Amour
Qu'est-ce que tu aimes le plus chez moi ? Mon esprit ou ma beauté naturelle?
Qu'est-ce que tu aimes le plus chez moi ? Mon esprit ou ma beauté naturelle?
Rapporté par Francois et fier de l'Être le vendredi, mars 31, 2006
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Rapporté par Francois et fier de l'Être le vendredi, mars 31, 2006
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Rapporté par Francois et fier de l'Être le jeudi, mars 30, 2006
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Rapporté par Francois et fier de l'Être le jeudi, mars 30, 2006
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Rapporté par Francois et fier de l'Être le mercredi, mars 29, 2006
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Muse s'amuse: Dur, dur, d’�tre un b�b� !!!
Je reviens en courant de chez Muse où elle attire notre attention sur un début de fachisme inquiétant pour notre pays. Ne vous y trompez pas, derriere son poème et la chanson se cache la pire des "bip".
Rapporté par Francois et fier de l'Être le mercredi, mars 29, 2006
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Rapporté par Francois et fier de l'Être le mardi, mars 28, 2006
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Pourquoi me compliquer la vie à faire un nouveau blog de problèmes de logique. Après tout, rien ne m'empêche de vous les posez et de les regrouper plus tard en un seul ensemble sous forme de table des matières.
Rapporté par Francois et fier de l'Être le lundi, mars 27, 2006
Rapporté par Francois et fier de l'Être le lundi, mars 27, 2006
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Rapporté par Francois et fier de l'Être le dimanche, mars 26, 2006
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Rapporté par Francois et fier de l'Être le dimanche, mars 26, 2006
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Rapporté par Francois et fier de l'Être le samedi, mars 25, 2006
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Rapporté par Francois et fier de l'Être le vendredi, mars 24, 2006
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Rapporté par Francois et fier de l'Être le jeudi, mars 23, 2006
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Comme le gardien de mes benjamins a décousu son pantalon, je suis allé rendre visite à ma belle-sœur Yvelines qui réside à une quinzaine de kilomètres d’Amiens. Pendant qu’elle faisait chanter sa machine à coudre à l’étage, je devisais avec ma belle-mère Reine qu’elle héberge. Nous en vîmes à échanger des nouvelles respectives de notre santé et la voir ainsi trembler sous l’effet d’une médication trop puissante m’a remis en mémoire la photographie de ma grand-mère que je scannais il y a peu.
J’avais pris ce cliché alors qu’elle tentait vainement de lire ce livre que la maladie de Parkinson faisait dangereusement osciller.
Derrière cette image de faiblesse, je voyais la femme résolue qu’elle avait été. Divorcée avec deux enfants en bas âge d’un cantonnier porté sur la dive bouteille et qui ne nous a laissé que le souvenir de son nom, elle s’était retrouvée mise au ban de la petite société de son bourg des Charentes. Elle n’avait du qu’a son courage et son habileté pour les travaux d’aiguilles de monter un petit atelier de couture où nous venions, petits parisiens passer les vacances mon frère et moi.
Lorsque son ouvrage lui en laissait le temps, elle nous organisait dans son pays de cocagne maint excursions, une chasse aux cagouilles, une pêche aux grenouilles, une bastonnade de châtaignier, un ramassage de tilleuls, une cueillette de champignons. Ah ! les champignons, ils finissaient dans cette toute petite poêle de fer anciennement blanc, pas plus grande qu’une soucoupe, dont j’ai hérité. Un souvenir culotté qui orne encore la batterie de Claudine. Elle m’y confectionnait la plus légère des omelettes avec un seul œuf. Elle adaptait d’ailleurs sa cuisine à notre présence et oubliait un temps les artichauts à la croque-au-sel, les biscottes et la soupe pour confectionner de magnifiques pommes au four, broyés du Poitou, crêpes légères, lapin à la moutarde et beaucoup d’autres bonnes choses au rythme du jeu des 1000 francs.
Lorsqu’elle ne pouvait se libérer, c’est nous qui le faisions. Nous partions patauger dévêtus dans ce qui restait du ru qui traverse la commune. Nous explorions les grottes qui le borde et dans lesquels reposaient des billes de chêne mises à sécher une cinquantaine d’année. Notre hardiesse ne se trouvait freinée que par la crainte de rencontrer un vif orvet ou une méchante vipère somnolant au soleil sur un des gros rocher.
Lorsque le temps ne s’y prêtait pas, nous jouions dans son vaste atelier à collecter avec de gros aimants les épingles et aiguilles tombées des petites mains qui devisaient en cercles prêt des fenêtres aux dernières lueurs du jour. Nous passions sous la longue et large table de bois sur laquelle s’étalait démembré le dernier patron à la mode parisienne nous caressions les pieds de « péllagie », le mannequin d’osier qui servait à l’assemblage. Nous recevions pour paiement de cette tâche qui n’en était pas une le droit de fouiller dans les chutes à la recherche du coupon qui ferait de nos rêve une réalité, sous les doigts habille de mémére Claire. Et, c’est muni d’un turban ottoman ou d’une cape digne de Zorro que nous nous endormions sur son édredon de plume d’oie dans la fraîcheur et la légèreté. Je nous revoie pendu aux lianes du saule-pleureur, affublés d’un pagne léopard, lancer ainsi que Tarzan ou Akim en sa jungle un puissant défis au rugissant « Moumousse », son ratier noir et blanc. Je sens encore sur moi la chaleur des cataplasmes à la moutarde et la fraîcheur de ses baisers sur mon front.
Je ne peux aujourd’hui que vous souhaiter pareille grand-mère que ma mémére Claire.
Rapporté par Francois et fier de l'Être le jeudi, mars 23, 2006
Classé dans famille, Introspection
Rapporté par Francois et fier de l'Être le mardi, mars 21, 2006
Classé dans blagues
Je vous parle de beaucoup de chose dans le post précédent sans mentionner les liens qui vous permettrons de vous faire une idée plus précise de ce dont je parle, voici quelques liens qui vous guideront.
Les ouvriers français sont des arabes comme les autres : http://www.leplanb.org/page.php?rubrique=accueil
San Finna : http://www.sanfinna.com/ ou l'article de Mat : http://www.sanfinna.com/CoalitionIrak.htm#CPE
L'intelligent d'Abidjan : http://www.lintelligentdabidjan.org/Quotidien/index.php?p=5111
Rapporté par Francois et fier de l'Être le mardi, mars 21, 2006
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Alors, ça fait combien de temps qu'il marche votre gamin ?
- Ca va faire 6 mois.
- Ben dites donc, il doit être loin maintenant !
Toute ma vie de père, j'ai eu la sensation d'apprendre à marcher à mon fils. Le soutenir sans faire à sa place, lui laisser suffisemment d'espace pour qu'il ne s'y sente pas brimé et ai assez de place pour s'y épannouir. J'apprends aujourd'hui qu'un de ses amis, le fils d'une des notres, qui avait trouvé du travaille en Suisse assez bien payé, va aller tous ses comptes faits en Espagne où on lui propose un contrat mieux rémunéré. De ce fait, j'ai tout lieu de me réjouir. Mais la lecture, il y a peu d'un article dans "le Plan B", une sorte de journal satyrique, légérement anarchique me pousse à y réagir. Cet article montrai chiffres vérifiés à l'appui que nos travailleurs français devenaient les expatriés du reste de l'europe. Que les riches luxembourgeois font désormais appel à des "bonnes" française comme les riches français d'après guerre faisaient appel aux bonnes espagnoles ou portuguaises. Le lendemain, j'en ai confirmation, Ismael se voit attribuer en allant travailler là-bas un salaire égal au double du mien alors que j'ai en France plus de vintg-cinq années d'anciennetés et qu'il ne fait que commencer. Certe, cela récompense son travail, il est méritant et tant mieux. Mais, il faut constater que pour un travail égal, on a tous avantages à travailler hors de nos frontières. Ainsi, Matthieu s'en va écrire des articles pour "l'inteligent d'Abidjan" en sus du "San Finna" au Burkina-Fasso, de "Vivre en Somme", "Agir en Picardie" et après le "Courrier picard" viendra mercredi "Nord-Eclair". Nous le verrons moins.
Rapporté par Francois et fier de l'Être le mardi, mars 21, 2006
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Rapporté par Francois et fier de l'Être le lundi, mars 20, 2006
Classé dans Football
J'avais offert, il y a dix huit ans de cela, à Claudine, une petite caniche abricot que je pensais être toy.
En réalité, elle s'était révélée être naine et s'est plus Matthieu qui en fit sa camarade de jeu et qui en profita que Claudine, malgrè elle plus portée sur la gente féline.
Il y a cinq ans, cette chienne adorable nous quitta emportée par une crise d'urée.
Ce fut dans notre famille un déchirement. Elle avait su en presque quatorze années s'y faire une place importante.
Je l'ai vu rester des heures dans une inconfortable position, sans bouger une patte pendant que Matthieu alors très jeune triturait les poils d'une de ses longues oreilles pour en faire un ninnin, le pouce dans sa bouche.
Lorsque nous allions au parc, jouer au football ou grimper sur l'une de ces constructions de cordages, nous lui laissions en garde notre sac. Personne n'aurait pu nous y voler quoique ce soit. Qu'un chien ou un enfant s'en approche et la chanson commençait ! Elle grognait d'abord doucement et au fur et à mesure de l'approche, les canines de dénudaient et le son augmentait.
Certes, elle n'avait pas un physique impressionnant mais je peux vous garantir que jamais rien n'a disparut de l'un de nos sacs, personne ne s'est jamais fait mordre.
Matthieu l'avait baptisé "Daisy" comme la femme de Donald Duck son héros du nomment.
Dans la semaine qui suivit son trépas, Bandjo, un gros matou qui nous avait adopté disparut lui aussi. Nous avions à l'époque trois chats, chacun le sien, et l'équipe qu'il formait avec Matthieu était particulière.
Bandjo est le seul chat que j'ai jamais vu obéir au coup de sifflet. D'ailleurs, à par au cirque, je n'ai jamais vu un autre chat obéir.
La perte de ses deux compagnons récompensait bien mal sa réussite au baccalauréat. Il s'ensuivit ce que, bien que n'étant pas toubib, j'appelle une dépression. Des bouffées de larmes sans retenues quel que soient les activités en cours.
Nous ne souhaitions pas Claudine et moi reprendre trop tôt un compagnon qui quoique l'on en dise serait une contrainte nouvelle. Mais nous fûmes bien obligé d'abréger la période de deuil en changeant les esprits de tous par l'arrivé dans le foyer d'un nouveau compagnon.
Nous avions pris le parti de ne pas reprendre une caniche de peur qu'elle n'est à subir une comparaison peu flatteuse.
Nous ne voulions pas non plus reprendre un chat car la réussite scolaire allait scinder notre foyer et nous savions que Matthieu aurait bien d'autres choses à faire qu'à veiller au confort d'un chaton qui comme chacun le sait nécessite plus de soin qu'un petit chiot (litière etc...).
Nous avons donc transigé pour une petite femelle cocker américain. Mat la souhaitait noir et blanche, personnellement j'avais une préférence pour golden et Claudine la voulait champagne.
Nous avons entrepris un dimanche d’aller chez un très gros éleveur de la région dont la publicité orne tous les journaux d’Amiens mais dont je tairai le nom pour ne pas lui faire la moindre publicité.
Nous y avons découvert des conditions de « stockage » abominables, de nature à traumatiser n’importe quel animal. Les chiots étaient parqués par trente environ par bidons de plastiques. Il faut dire que la solution, bien que barbare, était ingénieuse pour n’importe quel fainéant.
Il s’agissait de cubitainers à vin de 80 cm cubes dont l’on avait découpé le haut pour que l’on y puisse admirer le bétail et dont le robinet servait à l’évacuation de l’urine. Les autres déjections étaient quant à elles allégrement piétinées par cette meute qui n’avait qu’une seule envie, être extrait d’un tel enfer. Le plastique leur brûlait les coussinets et les conditions d’hygiène devaient être à l’origine de la méchante toux qui en affaiblissait les trois quart.
Nous n’avons pas hésité longtemps, nous sommes repartis, peu désireux d’enrichir l’esclavagiste en libérant l’un de ces malheureux.
Le hasard, mais surtout l’itinéraire de retour nous fit passer devant une grande grille qui si l’on en croyait l’affiche abritait un petit chenil. Nous avions du mal à croire après notre visite dans cette grange si bruyante que ce petit corps de ferme paisible puisse abriter le moindre chien.
Mais si, le propriétaire, entouré d’une petite meute d’une dizaine de chiots de toutes races sous la surveillance attentive d’une chienne « berger picard » vint nous ouvrir et nous fit visiter son petit paradis. Il nous expliqua que spécialisé dans le berger picard, il faisait avec d’autres éleveurs qu’il connaissait des échanges de chiots. Nous lui racontâmes nos déboires avec son gros concurrent et il nous expliqua que ces containers venaient directement d’élevages intensifs et consanguins des pays de l’est. Bien sur, me direz vous, il nous vante sa marchandise. Mais pour avoir vu la propreté des anciennes stalles réhabilitées contenant chacune de deux à trois chiots pour deux mètres carrés, d’avoir assisté à la promenade sous surveillance maternelle dans ce grand parc de quelques-uns uns, discuté éducation avec leur maître nous avons compris que notre achat se ferait ici. Il n’avait malheureusement plus qu’un seul cocker américain, un mâle tout noir destiné à un autre client. Il nous conduisit à une stalle dans laquelle il disposait d’un couple de Cavaliers « King Charles » dont la morphologie est proche de celle des cockers puisque issus eux aussi des épagneuls.
Ils étaient aussi différents l’un que l’autre. L’un tricolore et l’autre marron et blanc, l’un vif et nerveux l’autre placide et doux. Le plus pataud ne cessait de faire des lèches à Matthieu. Nous le choisîmes avant de nous rendre compte qu’il s’agissait du mâle. On l’appela Saxo en hommage au bandjo qui nous avait quitté.
Si j’ai, aujourd’hui, fait un post aussi long sur ces animaux qui ont partagé un instant de notre vie c’est surtout parce qu’en scannant les vieilles photos de famille, l’on se rend compte que l’on a pas de souvenirs de tous ces petits instants que l’on a partagés ensemble et que l’on a tendance à oublier qu’ils ne nous survivent malheureusement pas. Je n’ai pas une photo potable de cette magnifique chienne qui a accompagné toute l’adolescence de notre fils, aucune preuve de son courage et de son amour pour nous. Je ne souhaite pas qu’il en soit de même avec ce petit saxo qui agrémente et justifie mes trois heures de promenade quotidiennes.
Rapporté par Francois et fier de l'Être le lundi, mars 20, 2006
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J'ai des hauts et des bas
Rapporté par Francois et fier de l'Être le samedi, mars 18, 2006
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Rapporté par Francois et fier de l'Être le vendredi, mars 17, 2006
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Rapporté par Francois et fier de l'Être le jeudi, mars 16, 2006
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J'interromps ma promenade matinale pour m'empresser de vous conseiller d'aller admirer le travail de Christine Bonfils qui malgrès une voix défaillante conserve son oeil et le bon. L'offrande du jour est magistrale.
Rapporté par Francois et fier de l'Être le mercredi, mars 15, 2006
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Rapporté par Francois et fier de l'Être le mercredi, mars 15, 2006
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Rapporté par Francois et fier de l'Être le mardi, mars 14, 2006
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Rapporté par Francois et fier de l'Être le mardi, mars 14, 2006
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Rapporté par Francois et fier de l'Être le lundi, mars 13, 2006
Classé dans cuisine
Rapporté par Francois et fier de l'Être le dimanche, mars 12, 2006
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Rapporté par Francois et fier de l'Être le dimanche, mars 12, 2006
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Rapporté par Francois et fier de l'Être le samedi, mars 11, 2006
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Rapporté par Francois et fier de l'Être le samedi, mars 11, 2006
Classé dans Blogpotes, Mode d'emploi, photos
Rapporté par Francois et fier de l'Être le vendredi, mars 10, 2006
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Le grand andouille qu'il est devenu ayant oublié le chargeur de l'appareil photo (pour ceux qui n'ont pas suivi car j'en ai touché deux mots hier), j'ai du me rabattre vers la numérisation.
Hé bien c'est génial!!
Mes tirroirs regorge de ce qui sera bientôt réduit à un DVD ou une adresse sur Flickr.
Mieux encore, comme vous pouvez le voir, ce n'est pas parceque je suis le neveu d'un grand photographe que je savais cadrer un photomaton.(Celui-ci, même mal cadrer, il me plait, surement à cause de la tête qu'il fait.). Hé bien on peut en profiter pour les retailler, recentrer les personnages, ôter un brouillard rosâtre du à la vieillesse d'une pellicule et plein d'autre choses encore. N'est-ce pas magnifique de pouvoir ainsi dépoussiérer ses souvenirs, les rajeunir même et retrouver le plaisir de la surprise du premier photomaton.
Je commence seulement à les mettre sur flickr. Allez-voir.
Rapporté par Francois et fier de l'Être le vendredi, mars 10, 2006
Comme hier ma petite blagounette semble avoir détendue certains, je vous en propose une autre :
Un homme entre dans un bar avec une autruche derrière lui :
- Je prendrai une bière.
Il se tourne alors vers l'autruche et lui demande :
- Et pour toi ?
- Je prendrai une bière aussi.
Le patron amène les deux bières :
- Cela fera 36 francs, s'il vous plait.
Le type plonge la main dans sa poche et sort la somme exacte. Le jour suivant, l'homme et l'autruche reviennent.L'homme demande une bière et l'autruche la même chose. A nouveau, l'homme met la main dans la poche et sort la somme exacte. Cela devient une routine, chaque soir les deux reviennent dans le bar. puis un soir :
- Comme d'habitude ? demande le patron.
- Pour changer, je vais prendre un double scotch.
- Moi aussi.
- Cela fera 67 francs.
A nouveau, l'homme plonge la main dans sa poche et en ressort la somme exacte qu'il place sur le comptoir. Le patron ne peut retenir plus longtemps sa curiosité :
- Excusez-moi, monsieur. Comment arrivez-vous à sortir de votre poche la somme exacte à chaque fois ?
- Eh bien, Il y a des années, j'étais en train de nettoyer mon grenier quand j'ai trouvé une vieille lampe. Quand je l'ai frottée, un génie est apparu et m'a offert deux souhaits. J'ai longuement réfléchi. Mon premier souhait a été de pouvoir toujours payer ce qu'on me demandait juste en mettant la main dans la poche pour en ressortir la somme exacte.
- Bien vu ! répond le patron, la plupart des gens aurait demandé un million de francs ou quelque chose du genre mais ainsi vous serez aussi riche que vous le voulez aussi longtemps que vous vivrez.
- Exact ! Que ce soit pour un litre de lait ou une Rolls Royce, la somme exacte est là."
- Encore une chose, monsieur, et l'autruche ?
- Mon second voeu a été une poule avec de longues jambes.
Rapporté par Francois et fier de l'Être le vendredi, mars 10, 2006
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Rapporté par Francois et fier de l'Être le jeudi, mars 09, 2006
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Rapporté par Francois et fier de l'Être le jeudi, mars 09, 2006
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Rapporté par Francois et fier de l'Être le jeudi, mars 09, 2006
Rapporté par Francois et fier de l'Être le mercredi, mars 08, 2006
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Après avoir vu son bouquet de tulipes jaunes sur le post de Julie, j'ai eu envie de ressortir de mes archives le petit utilitaire "Image Composer" de Microsoft qui était livré avec un logiciel que je n'utilise plus depuis longtemps.
Il permet entre autres choses de jouer sur la texture du papier par l'intermédiaire d'algorhytmes assez puissants ou si on le souhaite lisser ou étirer la saturation.
Je m'en servais beaucoup pendant un temps pour donner à des photos un "look" fait-main, puis il est tombé en désuétude et les logiciels qui sont présents sur le marché doivent faire encore mieux.
Vous me direz que cela ne sert pas à grand chose, pourtant, ces mêmes fleures peuvent être perçues différement.
Ainsi, en appliquant une simple formule de calcul, ces resplendissantes tulipes se transforment. Sans pour autant devenir une oeuvre d'art à part entière, elles quittent le domaine de la photographie pour rentrer dans celui de la peinture. Elle quittent notre salon pour se trouver ainsi exposées.
Elles acquierent ce faisant une certaine immortalité qui a débutée par la prise de vue.
De là a penser que la photographie emprisonne l'âme, il n'y a qu'un pas. Doit-on considérer cette formule comme une altération de l'être initial? Sûrement pas puisque si le principe même de ces fleurs s'en trouve altéré, il ne s'agit que d'une copie. Je continue de me réjouir de la vue de celles qui trônent sur la table du salon, elles ont fait tant plaisir à Claudine.
Voici, là, uniquement des souvenirs. Souvenirs d'elles mais aussi du petit utilitaire et de ces instants passés à choisir la formule à appliquer. Ces petits essais ont aboutis à cette dernière image qui a aujourd'hui, ma préférence.
Rapporté par Francois et fier de l'Être le mercredi, mars 08, 2006
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Rapporté par Francois et fier de l'Être le mardi, mars 07, 2006
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Il s’est produit un drame sur la promenade des jours. Dimanche midi, un cygne était mort. J’ai vu le long d’un des nombreux canaux qui serpentent dans le parc Saint-Pierre un de ces oiseaux affalé. Son compagnon ou sa compagne, ces animaux sont fidèles, nageait à deux pas, hébété, attendant visiblement le réveil de la bête. Il nageait en cercle avec la lenteur et la majesté qui les caractérise, inconscient du drame qui s’était déroulé. Face à ce tas de plumes qui jamais plus ne volerait, je me suis interrogé sur la capacité de la grippe aviaire à rester confinée dans ses couloirs de migration comme dans un seul groupe de faune. Serait-elle aussi raisonnable que la radioactivité qui, sans son passeport bio-métrique, n’a pas choisi de passer la frontière française. Plusieurs centaines de kilomètres séparent l’Ain de la Somme, j’avais donc tout lieu de me demander si le gouvernement dans sa volonté de protectorat n’avait pas par hasard souhaité tronquer l’information, remplaçant habillement l’Aisne par l’Ain. J’ai bien sur empêché Saxo de profaner la dernière demeure de l’animal. L’arrivé des providentiels ou menteurs « Services Vétérinaires » a calmé mon angoisse. Il n’y a rien à craindre, tout va bien dans le meilleur des mondes : « L’oiseau n’a subi qu’un caillassage, vous savez comme les femmes, une simple lapidation. ».
Cela ne m’a pas rassuré.
Rapporté par Francois et fier de l'Être le lundi, mars 06, 2006
Rapporté par Francois et fier de l'Être le vendredi, mars 03, 2006
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