C'est pas mon gras
Première journée au loft. Il faut dire que nous avons eu du mal à récupérer les clefs. J’ai eu beau rappeler, vendredi, que le premier juin était, après maints atermoiements, un jour férié, c’est comme si j’avais pissé dans un violon. On m’avait garantit la présence de l’huissier pour l’état des lieux le lundi 1er juin malheureusement, il n’avait pas les clefs, restées à l’agence. Comme il partait en formation le reste de la semaine, il m’a fallut batailler et menacer pour qu’ils admettent (l’agence) qu’ayant payé à compter du premier, j’étais dans mon droit d’exiger le remboursement d’un trentième du montant du loyer par jour de retard. Du coup, c’est l’agent immobilier qui a fait en notre présence ce constat.
Manque de bol pour lui, les enfants en congés étaient présents et ont de biens meilleurs yeux que moi. Je crois que rien ne nous a échappé. Ce n’était plus un état des lieux qui nous a été remis mais une page entière d’écriture assez serrée. Ce n’est pas tant que ce loft ai beaucoup de défaut, mais nous avons voulu nous prémunir contre toutes remarques désagréables à la sortie.
Le pire dans cette histoire, c’est que je pensais n’avoir que quelques travaux de peintures, histoire de rafraichir les murs. En fait, nous avons passé la première soirée à tenter de nettoyer une épaisse couche graisseuse et jaunâtre de suie issue de la fumée du tabac qui maculait le blanc PVC de la porte fenêtre donnant sur le balcon. Lorsqu’enfin nous sommes partis couché, en ayant la sensation qu’il faudrait encore une paire de séances de nettoyage avant que nous ayons satisfaction, nous nous sommes demandé si toutes les pièces étaient dans le même état. La réponse, c’est oui. Certes l’appartement est magnifique, malheureusement, il est sale. C’est le terme excact.
Moralité, comme nous ne concevons pas de vivre dans la crasse, nous ne sommes pas prêts de déménager. Allez, courage.
Manque de bol pour lui, les enfants en congés étaient présents et ont de biens meilleurs yeux que moi. Je crois que rien ne nous a échappé. Ce n’était plus un état des lieux qui nous a été remis mais une page entière d’écriture assez serrée. Ce n’est pas tant que ce loft ai beaucoup de défaut, mais nous avons voulu nous prémunir contre toutes remarques désagréables à la sortie.
Le pire dans cette histoire, c’est que je pensais n’avoir que quelques travaux de peintures, histoire de rafraichir les murs. En fait, nous avons passé la première soirée à tenter de nettoyer une épaisse couche graisseuse et jaunâtre de suie issue de la fumée du tabac qui maculait le blanc PVC de la porte fenêtre donnant sur le balcon. Lorsqu’enfin nous sommes partis couché, en ayant la sensation qu’il faudrait encore une paire de séances de nettoyage avant que nous ayons satisfaction, nous nous sommes demandé si toutes les pièces étaient dans le même état. La réponse, c’est oui. Certes l’appartement est magnifique, malheureusement, il est sale. C’est le terme excact.
Moralité, comme nous ne concevons pas de vivre dans la crasse, nous ne sommes pas prêts de déménager. Allez, courage.