Mieux vaut l'ouvrir
Un rude week-end qui une fois encore confirme l’antique sagesse de ce proverbe africain : « Un grillon tiens dans la main mais s’entend dans la plaine ». Je me tâte donc pour savoir si je vais de nouveau chevaucher mon cheval de bataille. En effet, hier j’ai une nouvelle fois « pété » un câble contre la municipalité qui s’affiche dans le journal local après une petite promenade dans le quartier Saint-Pierre et commente les travaux et adaptations qui lui semble nécessaire (rendre telle ou telle rue payante au stationnement, etc.…) mais fait « l’impasse » sur sa récente décision de ne plus éclairer le soir la promenade des jours.
Ors, la promenade des jours n’est jamais aussi agréable que la nuit. Le noctambule que je suis y croise chaque week-end les jeunes étudiants et étudiantes, qui sortant de la gare, la remontent pour regagner leur résidence universitaire d’Amiens nord. C’est, il faut le dire, une diagonale, un raccourci des plus usités.
Franchement, je ne suis pas sûr que dans cette décision le facteur sécuritaire ait été pris en compte. Si comme je le subodore c’est essentiellement un souci économico-écologique, il existe des solutions intermédiaire qui préserveraient à la fois la chèvre et le chou : des détecteurs de présence par exemple ou des horaires d’ouverture et d’éclairage correspondants aux entrées en gare. C’est à étudier.Un rude week-end qui une fois encore confirme l’antique sagesse de ce proverbe africain : « Un grillon tiens dans la main mais s’entend dans la plaine ». Je me tâte donc pour savoir si je vais de nouveau chevaucher mon cheval de bataille. En effet, hier j’ai une nouvelle fois « pété » un câble contre la municipalité qui s’affiche dans le journal local après une petite promenade dans le quartier Saint-Pierre et commente les travaux et adaptations qui lui semble nécessaire (rendre telle ou telle rue payante au stationnement, etc.…) mais fait « l’impasse » sur sa récente décision de ne plus éclairer le soir la promenade des jours.