Ramifications
Les voilier sur les mers en flottilles jalousent de tes yeux les eaux qui pétillent dès lors que tu ri ou pleure d’une vétille.
Jamais mon regard ne vit plus belle équille, nul turbot, nulle régate, nulle quille n’eut au bras plus souple anguille.
Les avions au ciel volant en escadrilles jalousent de tes yeux les cieux qui scintillent dès lors que tu ri ou pleure d’une broutille.
Jamais mon regard ne vit plus belle et gentille, nul bigot, nulle ingrate, nulle banderille ne peut te voir au delà de tes guenilles
Les plus beaux colibris des Antilles jalousent de tes yeux le bleu des lentilles dès lors que tu ri ou pleure une pacotille.
Jamais mon regard ne vit plus belle Bastille, nul cachot, nulle casemate, nulle coquille n’abrite aussi maternellement ma famille.
Les danseuses virevoltantes de la cheville jalousent de nos yeux la danse, le quadrille dès lors que tu ri ou pleure d’une peccadille.
Jamais mon regard ne vit plus belle billes, aucun calot, aucune agate ne brille autant que tes claires et vertes pupilles.
Les douces biches paissant aux charmilles jalousent le noir de tes yeux et décanillent dès lors que tu ri ou pleure d’un drille.
Jamais mon regard ne vit plus belle fille, nul cageot, nulle Agathe, nulle Camille ne me regarde comme toi tu cilles.
Mais qu’il advienne qu’un chagrin te vrille, je me noie dans le bleu profond qui les habille à l’image du gouffre où tu vacille.
Jamais mon regard ne vit plus belle équille, nul turbot, nulle régate, nulle quille n’eut au bras plus souple anguille.
Les avions au ciel volant en escadrilles jalousent de tes yeux les cieux qui scintillent dès lors que tu ri ou pleure d’une broutille.
Jamais mon regard ne vit plus belle et gentille, nul bigot, nulle ingrate, nulle banderille ne peut te voir au delà de tes guenilles
Les plus beaux colibris des Antilles jalousent de tes yeux le bleu des lentilles dès lors que tu ri ou pleure une pacotille.
Jamais mon regard ne vit plus belle Bastille, nul cachot, nulle casemate, nulle coquille n’abrite aussi maternellement ma famille.
Les danseuses virevoltantes de la cheville jalousent de nos yeux la danse, le quadrille dès lors que tu ri ou pleure d’une peccadille.
Jamais mon regard ne vit plus belle billes, aucun calot, aucune agate ne brille autant que tes claires et vertes pupilles.
Les douces biches paissant aux charmilles jalousent le noir de tes yeux et décanillent dès lors que tu ri ou pleure d’un drille.
Jamais mon regard ne vit plus belle fille, nul cageot, nulle Agathe, nulle Camille ne me regarde comme toi tu cilles.
Mais qu’il advienne qu’un chagrin te vrille, je me noie dans le bleu profond qui les habille à l’image du gouffre où tu vacille.