Nokia Evolution
Me voilà avec un nouveau portable comme presque tous les deux ans. Cette fois ci encore, j’en ai choisi un de la marque Nokia…question robustesse. En effet, ma tendance maladive à les faire tomber me permet de vous affirmer que même si ils ont tendance à éclater, ils ne cassent pas si facilement.
Ce nouveau Nokia 6600 slide a les même fonctions que le précédent Nokia (Appareil photo, radio, lecteur MP3 et MP4) pour un volume presque deux fois moindre. C’est en effet la première chose que l’on remarque. Il est petit : moins de 9 centimètres de long pour une largeur de 4,5 centimètres et 1,4 centimètres de hauteur. Attention, il n’est pas pour autant rectangulaire, il serait plutôt parallélépipédique, la base fait bien 9 centimètres de long mais le dessus est un chouia plus court. Ce plan incliné à la base du téléphone permet de facilement faire glisser les deux parties pour découvrir un clavier standard 12 touches.
Cette petite taille n’enlève en rien la lisibilité de son écran (3,5cmx4,5cm) de type TFT : Thin Film Transistor. C’est un affichage à cristaux liquides mais dont la matrice est dite active, c’est du à une couche de petits transistors qui contrôlent chaque pixel (trois transistors pour chacun, un pour chaque couleur, RVB). Ce qui permet un affichage même avec une matrice abimée de 16 millions de couleurs en 240*320 pixels, soit plus de 230 000 transistors. C’est fou la miniaturisation.
L’autre point remarquable de ce petit bijou, c’est l’esthétisme de son design. Il est poli, léché, nacré même. L’objectif et le flash de l’appareil photo(3,2 Millions de pixels) sont discrètement intégré sur la face arrière. Sur la face avant, l’objectif et le testeur de la visioconférence sont tout aussi discret. Le noir n’est percé par ci par là que de quelques pointes de bleu qui marquent les touches extra-plates. Elles sont au nombres de trois.
A gauche, une à bascule qui permet la prise de ligne ou la validation. Sur la droite, même type de touche pour la rupture de ligne, la correction ou le retour arrière. Au centre, une touche carrée qui sert au déplacement et à la validation aussi.
Ce qui change essentiellement en dehors de l’aspect physique, c’est le logiciel ou plutôt les logiciels. Tout d’abord, on retrouve l’ancien menu par icones de Nokia avec en sus la notion de « favori ». C’est un plus fort utile quand on sait que je passe plus de 80 pourcents des appels à la même personne (ma miss) et que pour un « slide » si l’on peut éviter de l’ouvrir pour appeler, c’est ça de gagné.
Autre plus d’intérêt, c’est le logiciel « Carte » qui permet de transformer ce petit appareil en GPS portable.
Malheureusement, les traces de doigts marquent sur le noir.