C’était la presse
La liberté de la presse existe-t-elle ? de B N C T O N Y, sur Flickr
A l’issue de la lettre ouverte envoyée hier et annonçant la fin probable de notre association, j’ai eu la surprise de voir tout le monde associatif amiénois réagir. Quand je dis tout le monde associatif, c’est réellement tout le monde. Il semblerait qu’en une matinée, la lettre ai fait le tour de presque tous les anciens membres de l’association. La vitesse de propagation de ce mail est fascinante. Chacun l’a renvoyé vers ses autres connaissances, ainsi elle a été lue par des personnes qui me sont totalement inconnues même si elles ont a cœur les intérêts de notre association. C’est ainsi que l’on peut constater de visu l’importance des réseaux sociaux sur le net, que ce soit dans facebook ou MSN, cette lettre ouverte a acquit une autonomie telle que je ne saurais dire combien de personne l’ont lue.
Du coup, en début d’après-midi, alors que j’attendais la visite de la société Exim pour le bilan énergétique de la maison, j’ai reçu un appel du directeur du CCAS, Mr Hocine Boubeche. Il n’y a pas à dire, c’est un très bon communicant. C’est loin d’être le cas de madame Messager qui semble ne pas avoir pris conscience que ce n’est pas uniquement un jeune homme de vingt deux ans qu’elle a face à elle en la personne du président. Il représente toute les personnalités qui composent cette association, des bénévoles comme les personnes âgées. Alors, lorsqu’elle a le culot de lui dire qu’après tout, nous avons reçu 4000 euros sur les 5000 votés au mois de mars, que nous n’avions pas à nous plaindre, je crois que je suis en droit de me demander si elle a réellement conscience de la situation dans laquelle la municipalité par son inaction et sa légèreté a mis notre association.
De ce fait, on est en droit de se demander si, une fois encore, nous n’allons pas être pris pour des petits rigollots et si les belles promesses du directeur du CCAS résisteront aux volontés d’une élue.
Ainsi, j’ai passé tout l’après-midi au téléphone à recueillir des soutiens à tel point que mon pauvre portable même perpétuellement en charge n’arrivait plus en fin de soirée à se recharger. Loïc n’a pu m’avoir que sur le fixe( J’ai du faire l’impasse sur d’autres appels ne concernant pas le sujet, Dan si tu me lis, je t’appelle demain).
Je dois rencontrer une journaliste de France 3 picardie tout à l’heure qui comme par hasard, fait un reportage sur les difficultés rencontrées par les associations caritatives en cette période de crise et demain, ce sera un du courrier picard.
Du coup, en début d’après-midi, alors que j’attendais la visite de la société Exim pour le bilan énergétique de la maison, j’ai reçu un appel du directeur du CCAS, Mr Hocine Boubeche. Il n’y a pas à dire, c’est un très bon communicant. C’est loin d’être le cas de madame Messager qui semble ne pas avoir pris conscience que ce n’est pas uniquement un jeune homme de vingt deux ans qu’elle a face à elle en la personne du président. Il représente toute les personnalités qui composent cette association, des bénévoles comme les personnes âgées. Alors, lorsqu’elle a le culot de lui dire qu’après tout, nous avons reçu 4000 euros sur les 5000 votés au mois de mars, que nous n’avions pas à nous plaindre, je crois que je suis en droit de me demander si elle a réellement conscience de la situation dans laquelle la municipalité par son inaction et sa légèreté a mis notre association.
De ce fait, on est en droit de se demander si, une fois encore, nous n’allons pas être pris pour des petits rigollots et si les belles promesses du directeur du CCAS résisteront aux volontés d’une élue.
Ainsi, j’ai passé tout l’après-midi au téléphone à recueillir des soutiens à tel point que mon pauvre portable même perpétuellement en charge n’arrivait plus en fin de soirée à se recharger. Loïc n’a pu m’avoir que sur le fixe( J’ai du faire l’impasse sur d’autres appels ne concernant pas le sujet, Dan si tu me lis, je t’appelle demain).
Je dois rencontrer une journaliste de France 3 picardie tout à l’heure qui comme par hasard, fait un reportage sur les difficultés rencontrées par les associations caritatives en cette période de crise et demain, ce sera un du courrier picard.
Dernière minute : Le directeur du CCAS a bien contacté notre banque pour lui garantir le soutien de la commune à notre association et la prochaine mise en place d'une convention tri-annuelle. De ce fait, la banque maintient notre découvert autorisé jusqu'à la fin du mois de juin et à réception du courrier confirmant ces faits, nous signerons avec elle un nouveau découvert autorisé. Je vais enfin pouvoir bientôt payer tous nos créanciers.