Pour qui vos tétons ?
Petit préambule :
Je sens que rien qu’avec un titre comme celui là, on va me traiter de macho. Alors lorsque je vais dire que l’on aurait du prendre quelques précautions avant de confier le droit de vote aux femmes, j’espère qu’elles comprendrons qu’il s’agit d’un trait d’humour.
Fin du préambule
Oui, avouez qu’il n’est pas trop agréable de se faire réveiller au cri du canon(vous avez remarqué…). D’habitude, la miss vient me réveillez en douceur après avoir baladé les bibis et relevé le courrier. Aujourd’hui, c’était la guerre, avec des cris d’orfraie, la miss appelant à la révolution. Le reste, je ne vous dis pas, vous imaginez…
Bref, elle arrive dans la chambre avec une brassée d’enveloppe brune, brandissant une liasse de papiers blancs. Il s’agissait de ces enveloppes que l’on reçoit toujours quelques jours avant une élection. Claudine les collectionne. Elle ramasse toutes celles qui vont directement dans la corbeille à papier à côté des boites à lettre parce qu’elle réutilise les bulletins de vote qui y sont contenu. Cela fait des très beaux carnets de note. Ils ont tous la même taille et sont imprimés que d’un seul côté. C’est l’idéal pour la liste de courses.
Assise sur le bord du lit, s’éventant avec ses bulletins, elle commence à me parler de fraudes électorales, de manipulations éhontées, etc… Vous connaissez les femmes, jamais à cours d’arguments. J’avais l’impression d’être tombé dans la quatrième dimension, comme je vous l’avais déjà dis, elle n’a en temps normal pas du tout la fibre politique.
D’après ce que j’ai réussi à comprendre entre toutes les invectives, il n’y avait pas, dans aucune de ces enveloppes, de bulletin pour son candidat (Jean-Yves, celui qui trouve Enzo si mignon). Avant d’en appeler à la garde nationale, la presse et tout le toutime, je lui ai demandé si elle était vraiment sûr qu’il se présente à ces élections là, après tout ce ne sont que des cantonales. Bon, je vous passe sa réponse, cela n’apporterait rien au débat.
Donc, je me lèves et, comme d’habitude lorsque j’ignore quoique cela soit, je vais demander à mon copain google. Hé bien le croiriez-vous ? Il y a très peu d’information données, si ce n’est aucune de la part de la métropole. Tous les informations ne font que provenir du conseil général. Aucune information de la métropole. Heureusement, par mon boulot, j’ai accès à des informations sur le découpage infra-communal des sept cantons qui contiennent une portion de la ville.
C’est là que j’ai pigé que le pauvre Jean-Yves avait tout bonnement cru que notre rue était dans le canton Sud, que la limite cantonale était la route de Paris, l’un des grands axes de la ville alors que nous sommes considérés dans le canton Sud-Ouest.
Pensez-vous que les conseillers municipaux s’inquiètent de savoir si les plaques des noms de rue indiquent l’appartenance au canton ? Si elles sont mise à jour ? En tous cas, cela leur aurait épargnés bien des visites.
Je sens que rien qu’avec un titre comme celui là, on va me traiter de macho. Alors lorsque je vais dire que l’on aurait du prendre quelques précautions avant de confier le droit de vote aux femmes, j’espère qu’elles comprendrons qu’il s’agit d’un trait d’humour.
Fin du préambule
Oui, avouez qu’il n’est pas trop agréable de se faire réveiller au cri du canon(vous avez remarqué…). D’habitude, la miss vient me réveillez en douceur après avoir baladé les bibis et relevé le courrier. Aujourd’hui, c’était la guerre, avec des cris d’orfraie, la miss appelant à la révolution. Le reste, je ne vous dis pas, vous imaginez…
Bref, elle arrive dans la chambre avec une brassée d’enveloppe brune, brandissant une liasse de papiers blancs. Il s’agissait de ces enveloppes que l’on reçoit toujours quelques jours avant une élection. Claudine les collectionne. Elle ramasse toutes celles qui vont directement dans la corbeille à papier à côté des boites à lettre parce qu’elle réutilise les bulletins de vote qui y sont contenu. Cela fait des très beaux carnets de note. Ils ont tous la même taille et sont imprimés que d’un seul côté. C’est l’idéal pour la liste de courses.
Assise sur le bord du lit, s’éventant avec ses bulletins, elle commence à me parler de fraudes électorales, de manipulations éhontées, etc… Vous connaissez les femmes, jamais à cours d’arguments. J’avais l’impression d’être tombé dans la quatrième dimension, comme je vous l’avais déjà dis, elle n’a en temps normal pas du tout la fibre politique.
D’après ce que j’ai réussi à comprendre entre toutes les invectives, il n’y avait pas, dans aucune de ces enveloppes, de bulletin pour son candidat (Jean-Yves, celui qui trouve Enzo si mignon). Avant d’en appeler à la garde nationale, la presse et tout le toutime, je lui ai demandé si elle était vraiment sûr qu’il se présente à ces élections là, après tout ce ne sont que des cantonales. Bon, je vous passe sa réponse, cela n’apporterait rien au débat.
Donc, je me lèves et, comme d’habitude lorsque j’ignore quoique cela soit, je vais demander à mon copain google. Hé bien le croiriez-vous ? Il y a très peu d’information données, si ce n’est aucune de la part de la métropole. Tous les informations ne font que provenir du conseil général. Aucune information de la métropole. Heureusement, par mon boulot, j’ai accès à des informations sur le découpage infra-communal des sept cantons qui contiennent une portion de la ville.
C’est là que j’ai pigé que le pauvre Jean-Yves avait tout bonnement cru que notre rue était dans le canton Sud, que la limite cantonale était la route de Paris, l’un des grands axes de la ville alors que nous sommes considérés dans le canton Sud-Ouest.
Pensez-vous que les conseillers municipaux s’inquiètent de savoir si les plaques des noms de rue indiquent l’appartenance au canton ? Si elles sont mise à jour ? En tous cas, cela leur aurait épargnés bien des visites.
Maintenant, la miss va devoir se trouver un autre candidat. Alors, si un candidat du canton Sud-Ouest se sent capable d’aimer sont petit Enzo, il sait quoi faire pour gagner une voix.