Un trou est un trou.
Aujourd’hui, bien m’en a pris, j’ai décidé de raconter le mystère de ma molaire qui a voyez-vous, au fond un petit trou et c’est étrange, chaque fois que je mange, sucré ou salé, ce que je goutte fait fausse route. Mais le creux de ce corps caverneux jamais ne se bouche. C’est louche. Vous me proposez d’y poser, solution à ma carnation, un pansement carrément.
Est-ce nécessaire, pour ce faire, de gratter ou ramener votre fraise, ne vous déplaise. Ce béant déjà trop grand absorbe tout. Mou ou dur, je vous assure. Craignez, vous pourriez perdre un doigt à l’endroit. Un manchot fait pas trop dentiste ou prothésiste. Mais gageons qu’un maçon peut officier même démembré, appliquer son ciment largement.
Nul besoin du bruit de ce fruit pour résoudre, d’une poudre, mon dilemme. Quand bien même, au besoin, par vos soins devrais-je engloutir sans fléchir un sac plein. C’est pas rien.
Par chance sur l’ordonnance pourriez-vous pour que les sous du prix de ce produit me soit remboursé, les noter.
Que soit ce gouffre dont je souffre fatal à la sécurité sociale.
Après tout, trou pour trou.