certains légumes verts: aubergine, asperge, céleri en branche, choux blanc et rouge, chou-fleur, champignon, chicorée, concombre, cresson, courgette, endive, épinard, laitue, scarole frisée, poivron, tomate, mâche, côte de bette, radis, certains fruits comme le pamplemousse, orange, melon, pastèque, mandarine, fraise, framboise, mûre.
Consommer des champignons contenant peu de glucides
Consommer du riz basmati dont l’index glycémique est moins élevé que le riz blanc
Assaisonner les plats avec du jus de citron qui permet d’abaisser le taux de la glycémie (plats et crudités)
Penser également à préparer des jus de citron, sans ajouter de sucre avec de l’eau minérale.
Consommer des fibres : les fibres permettent de diminuer la vitesse du passage du sucre dans le sang
Légumes verts
Céréales complètes non raffinées : avoine ou blé complet
Légumineuses comme les lentilles mais pas de carottes ni de betteraves.
L’eau : en boire au minimum un litre par jour. Augmenter sa consommation en cas de forte chaleur ou lors d’activité sportive
Choisir les Soda « light » ou de préférence sans sucre.
Café, thé, infusions peuvent être consommés mais sans sucre ou avec un édulcorant
Penser au jus de citron, mais sans y ajouter de sucre
Ne pas oublier les jus de légumes, mais éviter ceux contenant des carottes et betteraves
Il est possible de consommer de l’alcool quand on est diabétique, mais en adoptant certaines règles et en en buvant en quantité limitée. Préférez le Whisky, la vodka et le gin enfin des alcools secs.
Mais attention, certains aliments sont strictement interdits : les bananes, le raisin, les figues fraîches, les marrons ou châtaignes, les dattes et tous les fruits secs et séchés, fruits confits ou en conserve. Presque tous les desserts: sucre et sucreries, bonbons, chocolat, nougat, pâte de fruit, confiture, miel, pâtisserie, pain d'épice, lait concentré sucré. Les liqueurs, le vin sucré, le cidre ou la bière, l’eaux-de-vie, la limonade, les sodas, sirops et jus de fruits du commerce sucrés.

vendredi, juillet 30, 2010

Cycloville



Cela fait déjà quelque temps que j’ai envi de vous parler de Cycloville depuis que nous avons discuté avec ses chauffeurs sur la place Gambetta. C’est un mode de transport zen et écologique qui est mis à disposition des amiénois comme de nombreux autres habitants de France.

C’est un système de tricycle, une sorte de pousse-pousse. Nous avons pu constater la gentillesse des chauffeurs et je trouve ce système idéal pour les habitants du centre ville depuis que la municipalité a choisit de supprimer tout un tas de petites lignes du centre ville.

Il y a un système de réservation et de prise en charge à domicile. Quand au coût, car il faut bien payer le service, en dehors de la prise en charge, c’est calculé au kilomètre pédalé et à la minute d’attente. Vous pouvez ainsi faire vos course et revenir chez vous par le même système.

Enfin, si vous voullez plus de renseignements, vous pouvez téléphoner au 06.67.67.36.97 ou allez faire un petit tour sur leur site : www.cycloville.com

jeudi, juillet 29, 2010

Chaussettes


Bleu
Originally uploaded by Maman Xuxudidi.

Ce matin en passant devant l’arrêt de bus de la rue de Beauvais( ne cherchez pas pour quelle raison je suis passé par là, c’est ainsi) ; donc, ce matin, à l’arrêt d’autobus, quatre personnes(un peu plus mais seules 4 comptent) attendaient et je me suis fait l’importante réflexion suivante :
L’âge a t’il une influence sur la hauteurs des chaussettes ?
Je vous assure que si comme nous la veille vous aviez fait un nombre impressionnant de magasin à la recherche de chaussettes « tiges basses de couleur noir », l’importance de la question vous sauterait aux yeux d’aussi évidentes façon qu’elle le fit à la vue de ces quatre tranches d’âges poireautant dans des tenues aussi similaires que personnalisées.
Mes chaussures préférées ont tendances à déteindre sur mes chaussettes. La puce en a marre de laver des queuchettes d’où la couleur noir. Tiges basses parce que j’ai toujours les pieds chauds.
Bon, pour en revenir à cette très importante question, des quatre personnes, l’aîné était un vieux monsieur d’environ 70-80 ans vêtu d’une chemisette blanche et d’un bermuda beige. Il avait de hautes chaussettes blanche sur une paire de chaussures orthopédiques beiges. Eut-il été coiffé d’un casque colonial, que l’on eu cru Tintin au Congo.

Le second, un mal élevé sans doute, était étalé avec au moins deux gros sac sur le petit banc de l’arrêt, enfin bref, c’est pas le sujet. Donc, le second avait un look plutôt golfeur : la quarantaines avachie sur un polo blanc genre Lacoste et un bermuda à gros carreaux, socquettes blanches et mocassins bateaux blancs et bleu.

Le troisième, je dirais entre vingt et trente ans, ce n’est pas toujours facile à déterminer. C’est un accro au portable que le pilier de l’abribus soutenait. Un gros sac besace au travers de son T-shirt noir moulant et un pantalon beige, d’au moins dix tailles trop grand, avec un gros feu de plancher et un nombre incalculable de poche. Lui au moins avait trouvé des « tiges basses » grises pour mettre dans ses baskets.

Enfin, le dernier, un mioche en plein dans l’âge bête n’en avait carrément pas. Il sortait avec un borsalino mais pas de chaussettes. D’immenses baskets sans aucun lacets, sur un bermuda à fleures tous droit sorti d’une plage hawaïenne, chemisette blanche et cravate en cuir.

Je me souviens d’un temps où les chaussettes avaient toutes la même taille ou à peu de choses prés et l’on se démarquait alors en les relevant ou les baissant quand on ne faisait pas les deux d’un coup (une jambe relevé et l’autre abaissée). N’est-il pas étrange que ce petit accessoire de mode soit devenu au fil du temps une part de notre identité ?

Broceliande - Habits de Printemps pour Ponthus

Pour ceux qui n'ont pas encore lu l'histoire:
For those who didn't read yet the story of this famous tree (english translation above)

Le hêtre de Ponthus est l'un des plus vieux et des plus merveilleux arbre de Broceliande.
La légende raconte les amours de Ponthus et de la belle Sydoine. Ponthus, fils du roi de Galice, est chassé de son pays par les Sarrasins. Le prince fuit par la mer et rejoint le port de Vannes. Il y est accueilli par le roi de Bretagne. A la cour du monarque, Ponthus rencontre Sydoine : ils se plaisent. Or les Sarrasins débarquent à Brest. Ils menacent la Bretagne. Une violente bataille s'engage. Ponthus fait preuve d'une grande bravoure : l'envahisseur est vaincu. En récompense, le prince est fait connétable et le roi lui accorde la main de Sydoine. Mais jaloux, le propre ami de Ponthus, Guennelet, trahit son maître. Il le calomnie : le prince est banni de la cour.

Où se réfugie-t-il ? Dans la forêt de Brocéliande bien sûr. Sept ans se passent. Guennelet, n'ayant pu obtenir les bonnes grâces de Sydoine, il décide d'en finir avec Ponthus. Le traître se rend en Brocéliande où il défie le valeureux chevalier. Un combat à mort s'engage. Pendant douze jours, les deux hommes s'affrontent dans un corps à corps monstrueux. Au soir du douzième jour, Ponthus tranche la tête d'un Guennelet épuisé. Rien ne s'oppose alors à son retour à la cour du roi de Bretagne où il épouse Sydoine en justes noces. Pour commémorer sa victoire, Ponthus fera planter un hêtre sur le lieu même du combat.

Ne le cherchez pas sur une carte, vous ne l'y trouverez pas, la vue de cet arbre ne s'offre qu'à quelques privilegiés qui l'ont croisé par hazard ...


The beech of Ponthus is one of the oldest and of the most magnificent tree of Broceliande.
The legend tells the courtship of Ponthus and beautiful Sydoine. Ponthus, son of king of Galicia, is hunted by his country by the Saracens. The prince avoids(flees) by the sea and joins the port of Vannes. He is welcomed by king of Brittany there.
In the court(yard) of the monarch, Ponthus meets Sydoine: they fall in love. Now the Saracens land in Brest. They threaten Brittany. A violent battle makes a commitment. Ponthus shows a big bravery: the invader is overcome. In reward, the prince is made supreme commander and king gives him the hand of Sydoine. But jealous person, the own friend of Ponthus, Guennelet, betrays his boss. He libels him : the prince is banished from the court(yard).
Where does he take refuge? In the forest of Broceliande naturally. Seven years take place. Guennelet, not having been able to obtain the good graces of Sydoine, it decides to finish it with Ponthus. The traitor goes(surrenders) in Broceliande where he challenges brave knight. A fight with death makes a commitment. During twelve days, both men are in confrontation in a monstrous hand-to-hand fight. In the evening of the twelfth day, Ponthus cuts the head of exhausted Guennelet.
Nothing opposes then to its return in the court(yard) of king of Brittany where he wife Sydoine in just wedding.
To commemorate its victory, Ponthus will make plant a beech on the place of the fight.

Do not look for him on a map, you will not find him there, the sight of this tree offers itself only to some privilegiés which crossed him by hazard...
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( Source : Yves Thétiot, lu sur britia.com)

mercredi, juillet 28, 2010

ortografe

J’adore la nouvelle campagne de Google qui, jouant la carte de l’humour, se moque des fautes d’orthographe dont les internautes émaillent leurs requêtes. En effet, on est parfois surpris des résultats obtenus avant de se rendre compte que notre demande comporte une faute d’orthographe ou correspond à un lapsus clavial.

L’agence de pub « Grey Istanbul » a choisi de présenter 3 de ces recherches farfelues accompagnées malheureusement d’un slogan anglophone. Heureusement, il s’agit de phases simple digne d’un niveau sixième :

Did you mean ? Astronaut ? car Astronut ça ressemblerait à ça !

Did you mean ? Battleship ? car Battlesheep ça ressemblerait à ça !


Did you mean ? Jetlag ? car Jetleg ça ressemblerait à ça !

mardi, juillet 27, 2010

Panel


Je fais partie d’un panel qui étudie l’influence et l’importance d’internet dans notre vie. Cela consiste a déterminer le temps passé sur internet et les états de pensé correspondant ainsi que l’influence de la publicité et notre réactivité à sa visualisation. Dans l’ensemble les résultats devraient être assez intéressant. En attendant, 24 heures sur 24, je dois noter à la minute près mes actions liées à la mise en réseau, les lieux, les appareils, motivations et raisons qui me font me connecter ainsi que la nature de l’activité effectuée. Cela ralentit considérablement ma présence sur les réseaux sociaux puisque pour le moindre chargement de page, il me faut bien une à deux minutes pour en reporter la codification dans un tableau qui ne me quitte pas. Heureusement, cela finira pour moi ce soir à minuit.

Lion de Belfort


Lion de Belfort
Originally uploaded by mrFarenheit.

Je ne sais pas pourquoi, mais il y a deux jours que ne cesse de me revenir en mémoire un souvenir de mon jeune temps. Alors, je faisais déjà ce que je fais encore aujourd’hui, des courses pour des tiers. En effet, pour la charcuterie de mes parents, il m’arrivait assez fréquemment comme mon frère d’ailleurs d’effectuer des « livraisons ».

Or, parmi les clientes de la charcuterie, il en était une qui nous demandait toujours de lui apporter, en même temps que ses deux fines tranches de jambon, un sachet de un à deux kilogrammes de graines de maïs ou de blé de la graineterie en face de chez nous.

Elle était atteinte d’agoraphobie(elle ne supportait pas de sortir de chez elle.). C’est la raison pour laquelle elle nous demandait systématiquement de lui livrer ses courses. Mais, dans le même temps, elle souffrait aussi de claustrophobie( elle ne supportait pas de rester enfermée.). Je sais maintenant que ces deux pathologies sont souvent liées mais à l’époque, pour un jeune garçon de douze ans, son comportement était assez choquant.

C’était l’une de ces gloires déchues du monde du théâtre de boulevard et son appartement était plein des traces de ses succès d’antant. Elles s’empilaient en tas disparates de l’entrée à la chambre à coucher. Il y avait là des piles entières de programmes de théâtre, de partitions de musique, de manteaux de fourrures et de robes à paillettes, des boites à bijoux remplies de strass, des monticules de sacs à mains et autres pochettes, tout un tas de fournitures et accessoires de mode qui eurent fait le bonheur de bien des jeunes filles si…si…

Il y avait en fait, un « hic ». Sa claustrophobie se traduisait en actes par l’ouverture systématique de toutes les fenêtres de son appartement très haussmannien. Ainsi, elle avait de très et trop fréquentes visites de tous les pigeons du quartier. Elle combattait le froid et le vent en revêtant par dessus ses robes de chambre de longues et épaisses fourrures que le temps avait pelées mais que les fientes durcissaient. L’appartement en était plein et lorsque j’apportais sa commande et qu’elle entamait le sac de graine, le salon s’emplissait d’ailes et de plumes.

Comme il lui était interdit de jeter des graines aux pigeons sur la voie publique, elle le faisait dans son propre salon, les jetant au beau milieu de son fatras. On n’y voyait les volatiles picorer son beau mobilier, faisant tomber ses livres, ses bibelots et déféquant dans sa faïence fine.

J’entrais toujours dans cet appartement en me bouchant le nez tant l’odeur était entêtante. Je faisait bien attention de ne marcher que dans les traces à peu près propres qui sillonnaient toutes pièces de chemins sinueux. Il me fallait prendre garde à ne pas toucher ou heurter une des piles car sinon, j’étais sûr d’en rester souillé.

Si nous acceptions de nous rendre chez elle, c’est essentiellement parce que ne quittant jamais son appartement, elle nous réglait ses commissions avec énormément de largesse. N’ayant que très rarement de la menue monnaie, nous avions pour notre peine, comme pourboire, ce qui resterait du billet qu’elle nous donnerait. Cela pouvait ainsi se monter à près de neufs francs ce qui à l’époque correspondait à plus d’une quinzaine de séances de cinéma tous comme les jours de malchance se monter à quelques centimes. Certes maintenant cela vous fait rigoler mais à l’époque avec une pièce de deux centimes de francs vous aviez deux ou trois parties de flipper. Enfin, nous avions de bons pourboire.

Pour en venir au souvenir qui me hante ces derniers temps : un jour, que le montant de ses courses tombait pilepoil, alors qu’elle réalisait qu’il ne me resterait rien, elle attrapa sur le buffet de son salon, sans se retourner, une masse informe recouverte de fiente, qu’elle roula entre les pages d’un journal avant de me la remettre comme pourboire. Ni elle, ni moi ne savions ce dont il s’agissait. Ce n’était pour moi qu’un poids, c’était lourd. Je me demandais si il s’agissait d’un quelconque trésor. C’est ce souvenir qui me reviens, ma hâte de savoir ce que pouvait bien contenir ce journal roulé, qui me pesait tant sur le chemin du retour.

Il s’agissait en fait d’une reproduction en biscuit du lion de Belfort pour ceux qui connaissent. Mais lors de ce trajet d’une vingtaine de minute à pieds entre cet appartement et chez nous au faubourg Saint Denis, mon imagination en faisait des trésors sans prix. C’est un peu étrange que près de quarante ans plus tard, ce souvenir remonte ainsi à mon esprit, mais c’est ainsi.

lundi, juillet 26, 2010

Achat du week-end


Même si Amiens est une ville universitaire de plus de 130.000 âmes, bien souvent, à l’issue de la messe dominicale, elle se transforme en ville morte. Lorsque c’est le cas, comme nous ne sommes pas des adeptes du cocooning télévisuel, nous nous empressons, comme beaucoup d’autre, de la déserter.

C’est ainsi qu’après avoir passé notre samedi à finir la chappe de béton de la future terrasse du fiston, nous avons décidé dimanche d’aller nous plonger dans l’univers mercantil compris entre la ville de Franconville et celle d’Eragny au nord ouest de Paris. Il s’y trouve une portion de route où les magasins et autres supermarchés ne semble pas connaître de repos hebdomadaire.

Nous y étions partis dans l’espoir d’y trouver un petit sac de croquettes pour nos deux goinfres. En effet, le déplacement de la centrale de distribution du site Wanimo ayant entrainé un peu de retard dans les livraisons, le sac de vingt kilo de croquettes que nous avions commandé n’est toujours pas arrivé. Enfin, cela c’était le pretexte pour justifier les cent vingt kilométres de trajet…

Nous avions donc rendez-vous avec les enfants au grand magasin Truffaut de Francoville pour 15 heures. Pour une fois, notez le dans les plaquettes, nous étions à l’heure. Bien évidemment, nous avons tout de suite trouvé ce que nous étions venu cherché et nous avons donc visité d’autres points de vente dans divers domaine.


En particulier, nous avons étè à Castorama d’ou nous sommes repartis le soir avec une table pliante en métal de couleur Thym pour agrémenter notre petit balcon les jours où nous déciderions de déjeuner au soleil. En effet, notre petit salon de jardin est parfait pour la taille du balcon, mais lorsque nous voullons faire un petit barbecue, même avec le barbecue électrique, nous enfummons tout l'appartement, chose à laquelle nous n'étions pas habituée à la maison.


C'est pourquoi nous avions opté pour une cuisine en extérieur et l'installation du barcecue sur la terrasse. Malheureusement, les deux gloutons ne nous laissent que peu de choix. Ils peuvent facilement monter sur la table basse du salon de jardin. Croyez-moi, la chaleur du barbecue ne les décourrage pas lorsqu'il s'agit de voler une merguez ou un blanc de poulet mariné. Il nous fallait donc une petite table mais plus haute afin de pouvoir cuisiner à l'abris des babines. Mais aussi une table qui se plie et ne tienne pas de place lorsque l'on en a pas besoin, que nous puissions facilement descendre au garage l'hivers et ressortir aux premiers beaux jours.


Nous avons donc choisi cette petite table pliante en métal, de couleur : Thym. Sa structure est en acier, la finition en poudre de polyester. Elle a un diamétre de 70 cm pour une hauteur de 71 cm. Elle pése moins de 11 kilogrammes. L'avantage d'une finition en poudre de polyester c'est qu'il suffit de nettoyer le métal à l'eau claire ou savonneuse mais sans détergent et ne pas couvrir la table avec une bâche plastique ou une nappe. On profite ainsi pleinement de sa couleur. La couleur thym est un gris entre le vert et la rouille assez passe-partout. Nous avions bien pensé prendre le modèle de couleur verte mais comme nous avons prévu l'an prochain de recouvrir les dalles de la terrasse d'un de ces gazon synthètiques doux au toucher, nous avons eu peur que cela ne fasse trop ton sur ton.

José SWARTVAGUER


Bonjour à tous,
José SWARTVAGUER est décédé dimanche dernier à l’âge de 82 ans. Certains ont pu rattacher son nom à Amiens-Jeunes en lisant le Courrier Picard (pièce jointe) puisqu’il demande qu’en lieu et place de plaques et fleurs soient faits des dons au foyer de vie d’Harbonnière et comme il aimait à le dire au Noel des vieux d’Amiens-Jeunes.
Alors qu’il était scout il a été avec d’autres compères fondateur du mouvement Amiens-Jeunes et créateur du 1er Noël dans tous les Cœurs en 1962. Cela a été sa grande fierté et lors de son hommage, Amiens-Jeunes a beaucoup été citée au milieu d’une belle vie d’engagement. La nef de la cathédrale était pleine.
Nous avions eu contact avec lui lors du 40eme NDTC. Il était très fier d’avoir été retrouvé et il aimait à nous raconter les débuts du Noël. Il nous avait rencontré à AGORA et était venu le soir de Noel avec son épouse. Il est à ma droite sur la photo.
Chaque année sa fille Marie-Odile me racontait qu’il se précipitait vers le chalet pour vérifier qu’un nouveau Noël serait bien organisé. Il ne manquait pas non plus de faire un don
Je lui avais promis que nous irions avec brio jusqu’au 50eme. Sa fille m’a rappelé à cette promesse à la fin des obsèques.
Baloo, ta grand-mère a selon Marie-France le livre de souvenir écrit par Mr Swartvaguer, pourras-tu nous récupérer copie des passages concernant l’asso.
La semaine prochaine j’enverrais une lettre à son épouse. Sa fille nous fera parvenir les enveloppes récoltées à l’issue des obsèques. Merci de ne pas aller les réclamer (je sais c’est évident) et de surtout remercier (je sais c’est évident).
J’ai été touchée par ses obsèques – il ramène à l’importance de nos engagements envers les autres et à l’affection commune à l’asso qui la rend d’autant plus précieuse.
Bonne soirée
Bises à tous
Anne-Claire

vendredi, juillet 23, 2010

Drenched...


Drenched...
Originally uploaded by Richard Pardon Photography.
Désolé mais j'étais sur Flickr a admirer les nouvelles photos de la semaine sur l'Explorateur. On n'y retrouve à la quinzième place ce magnifique "schoot".

Not your usual Sunday morning....1:00AM GMT and I'm stood outside. My mother and brother wielding a bucket of water and my 5DMkII.

We wanted to get this shot in one take (still not sure why I thought it was a good idea at this time of the morning) to minimise my chance of pneumonia. 40 buckets of water later, and i'm a shivering wreck!

Was it worth it? Well my brother and mother sure thought so, and having just learnt it made it onto explore at number #15, i'd agree!

Strobist : 580EX II Off Camera Left, 430EX Off Camera Right. ST-E2 Trigger

Photoshoot - Drenched
RP Photography On Twitter

soit :

Non votre dimanche habituel matin….1 : GMT 00AM et I' ; m s'est tenu dehors. Ma mère et frère utilisant un seau de l'eau et de mon 5DMkII. Nous avons voulu obtenir ce projectile dans une prise (pas sure pourquoi j'ai pensé c'était toujours une bonne idée à ce moment du matin) pour réduire au minimum ma possibilité de la pneumonie. 40 seaux de l'eau plus tard, et i' ; m une épave de tremblement ! Était-elle en valeur elle ? Jaillissent mon frère et enfantent la pensée sûre ainsi, et après l'avoir apprise juste l'a faite sur l'explorer au nombre #15, i' ; d conviennent ! Strobist : 580EX II outre d'appareil-photo est parti, 430EX outre de la droite d'appareil-photo. Déclenchement ST-E2 Photoshoot - trempé Photographie de RP sur le Twitter

Champagne des vignerons

jeudi, juillet 22, 2010

Football féminin


7even headless ...
Originally uploaded by Sam' place.


Dans le cadre du développement de la pratique féminine, la ligue de Picardie, via ses Districts, souhaite mettre place une pratique accessible pour toutes les jeunes filles.

Afin de mettre en oeuvre ce projet, nous vous sollicitons afin de savoir, si dans votre secteur, vous avez connaissance d'une personne qui souhaiterait développer cette pratique.

Le profil recherché, est une personne ayant de la disponibilité, capable de tisser des relations avec les institutions locales (écoles, collèges, Centre de Loisirs, service municipaux....) et avec l' envie de faire découvrir notre football aux féminines.

Si vous êtes intéressé, vous pouvez laisser vos coordonnées à la Ligue de Picardie auprès de Mlle Willay Odile: ctrf@picardie.fff.fr

Régles pour les fonctionnaires

Dans le cadre du service public de diffusion du droit, la DGAFP(Direction Générale de l'Administration et de la Fonction Publique) a mis en ligne la nouvelle version de la Base de données Juridiques de la Fonction Publique (BJFP) qui contient 12 000 textes législatifs et réglementaires applicables aux agents de la fonction publique dans ses trois versants : État, territoriale et hospitalière. Cette nouvelle version est dotée d'un moteur de recherche performant qui facilite et l'accès au fonds documentaire.

Depuis son ouverture, la BJFP a élargi son champ aux circulaires et de nouvelles possibilités de requêtes viendront enrichir le site au cours de l'année 2010.

- Accéder au site de la BJFP

Une petite crise

insecte volant
Je me suis fait piquer par un tout petit insecte de rien du tout au niveau de l’avant bras gauche. En temps normal, ce ne serait pas bien grâve, mais là, il s’y est formé une induration que je ressent dans tout le bras. Cela me gratte et me démange…

Je ne sais pas si la chaleur ambiante provoque la prolifération des bestioles qui infectent la petite plaie résultant de la piqure, ou si mon corps allergique est saturé mais il est fréquent qu’en ces période de grandes chaleures j’ai ce genre de réaction à la moindre petite piqure.

C’est chiant.

La taxe Demailly


Voici venir le temps de la « Taxe Dewailly ». L’ancien maire s’est fait viré pour ses travaux pharaoniques mais le nouveau le sera pour son avidité grandissante.

Le stationnement résidentiel qui est actuellement gratuit à Amiens va devenir payant à partir d'octobre dans certains quartiers. Le macaron nécessaire pour stationner dans le quartier Sainte Anne serait , non, sera à 50 euros pour une voiture et surement plus pour deux. En janvier, ce sera au tour du bas du quartier d'Henriville, chez nous justement ensuite viendra le quartier de la Gare-La Vallée.

Aujourd'hui, le stationnement est résidentiel dans ces quartiers. C’est à dire gratuit pour les résidents et payants pour les autres. C’est l’ancienne municipalité qui avait déjà expérimentée le résidentiel avec 715 places à Sainte-Anne. Ce système ne valait que pour ce quartier proche de la gare. Mais en isolant le secteur, le problème s'est déplacé sur les zones voisines. Pour la ville, l'argument est avant tout financier. Entre les recettes d'horodateur et la surveillance du périmètre, le stationnement résidentiel est déficitaire de 50 000 €. Certes, le prix d’un macaron à 50 euros peut semblé faible, bien que l’on ne nous ai pas informé de la fréquence de ces payements, vis à vis des tarifs pratiqués par Vinci Parc.

Moralité, plutôt que de limiter le nombre de pervenches, faire construire plus de parking, augmenter le nombre de lignes de bus ou faire payer les travailleurs migrants, notre municipalité ne trouve pas mieux que de porter la main au portefeuille de ses concitoyens. C’est si simple.

mercredi, juillet 21, 2010

José Swartvagher


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Originally uploaded by francois et fier de l'Être.
Nous apprenons ce jour le décès dans sa quatre vingt deuxième année de monsieur José Swartvagher. C’était l’un des fondateurs de l’association Amiens-jeunes mais aussi l’un des administrateur de la maison de retraite où travaillait Claudine. Il lui a d’ailleur remis la médaille de travail en son temps. J’ai eu aussi le plaisir de le cotoyer lors de nos permanences au bureau de vote.

Il nous laissera le souvenir d’un homme très humain et fort impliqué dans la vie sociale locale.

Les obsèques religieuses auront lieu se mercredi à 16 heures en la cathédrale d’Amiens, suivies d’une inhumation au cimetière de la Madeleine.

Nos pensées vont à ses proches en communauté de prière.

Que de François !


Trio
Originally uploaded by francois et fier de l'Être.


Décidement, encore un récidiviste. Malgré le message précédent : http://bof2eme.blogspot.com/2010/06/publicite-et-tracts.html ,
Je viens de recevoir un nouvel emel de ce Jean François(emel : andre@labcat.com.br ) :

Bonjour, Je suis Jean François.Je voudrais solliciter votre accord ? Recevoir un montant de deux millions deux cent soixante six mille USD (2.266.000 USD) en tant que mon proche parent.Sachez bien que cette fortune se trouve présentement dans une société de finances qui garde les biens des familles et transports aussi les biens vers l'étranger.J’ai décidé de vous contacter afin que vous m'aidiez a réceptionner mon héritage. Une fois que vous aurez réceptionné les fonds je vous recompeserz de 25% de de la somme totale.Si vous êtes consentant, prière de me contacter dans l'immédiat et je vous donnerez plus de détails. Recevez mes sincères salutations.Jean François

mardi, juillet 20, 2010

Questionnaire

Un petit questionnaire pour le groupe: www.flickr.com/groups/1452352@N22/

- Le principal trait de mon caractère: hautement bordelique, je démarre tout et ne fini que peu de chose.

- La qualité que je préfère chez un homme: la force

- La qualité que je préfère chez une femme: c’est bête à dire mais la féminité.

- Ce que j'apprécie le plus chez mes amis: leur patience

- Mon principal défaut: hautement bordelique, je démarre tout et ne fini que peu de chose. Déjà dis !

- Mon occupation préférée: Promener mes chiens

- Mon rêve de bonheur: je préfère le vivre que le rêver.

- Quel serait mon plus grand malheur ?: survivre à ma famille.

- Ce que je voudrais être: fier de l’Être.

- Le pays où je désirerais vivre: peu m’importe, chaque lieu a ses avantages.

- La couleur que je préfère: le rouge sang

- La fleur que j'aime: l’ancolie

- L'oiseau que je préfère: le piaf

- Mes auteurs favoris en prose: Homère, Apollinaire, Verlaine, Hugo, Beaudelaire, De Nerval, Prevert, Rimbaud, Léopold Sédar Senghor, Aragon, Ferrat, Ferret, Perret,…
.
- Mes poètes préférés: voir précédement.

- Mes héros dans la fiction: Arthur Dent, Peter Parker, Ned le pâtissier…

- Mes héroïnes favorites dans la fiction: Blanche (Bernie Bonvoisin), Mafalda, Miss Marple, Fifi Brin d’Acier…

- Mes compositeurs préférés: Léo Delibes, et tant d’autres selon leur œuvre…

- Mes peintres favoris: Magritte, Dali, Goya, Breton, Renoir…

- Mes héros dans la vie réelle : Il y en a tant.

- Mes héroïnes dans l'histoire: Mme Veil, …

- Mes noms favoris: propre (Claire, Blanche, Claudine, Matthieu), commun (mélancolie, aspiration, envollée)

- Ce que je déteste par-dessus tout : la mauvaise foi

- Personnages historiques que je méprise le plus: Adam

- Le fait militaire que j'admire le plus: la réddition de Jean le Bon

- La réforme que j'estime le plus: TOUTES réformes agraires.

- Le don de la nature que je voudrais avoir: la régénération

- Comment j'aimerais mourir: dans mon sommeil

- État présent de mon esprit: introspectif

- Fautes qui m'inspirent le plus d'indulgence: d’orthographe

- Ma devise: Vouloir c’est pouvoir.

Mimi comme tout


Oh ! Vous ne m’avez pas vu avec mon mimi petit sac à main ! Je l’ai trouvé à Carrefour. Ils l’avaient en deux coloris, l’un bleu azur/noir et l’autre vert pomme/noir. Claudine trouve que le vert pomme m’allait mieux au teint. Il est non seulement mignon tout plein mais en plus bien conçu et fort pratique.

Il est fait dans l’une de ces toiles modernes totalement lavables d’un coup de lavette à l’eau claire. Les anses sont larges mais tiennent bien en main. Il se ferme grace à une fermeture à glissière qui ne peut toutefois se deformer puisqu’elle est montée sur un support métalique qui maintient la forme du sac. La fermeture à glissière est dotée de deux navettes qui en permettent l’ouverture tantôt à gauche, tantôt à droite ou des deux côtés à la fois. Chaque navette étant terminée par un petit cordon plat festonné d’un fil de couleur rappelant la couleur principale du sac.

L’un des côtés est orné d’une petite poche fermée par un velcro. Elle est de couleur aluminium et apporte une touche de finition. A part cela, ce petit sac est doté de deux petits anneaux, un de chaque côtés de la fermeture à glissière. Chaque anneau est installés là pour recevoir le clipse d’une grande sangle qui permet d’utiliser ce sac en besace aussi. Je vous le dis, je suis mimi comme tout.
Oh ! Petit détail que j’ai involontairement ommis : non seulement il est mignon mais en plus il est pratique. En effet, la doublure interieur est en Ultra SafeMC, sans PVC ni plomb qui assure une isolation thermique de haute densité. Ainsi, mon petit gouter (de cinq litres maximum) peut être conservé jusqu’à trois heures. Or, en ce moment, c’est fort pratique.

lundi, juillet 19, 2010

Touffeur


Touffeur
Originally uploaded by francois et fier de l'Être.
En ces heures où le soleil cherche touristes a tanner,
L'air est si épais qu'il en viendrait a manquer.
Tout est statique, rien ne se meut,
Ormis, parasites, les grillons amoureux.
Le predateur du cru s'abrite en sa grotte ombreuse,
Rêvant, alangui au sortir d'une sieste parresseuse.
Il y a bien quelques demoiselles en robes bleues,
Trainant au dessus des rus et à l’ombre des creux.
Ou, sur un banc, un couple de vieux pruneaux désséché,
Regardant en silence, les vacances et le temps passer.
Dans leur habits de deuils ils profittent d’une treille,
Ses feuilles, son souffle léger, non son vin vermeille.
Dommage, la messe est toujours au matin, à cet heure
La cloche même repose sur la fraicheur de son chœur.
Il fait beau,
Il fait chaud.

Téléchargé par francois et fier de l'Être le 15 jui 10 à 1:49

The Vogons gang


The Vogons gang
Originally uploaded by bratislabat.

Hier, tandis que la foulle se dirigeait péniblement sous le soleil au bord des plages picardes, Claudine et moi avons entrepris de nous rendre, accompagnés de nos deux garnements, à la Foire à tout de Vron dans la Somme. Ce petit village tout en longueur est chaque année à la même date le lieu de la plus grande foire à tout du coin. Comme en plus la place centrale du village est joliement ombragée, nous nous sommes dit que pour nous autres citadins, c’était une bonne occasion de sortir de la fournaise.
Nous avons fait donc une petite heure de route dans la campagne car je préférais emprunter les chemins de l’école buissonière plutôt que de me méller au flot de migrants qui fuyait la ville vers la mer.
Mais, oh ! surprise lorsque nous sommes arrivés au village … le dessert, que dis-je pas même le moindre touareg en vu, les locaux préférants visiblement la fraicheur de leurs foyers. Toutes les places, la rue principale deserte, vide. Je ne pouvais même pas me reprocher d’être arrivé trop tard, tant il semblait évident qu’il n’y avait eu là aucune manifestation de quelque ordre que cela soit.

Vous connaissez la miss, c’était biensur de ma faute, je m’étais trompé dans la date, d’habitude c’est au mois d’aôut, etc… Je commençais à me demander dans quel monde parallèle nous étions tombé, si les Vogons avaient fait une lecture ou une raffle, ou les deux à la fois ou successivement. Bref, je me posais tout un tas de question lorsqu’une autochtone(pas une vogon s’entends) sans doute attiré par le début d’agitation que constituait la sortie de nos deux fauves, ou sa curiositée toute naturelle, s’en vint faire un tour sur son pas de porte. C’est par elle que nous apprîmes qu’un different entre le club de football local et la municipalité avait entrainé l’annulation pure et simple de la manifestation initialement prévue à la bonne date( et toc.).

Du coup, nous nous sommes empréssé de rejoindre les foules venus profiter du soleil dans la baie de Somme. Nous avons même fini la soirée en faisant un petit détour par le Tréport où nous avons quelques habitudes.

P.S. : Habitudes qui vont surement changer, car non content d’avoir étè reçus comme nos chiens dans un jeu de quille, les moules à la Normande de la miss étaient fades et plate. Même après une demi poivrière, pas moyen d’en rehausser le gôut.

samedi, juillet 17, 2010

Bricolage

Quelque chose me dit que je ne posterais pas tout de suite.

jeudi, juillet 15, 2010

En toute bonne logique


Un tag plein d'humour et de logique que j'ai entraperçu dans un passage couvert de Bergerac.

hein !


hein
Originally uploaded by francois et fier de l'Être.

ACC me fesait remarquer hier qu’en ce moment, je ne postais pas grand chose en dehors des critiques de cinéma et des pubs. Que même sur mon site de photographies, il n’y avait rien en ce moment. C’est la raison pour laquelle j’ai posté une petite série brute de décoffrage qui j’espère aura l’heure de plaire.

mardi, juillet 13, 2010

Dette sociale


Securité Sociale
Originally uploaded by arthur.wneir.

Le ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l’Etat a présenté un projet de loi organique relatif à la gestion de la dette sociale.

La dette dite « sociale » est constituée des déficits cumulés par les différentes branches du régime général de sécurité sociale et par le fonds de solidarité vieillesse.

Compte tenu du montant des déficits cumulés à reprendre par la Caisse d’amortissement de la dette sociale (CADES), soit 87 Md€ environ pour la période 2009-2011, le Gouvernement considère qu’une augmentation trop importante des prélèvements obligatoires pour financer cette caisse risquerait de compromettre la reprise économique.

Aussi, il proposera dans le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2011 un schéma de reprise de la dette reposant sur les trois leviers suivants :

un apport de ressources nouvelles, à hauteur de 3,2 Md€ à partir de 2011 ;
un allongement de la durée de la CADES, limité à quatre années pour reprendre la dette liée à la crise, ce qui suppose de modifier la loi organique; le remboursement de la dette sociale arrivera ainsi à son terme en 2025 ;

la mobilisation des ressources et des actifs du Fonds de réserve pour les retraites (FRR), conformément aux orientations prises dans le cadre de la réforme des retraites.

Ce schéma est équilibré, partageant le financement de la dette sociale entre une hausse de recettes et un allongement limité de la durée de vie de la CADES, les actifs du Fonds de réserve pour les retraites permettant en outre de lisser dans le temps la montée en puissance des effets de la réforme des retraites.

Des bites même pas droites


Peinture fraîche
Originally uploaded by bluestef17.


Depuis que Mr De Robien a subit un vote sanction contre ses travaux pharaoniques et que la nouvelle mandature a pris la place, notre ville voit fleurir à chaque coin de rue de nouvelles paires de bites, dont le cellement necessite la refection d'une part des trottoirs. On est en droit de se demander si l’utilité de ces phallus métalliques justifie le coût des travaux entrepris. En effet, ils sont trop « fins et long » pour que l’on puisse s’y asseoir, trop espacés pour dire qu’ils puissent empêcher les vélams et cyclomoteurs de rouler sur les trottoirs mais toutefois pas assez pour permettre le passage d’une poussette double. On ne peux même pas leur fournir une justification esthétique puisqu’elles sont plus môche encore que les précédentes(faut déjà le faire).

Seulle explication possible(si vous en avez une autre, je suis curieux de l’entendre), elles sont ainsi disposées pour empêcher les voitures et les autobus de rouler sur les trottoirs ou de stationner aux carrefours. Comme si la suppression de bon nombre de stationnements résidentiels et les nombreuses contractuelles ne suffisaient pas pour faire chier l’automobiliste !

C’est à se demander si nos « élus » ne se promêment en ville que pour …paraître… dans le JDA. Il y a beau temps que l’expérience a montrée son principal défaut : Ces maudites bites ne sont là que pour aggraver les dégats materiels lors des accidents de la route. Certes la vie des piétons stationnés au feu de croisement est totalement épargnée en cas de choc mais celle du ou des conducteurs importe peu. Les crash tests n’ayant pas prévus ces cas de figure.

De plus, à propos de tôle froisée, êtes vous allés faire, comme tout bon amienois, un tour dans le quartier St Leu …vous y verrez un bel alignement de bites, si esthétique lors de sa conception, au fil du temps, transformé en champs d’épaves, les unes tendant à droite comme les autres à gauche.

lundi, juillet 12, 2010

La Tour Bleue - A vos agenda


N'oubliez surtout pas le "Foudroyage Tour bleue"
Date et heure de début : jeudi 29 juillet, à 11:00
Date et heure de fin : jeudi 29 juillet, à 13:00
Où : Place des Provinces Françaises, Amiens

Tour de France et supporters

Bébés nageurs

Huggies® Little Swimmers®, partenaire de la FFN et de la FAEL vous fait découvrir l’activité bébés nageurs en vidéo !
Les activités aquatiques apportent de nombreux bienfaits à bébé :
- Stimulent l’éveil et la coordination des mouvements,
- Développent la confiance en soi et la sociabilité des petits,
- Relaxent votre enfant et lui procurent une sensation de bien-être et de détente.

Retrouvez tous les bienfaits de cette activité en vidéo.


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